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La Terre en passe de devenir plus chaude que lors des 11.300 années passées
15/03/2013 00:10
De 1,1 à 6,3 degrés Celsius en plus d'ici 2100
Se fondant sur des analyses effectuées sur 73 sites autour du globe, des scientifiques ont pu reconstituer l’histoire des températures terrestres depuis la fin de la dernière période glaciaire, il y a environ 11.000 ans. Ils ont constaté que ces dix dernières années ont été les plus chaudes, comparé à 80% des 11.300 années passées.
Virtuellement, tous les modèles climatiques évalués par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) montrent que la Terre sera plus chaude d’ici la fin du siècle qu’à n’importe quel moment durant les 11.300 dernières années et ce, selon tous les scénarios plausibles d’émissions de gaz à effet de serre.
« Nous savions déjà que la surface de la Terre est plus chaude aujourd’hui que pendant la plupart des deux mille dernières années; nous savons désormais que les températures sont aujourd’hui plus élevées que durant la plupart des 11.300 années passées… (période) qui correspond à l’essor de la civilisation humaine », relève Shaun Marcott, chercheur à l’Oregon State University (nord-ouest). Il est le principal auteur de ces travaux parus dans la revue Science datée du 8 mars.
L’histoire du climat montre qu’au cours des 5.000 dernières années la Terre s’est refroidie de 0,80 degré Celsius, jusqu’aux 100 dernières années qui ont vu la température moyenne monter de 0,80 degré, avec la plus forte hausse dans l’hémisphère nord où il y a plus d’étendues de terre et une plus grande concentration de populations.
Selon les modèles climatiques, la température moyenne globale augmentera encore de 1,1 à 6,3 degrés Celsius d’ici 2100, en fonction de l’ampleur des émissions de CO2 provenant des activités humaines, indiquent ces chercheurs. « Le plus préoccupant, c’est que ce réchauffement sera nettement plus grand qu’à n’importe quelle période durant les 11.300 dernières années », souligne Peter Clark, un paléoclimatologue à l’Oregon State University, coauteur de l’étude.
La position de la Terre par rapport au Soleil, notamment son inclinaison, est le principal facteur naturel qui a affecté les températures au cours des 11.300 dernières années, expliquent ces scientifiques. « Pendant la période la plus chaude du paléocène les 11.000 dernières années, la Terre était dans une position qui rendait les étés plus chauds dans l’hémisphère nord », indique Shaun Marcott.
« Avec le changement de cette orientation, les étés dans l’hémisphère nord se sont refroidis, et nous devrions encore être aujourd’hui dans cette longue période de refroidissement, ce qui n’est pas le cas », ajoute-t-il. Et toutes les études s’accordent à conclure que le réchauffement de ces 50 dernières années résulte des activités humaines et non de phénomènes naturels.
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Une étrange créature a été découverte sur une plage du Pays de Galles
03/03/2013 01:08
Etrange découverte au Royaume-Uni
Le visage d’un cheval, le corps d’un porc et les griffes d’un ours, voilà en quelques mots la description de cette mystérieuse créature que Peter Bailey a découvert gisant sur une plage de Tenby tandis qu’il promenait son chien.
Interpellé, ce jeune homme de 27 ans a pris une photo du corps et l’a montrée aux élus locaux. Pour certains, il pourrait s’agir d’un Jack Russel mais pour Peter Bailey, la créature était beaucoup trop grande pour être un chien.
« C’était une chose répugnante », confie-t-il. « J’ai d’abord songé qu’il s’agissait d’un cheval mais il avait les griffes d’un ours et le corps d’un porc. Il était évidemment décomposé et avait perdu ses poils ».
Les photos de la créature déjà rebaptisée « le monstre de Tenby », ont également été montrées au Dr Dan Forman, professeur au Swansea University’s College of Science et selon lui, il pourrait s’agir d’un autre carnivore. « Il est difficile de se prononcer à partir d’une image mais à en juger par sa taille et par le fait qu’il a cinq orteils, ça pourrait être un blaireau ».
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Eteignez vos lumières et participez à Heart Hour
28/02/2013 23:55
Faites un geste pour la planète
Samedi 23 mars 2013 de 20H30 à 21H30, plus d’un milliard de personnes éteindront leur lumière pendant une heure en participant à l’opération Earth Hour, "la plus grande manifestation en faveur de la lutte contre le dérèglement climatique", selon Ban Ki-Moon, secrétaire générale des Nations Unis. En participant à cette édition, nous avons une nouvelle opportunité pour faire entendre notre voix et appeler à une mobilisation mondiale contre le péril climatique.

