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VIP-Blog de sweet-cherry
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  • Créé le : 19/03/2007 21:46
    Modifié : 06/06/2024 15:41

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    Le Grand Canyon au Colorado s'est formé il y a plus de 70 millions d'années

    02/12/2012 02:00

    Le Grand Canyon au Colorado s'est formé il y a plus de 70 millions d'années


    Une merveille bien plus ancienne que les premières théories

    Selon une étude publiée hier dans la revue Science, la formation du Grand Canyon du Colorado serait bien plus vieille que ce qu'on a estimé jusqu'à aujourd'hui. En effet, elle daterait de plus de 70 millions d'années et pas de seulement cinq ou six millions d'années comme on le croyait. Pour affirmer cela, les scientifiques de l'Institut de Technologie de Californie (Caltech), auteurs de cette étude, avancent de nouvelles données qui prouvent que certaines des parties du Grand Canyon seraient vieilles d'au moins 55 millions d'années.

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    Ces résultats ont été obtenus de deux manières : d'une part, grâce à l’analyse de la quantité d'hélium produit par la désintégration radioactive de l'apatite, un minéral, et d'autre part, par la distribution spatiale des atomes d'hélium prisonniers dans des cristaux de cette roche proche de la surface. Cette technique permet de reconstituer l'évolution des températures de l'apatite et de dater ainsi le moment de sa remontée à la surface sous l'action de la rivière qui a érodé le sol et formé le canyon. En effet, l'apatite est chaude quand elle est enterrée dans le sol mais se refroidit de 25°C à chaque kilomètre qu'elle remonte.

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    "Nos mesures laissent penser que le canyon existait il y a plus de 70 millions d'années", indique Kenneth Farley, professeur de géochimie à Caltech et co-auteur de l'étude. Ainsi, le Grand Canyon aurait déjà été présent à l'époque des dinosaures (disparus il y a 65 millions d'années). "Notre principal objectif scientifique est de comprendre l'histoire du plateau du Colorado pour savoir pourquoi cette formation géographique imposante et inhabituelle existe et quand elle s'est formée", précise le géologue cité par l'AFP. La compréhension de ce phénomène permettrait alors d'en apprendre bien plus sur de nombreuses particularités géologiques de l'ouest américain, notamment leur tectonique et leur topographie, estime le scientifique.

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    Le nombre de rhinocéros tués a battu un nouveau record !

    18/10/2012 00:46

    Le nombre de rhinocéros tués a battu un nouveau record !


    455 rhinocéros tués depuis le début de l'année

    L'Afrique du Sud abrite 70 à 80% de la population mondiale de rhinocéros soit quelque 20.000 individus. Malheureusement, la survie de ces animaux est aujourd'hui gravement menacée. En effet, ils sont de plus en plus victimes du braconnage et ce en dépit du renforcement des mesures de sécurité et de l'intervention de l'armée. Les chiffres se feraient ainsi chaque jour plus inquiétants.

    Selon le ministère de l'Environnement du pays, le nombre d'animaux déjà tués par des braconniers depuis janvier a atteint le niveau record de 455, contre 448 sur l'ensemble de l’année 2011, 333 en 2010, 122 en 2009, 83 en 2008 et seulement 13 en 2007. Rien que dans le parc national Kruger (nord-est), 60% de ces rhinocéros (272) ont été braconnés. Le massacre des rhinocéros en Afrique du Sud semble donc se poursuivre et même s'accélérer, motivé par la vente à prix d'or des cornes en Asie, en particulier au Vietnam, où elles sont prisées dans la médecine traditionnelle.

    Pourtant, la corne des rhinocéros est exclusivement composée de kératine, la même matière que les ongles humains et ne possède pas de vertus particulières. Mais le marché continue de fleurir attirant de plus en plus de braconniers. Les forces de l'ordre sud-africaines ont ainsi procédé à 207 arrestations depuis le début de l'année, dont 179 braconniers, a précisé le ministère de l'Environnement qui a décidé face au massacre de renforcer sa lutte contre ce fléau.

    Aujourd'hui, de nombreuses mesures ont été envisagées pour protéger les rhinocéros. Certains ont été déplacés dans des lieux plus sûrs quand d'autres sont gardés sous bon escorte, mais ces initiatives ne suffisent plus. Certains parcs ont ainsi décidé de couper la corne de leur rhinocéros pour écarter tout objet de convoitise. D'autres ont commencé à empoisonner les cornes de leurs animaux pour dissuader les braconniers.






    Afrique du Sud : quand les lions deviennent des animaux de ferme

    16/10/2012 20:15

    Afrique du Sud : quand les lions deviennent des animaux de ferme


    Ces lions sont ensuite revendus ou abattus

    En Afrique du Sud, 60% des lions vivent en cage et sont élevés pour être revendus à des zoos ou relâchés juste avant d'être abattus par des chasseurs de trophées. Pour les exploitants, le lion est même un animal de ferme comme les autres.

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    Alors que la liste des espèces menacés ne cesse de s'allonger, les défenseurs de l'environnement tire la sonnette d'alarme en Afrique du Sud. En effet, à leur grand dam, le lion est devenu là-bas un animal de ferme comme les autres. "Le principe d'élever des animaux sauvages à des fins d'exploitation économique est une pratique internationalement admise", indique Pieter Potgieter, président de l'association sud-africaine des éleveurs de prédateurs. "Le problème, c'est qu'on a fait du lion le roi des animaux. Walt Disney, avec son "Roi Lion", a créé cette image ! Un lion a une personnalité comme un être humain, il parle à ses enfants... Mais un lion n'est ni supérieur, ni inférieur aux autres espèces", estime l’éleveur cité par l'AFP.

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    Pourtant, la proportion à de quoi choquer. Alors qu'il y a environ 3.000 lions sauvages en Afrique du Sud, ils sont plus de 5.000 à vivre en cage, élevés dans plusieurs dizaines d'exploitations. Une situation d'autant plus préoccupante que "les fermiers sont peu enclins à donner les chiffres exacts", admet M. Potgieter. D’ailleurs, s'ils accueillent volontiers les touristes, les éleveurs de fauves n'aiment pas parler aux journalistes. Dans la ferme de Bona Bona (au centre du pays), par exemple, des enclos abritent neuf lions et trois tigres du Bengale. Ils étaient trois fois plus nombreux en juin, juste avant la vente aux enchères annuelle de l'exploitation. Le dimanche, les animaux sont nourris en public moyennant un droit d'entrée de 80 rands (7 euros).

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    Pour 300 rands (27 euros) il est également possible de jouer avec des lionceaux, voire de leur donner le biberon. Les petits lions servent aussi, à l'occasion, de mascottes aux visiteurs du lodge. Ce fut les cas de l'équipe d'Espagne de football, basée à proximité, lors de la Coupe du monde de football de 2010. "Les lionceaux sont loués par les éleveurs à des complexes éco-touristiques pour être caressés par des touristes", accuse Chris Mercer, qui dirige une campagne contre la chasse. "Ce qui est intrinsèquement cruel, c'est que les petits sont spécifiquement retirés de leur mère à la naissance afin qu'ils puissent être utilisés comme des jouets et pour augmenter le rythme de reproduction, sans parler des méthodes employées pour s'assurer qu'ils sont dociles avec les touristes", ajoute Paul Hart.

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    10% des lions d'élevage abattus chaque année par des chasseurs

    Contrairement à ce qui est dit,  ces félins ne seront jamais relâchés dans la nature. "Ces lionceaux sont des animaux d'élevage qui resteront en cage jusqu'à ce qu'ils soient assez vieux pour être chassés", s’indigne M. Mercer. Selon des défenseurs des animaux, certains lions seraient aussi spécialement élevés pour leurs os, qui sont envoyés en Asie pour finir dans des philtres d'amour. Les éleveurs démentent. Ils assurent que seuls les fauves morts naturellement ou victimes des chasseurs sont concernés par ce commerce.