Earth Hour est un événement mondial à l’initiative du WWF invitant à éteindre la lumière pendant une heure pour montrer son engagement dans la lutte contre le changement climatique.

Comme tous les derniers samedi du mois de mars depuis 2007, le WWF célèbre partout dans le monde "Earth Hour", de 20h30 à 21h30 (heure locale de chaque pays). Les citoyens, les pouvoirs publics, les villes et les entreprises sont invités à éteindre leurs lumières pendant une heure afin de lutter contre le changement climatique. Une opération symbolique qui vise à interpeler les dirigeants du monde entier.
Des centaines de millions de participants dans plus de 135 pays et 5300 villes participeront à ce moment fort, plein de conviction et de partage.
Imaginez l'extinction de plus de 1200 monuments à travers le monde, comme la Cité interdite de Beijing, l'Empire State Building, les pyramides de Gizeh, le Colisée de Rome, le Christ rédempteur à Rio, l'acropole d'Athènes, la tour Burj Khalifa à Dubaï, la Cité interdite à Pékin, la Tour Eiffel de Paris… Imaginez des millions de foyers éteignant à l'unisson leurs lumières, pour se joindre à ce mouvement.

Engagez-vous aussi pour la planète
La planète a besoin de tous, elle a besoin de vous ! Inscrivez-vous sur earthhour.fr ! Dès maintenant informez votre famille, prévenez vos amis de cette manifestation joyeuse, faites le buzz sur tous vos réseaux sociaux, parlez-en sur votre lieu de travail ou dans vos cafés préférés, écrivez à votre maire pour qu’il puisse faire éteindre les monuments de votre ville.
Votons pour la planète, soyons visibles éteignons nos lumières ! Quoique vous fassiez le samedi 23 mars 2013, de 20h30 à 21h30, faites-le dans le noir ! Allumons nos consciences !

Inscrivez-vous dés maintenant :
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Earth Hour 2012 Official Video
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La limace de mer au pénis jetable
14/02/2013 21:16
Une étonnante originalité pour cet hermaphrodite
Une limace de mer hermaphrodite pousse l’originalité jusqu’à se séparer de sa verge après avoir copulé. Pour mieux s’en faire pousser un nouveau et recommencer de plus belle.
«Aucun autre animal n’est connu pour copuler à plusieurs reprises à l’aide de tels ‘pénis jetables’», écrivent des chercheurs japonais dans une étude consacrée à l’étrange vie sexuelle de la Chromodoris reticulata.
Le mollusque rouge et blanc n’a pas besoin de plus de 24 heures entre deux accouplements pour dérouler un «pénis juvénile» comprimé à l’intérieur de son corps, et remplacer l’ancien appendice usagé, expliquent les biologistes dans la revue Biology Letters de l’Académie des sciences britannique. Et la limace de mer peut rééditer cet exploit au moins trois fois d’affilée.
Longue comme le pouce, Chromodoris reticulata est hermaphrodite, autrement dit elle est dotée à la fois d’organes sexuels mâle et femelle. Lorsque deux limaces se reproduisent, elles assurent simultanément les deux rôles : chacune donne son sperme et reçoit en retour celui de son partenaire, qu’elle stocke pour une insémination ultérieure. Les chercheurs ont observé la copulation de Chromodoris reticulata capturées en mer et placées en aquarium.