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    Bien qu’on ne chasse pas à Bona Bona, près de 10% des lions d'élevage sud-africains sont abattus tous les ans par des amateurs de trophées. Ceux-ci payent environ 22.000 dollars par mâle, et presque autant en frais annexes (organisation, logement, taxidermie...). Tirer une lionne revient à 4.000 dollars. Dans la province du Nord-Ouest, la plus riche en fermes à fauves, les lions sont relâchés, affamés, quatre jours avant le jour de la chasse. L’espace inconnu dans lequel ils se retrouvent ne leur laisse pratiquement aucune chance d'échapper à leurs poursuivants.

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    "En France, ils élèvent des millions de faisans, et ils les relâchent le samedi matin quand la chasse commence. Le principe est le même", justifie Pieter Potgieter, lui-même grand chasseur. "Que vous tuiez un bœuf, un mouton ou un cochon, ou que vous tuiez un lion, c'est exactement la même chose, c'est un animal !", conclut-il.

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    La Russie dévoile l'existence d'une mine de diamants

    19/09/2012 18:57

    La Russie dévoile l'existence d'une mine de diamants


    Cette mine recèlerait des milliards de diamants 

    Depuis quarante ans, les scientifiques de l’Institut de géologie et de minéralogie de la branche sibérienne de l’Académie russe des sciences étaient contraints au silence. Il aura fallu attendre le 16 septembre 2012 pour que l’existence d’une mine recelant des milliards de diamants soit dévoilée. Ils avaient été retrouvés en nombre au cœur d’un cratère de météorite de 100 kilomètres de diamètre, formé il y a plus de 30 millions d’années. Toutefois, l'existence de la réserve avait jusqu'ici été tenue secrète.

    Or, plusieurs raisons expliquent que ce gisement n’ait pas été révélé plus tôt. D’une part, dans les années 70, à l’époque de la découverte de cette mine, les Soviétiques investissaient massivement dans la production de diamants synthétiques. Mettre sur le marché de véritables diamants aurait donc mis en péril une partie de l’économie russe. D’autre part les diamants découverts en Russie présentent des caractéristiques exceptionnelles susceptibles de révolutionner l'industrie et la recherche. De quoi provoquer un "retournement total du marché des diamants", comme le souligne le directeur de l’institut à l’origine de la découverte, Nikolaï Pokhilenko.

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    Car en étudiant de près les diamants, les scientifiques russes se sont aperçus que ceux-ci étaient dotés de caractéristiques pour le moins inhabituelles. Les pierres présentent notamment une extrême dureté qui est deux fois plus importantes que celle des diamants traditionnels. Même leur structure est inédite et n'a jamais été retrouvée sur aucune autre pierre. Ces particularités font d'ailleurs penser à certains experts que l’origine de ces diamants pourrait ne pas être terrestre. De plus, la quantité de pierres contenues dans les roches est dix fois plus importante que celle des autres réserves connues. Ici, il est question de "billions de carats" (soit mille milliards de carats), souligne Nikolaï Pokhilenko.

    Rien à voir donc avec les mines de Yakoutie, la région russe spécialiste en mines de diamants qui sont estimées à "un milliard de carats". Ceci ferait donc de ce gisement l'un des plus importants au monde. Mais du fait de leur spécificité, ces diamants ne seront pas utilisés en joaillerie. Ils serviront plutôt à mettre au point des technologies scientifiques de pointe, où la demande en matériau de ce type va très certainement exploser. Selon les scientifiques, ceci pourrait même mener à une révolution technologique. De quoi réjouir la Russie qui a aujourd'hui le monopole sur l’approvisionnement de cette matière unique au monde.






    Une étude prédit la fin de notre planète avant l'an 2100

    09/09/2012 22:54

    Une étude prédit la fin de notre planète avant l'an 2100


    La fin de la terre plutôt que prévu ? 

    Un article de la revue Nature intitulé "Approaching a state-shift in Earth’s biosphere" a fait l'effet d'une petite bombe dans la communauté scientifique en prédisant une fin imminente à notre planète. Cette fatalité aurait lieu d'ici l'année 2100 et serait due à l'emballement des changements radicaux des écosystèmes et du climat de la Terre.

    Une étude de la Simon Fraser University (SFU) de Vancouver publiée dans la revue Nature montrerait qu'un effondrement total de la planète se produirait d'ici la fin du siècle. L'étude, menée par 18 scientifiques, soulève plusieurs points inquiétants : la dégradation générale de la nature et des écosystèmes, les fluctuations climatiques de plus en plus extrêmes et le changement radical du bilan énergétique global. Ces modifications finiraient par arriver à un point de non-retour, c'est-à-dire qu'elles deviendraient irréversibles.

    Arne Moers, qui a dirigé la recherche, rappelle : "Le dernier point de basculement dans l’histoire de la Terre est apparu il y a 12.000 ans. C'est à l'époque où la planète est passée de la phase glaciale à celle actuelle, appelée inter glaciale. A ce moment, des changements biologiques les plus extrêmes menant à notre état actuel sont apparus en seulement 1.000 ans. C’est comme passer de l’état de bébé à l’âge adulte en moins d’une année. Et la planète est en train de changer encore plus vite aujourd'hui". Or, un système ne peut pas passer d’un état à l’autre sans épuisement. Pour le chercheur : "La planète ne possède pas la mémoire de son état précédent.[...] Le prochain changement pourrait être extrêmement destructeur pour la planète. Une fois que le seuil critique sera dépassé, il n’y aura plus de possibilité de revenir en arrière". Ce "seuil critique" serait l'utilisation de 50% des ressources terrestres, alors que 43% ont déjà été exploitées.

    La publication de l'équipe de la FSU a été commentée et critiquée par de nombreux chercheurs. Parmi eux, Aaron Ellison, experte des dynamiques liées à la biodiversité et aux changements climatiques de l'Université de Harvard dénonce la banalité de l'étude : "On sait déjà très bien que les choses changent très vite et qu’il faut comprendre ce qu’il va se passer, considéré l’urgence de la situation". Pour Brad Cardinal, de l’Université du Michigan, cette recherche est suggestive, mais pas définitive : "Seul le temps nous donnera la réponse. Ce n’est pas la première fois qu’une étude du genre est publiée". Pourtant, l'étude se distingue de celles réalisées jusqu'alors par l'originalité des méthodes employées. La diversité des sources, notamment, conduisent à prendre très au sérieux ce nouvel avertissement. En effet, des théories scientifiques, des modélisations d'écosystèmes et des preuves paléontologiques ont, pour la première fois, converger à montrer la destruction imminente de notre planète.

    "Les hommes n'ont rien fait de réellement d'important pour éviter le pire"

    Dans tous les cas, ce qui semble évident pour tous les experts du domaine est l'urgence d’effectuer une vraie révolution dans le style de vie de l’humanité. Cette révolution impliquerait une augmentation du développement durable, des énergies alternatives et une meilleure gestion de l’écosystème. Les 18 scientifiques ayant réalisé l'étude proposent aux gouvernements d'entreprendre quatre actions immédiates :

    - diminuer radicalement la pression démographique;

    - concentrer les populations sur les zones enregistrant déjà de fortes densités afin de laisser les autres territoires tenter de retrouver des équilibres naturels;

    - ajuster les niveaux de vie des plus riches sur ceux des plus pauvres;

    - développer de nouvelles technologie permettant de produire et de distribuer de nouvelles ressources alimentaires sans consommer davantage de territoires et d'espèces sauvages.

    D'après le directeur de l'étude, jusqu'à maintenant : "les hommes n'ont rien fait de réellement d'important pour éviter le pire car les structures sociales existantes ne sont juste pas les bonnes. C’est comme si on refusait d’y penser. Nous ne sommes pas prêts. Mes collègues ne sont pas juste inquiets. Ils sont terrifiés".






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