Structure en spirale
Après chaque accouplement, d’une durée variant de quelques dizaines de secondes à quelques minutes, chaque limace se débarrassait de son pénis, un organe en forme de filament situé sur le côté de l’animal et projeté dans le vagin du partenaire. Un examen microscopique de ces pénis jetables a mis en évidence une structure en spirale qui semble pousser pour former un pénis de remplacement, un peu à la manière d’une bobine de fil qu’on déroule.
«La structure en spirale aurait besoin d’à peu près un jour pour être prête à la copulation», estime l’étude. Les chercheurs ont également découvert que le pénis de la Chromodoris était recouvert de petites épines, orientées vers l’arrière comme sur un harpon. Cela rendrait difficile l’extraction du pénis une fois la copulation accomplie, expliquant peut-être pourquoi cet organe est détachable.
De nombreux animaux sont capables de se séparer d’une partie de leur corps, la queue chez les lézards, la peau même chez certaines souris, mais bien peu renoncent ainsi à leur pénis, soulignent les scientifiques japonais.
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Nuages : les cumulonimbus sont des nids à bactéries
01/02/2013 23:47
Certaines bactéries participeraient même aux processus qui créent la pluie
Les nuages ont beau semblé être de grosses masses de coton immaculé, ils sont loin d'être dénués de toutes saletés. Ils abritent même de nombreuses bactéries. C'est ce qu'explique une toute nouvelle étude publiée la semaine dernière dans la revue PLoS One. Mais il faut l'avouer, la découverte ne date pas d'hier. En effet, par le passé, des chercheurs avaient déjà trouvé des bactéries dans les nuages situés au-dessus de sommet de montagne.
Des micro-organismes avaient même été dénichés jusqu’à 40 km au-dessus du sol, poussant les chercheurs à supposer qu'ils étaient capables de survivre dans l’espace. Pour en savoir plus sur cette population microbienne, des chercheurs danois ont donc prolongé les travaux. Plus précisément, ils ont cherché à savoir si les bactéries pouvaient vivre dans les violents cumulonimbus qui planent au-dessus de la Terre. Pour cela, Tina Santl Temkiv et ses collègues ont étudié 42 grêlons qui se sont formés dans une tempête apparue au-dessus de Ljubljana en Slovénie, en mai 2009.
Après avoir délicatement ôté la couche supérieure des grêlons et les avoir stérilisés, ils ont analysé leur composition chimique. Les scientifiques ont alors constaté que ces structures recelaient des milliers de composés organiques, au moins autant que dans une rivière. Ajouté à cela, ils ont également déterminé la présence de plusieurs espèces de bactéries qui sont habituellement retrouvées dans des plantes et qui ont montré des propriétés fascinantes. Certaines espèces produisent ainsi un pigment rosé qui les protège du rayonnement ultraviolet qui devrait normalement les détruire.

Des bactéries qui favorisent les intempéries ?
D'autres agissent comme des "nucléateurs de glace", autrement dit comme des graines qui induisent la formation de cristaux de glace. Lorsque ces derniers sont suffisamment grands, ils précipitent alors sous forme de pluie ou de neige, en fonction de la température. Avec ces résultats, l’étude suggère que ces bactéries pourraient influencer directement les conditions météorologiques sur Terre. Certaines de ces espèces bactériennes "pourraient croître dans les nuages, se multiplier et ainsi modifier la chimie des nuages mais également indirectement, celle de l’atmosphère", a indiqué Tina Santl Temkiv à LiveScience.
"Ces cumulo-nimbus sont des phénomènes relativement violents. Ils aspirent de colossales quantités d’air et c’est probablement de cette façon que les bactéries se retrouvent dans les nuages", a t-elle précisé ajoutant que des courants d’air ascendants pourraient favoriser cette colonisation bactérienne des nuages. Mais ce phénomène pourrait surtout permettre de relier des écosystèmes normalement distants et fournir par là-même un vrai avantage aux bactéries transportées.
En colonisant les nuages puis les grêlons, elles se retrouvent de nouveau au sol, là où elles vivent habituellement mais loin de l'endroit où elles ont été prélevées. Un mode de dispersion qui doit être prise en compte pour les études d'épidémiologie et d'écologie microbienne, d'après les spécialistes.
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