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VIP-Blog de sweet-cherry
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  • Créé le : 19/03/2007 21:46
    Modifié : 06/06/2024 15:41

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    Il ne resterait que 3200 tigres dans le monde entier

    03/01/2010 20:40

    Il ne resterait que 3200 tigres dans le monde entier


    Au bord de l'extinction 

    Les scientifiques et les spécialistes de la biodiversité vont intensifier leurs efforts pour sauver l'une des espèces les plus belles et les plus menacées de la planète, le tigre.

    Panthera tigris, le tigre, figure toute en haut de la liste des espèces au bord de l'extinction et qui constitue donc un enjeu majeur des efforts de préservation de l'année 2010.

    Cette année a été désignée Année internationale de la Biodiversité par les Nations Unies. C'est pourquoi, le WWF a élaboré une liste des espèces qu'il est critique de surveiller de très près cette année.

    Sur cette liste, figurent des animaux tel que l'ours polaire et le panda géant.

    Cette année sera également l'Année du Tigre pour les Chinois, c'est pourquoi le tigre s'impose comme l'animal symbole du combat pour les espèces "iconiques" qui auront bientôt disparu de la surface de la Terre si on ne fait rien.

    Lors du siècle passé, la population mondiale des tigres a décliné de près de 95 % ! Ce résultat désastreux est le résultat d'innombrables safaris et braconnages. Chassé pour la gloire (sic) ou certaines parties de son corps valorisées par la médecine chinoise, le tigre est partout en danger.

    Trois parmi les 9 sous-espèces de Tigre, le tigre de Bali, le tigre de la Caspienne et le tigre de Java sont désormais éteintes. Il n'y en existe plus. Une quatrième espèce de tigre, celui de Chine du sud, n'a pas été vue depuis 25 ans.

    Les espèces qui sont encore vivantes sont celle du Bengale, de l'Amour, de l'Indochine, le tigre de Sumatra et le tigre de Malaisie. Toutes ces espèces, sauf les tigres du Bengale et d'Indochine, il ne reste que quelques centaines de représentants. Pas loin du nombre critique en deçà duquel une espèce peut avoir du mal à se maintenir.

    Signe positif, dans les années passées on a connu quelques succès qui ont conduit à arrêter le déclin du nombre de tigres de lAmour.

    Par exemple, on a réussi à arrêter l'hémorragie de tigre de l'Amour qui habite dans l'Est de la Russie en faisant stopper la chasse au tigre. Le nombre de tigres qui était tombé à quelques douzaines et remonté à environ 500 grâce aux mesures de conservation prises par les Autorités russes.

    Cet exemple montre qu'il est possible de faire quelque chose même si ces 3 dernières année le braconnage a repris et la pression sur l'habitat des tigres a augmenté.

    Le changement climatique a un impact. Par exemple, l'élévation du niveau de la mer qui menace la mangrove menace l'habitat des tigres dans les bordures du Bengladesh et de l'Inde.  D'où les efforts de la communauté internationale pour sauver tous les tigres en 2010.

    Bien entendu, il y a des milliers d'autres espèces menacées. Alors pourquoi sélectionner le tigre en particulier ?

    Parce que si on arrive à sauver cette espèce si emblématique, on en sauvera en même temps beaucoup d'autres.

    Etat d'alerte

  • - 1/4 des espèces mammifères sont menacées.
  • 88 mammifères se trouvent dans la catégorie la plus grave, "en danger critique d'extinction".
  • - Globalement, 70 % des plantes sont en danger.
  • - 1/8 des espèces d’oiseaux sont menacées.
  • - 1/3 des espèces de poissons sont menacées.
  • - En 100 ans, 50% des zones humides de la planète ont disparu.
  • - 50% de la banquise arctique ont fondu depuis 1965.
  • - 28 hectares de forêt sont détruits chaque minute sur la planète alors que 50% de la faune et de la flore se trouent dans les forêts tropicales humides.
  • - Au total, 785 espèces sont déjà éteintes et 65 survivent seulement en captivité ou à l'état domestique, selon l'UICN.
  • - Selon les experts, le rythme actuel d'extinction est de 100 à 1000  fois supérieur à ce qu'il a été en moyenne sur des centaines de millions d'années.
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    La mer d'Aral en voie de renaissance au Kazakshtan

    28/10/2009 00:40

    La mer d'Aral en voie de renaissance au Kazakshtan


    La mer d'Aral est de retour

    Réduite à peau de chagrin par de grands systèmes d'irrigation en Asie centrale, elle renaît désormais peu à peu, dans sa portion située au Kazakhstan, grâce à un barrage qui détourne à son profit les eaux du fleuve Syr Daria.

    Jadis quatrième plus grande étendue d'eau douce au monde avec une superficie comparable à l'Irlande, la mer d'Aral a vu ses eaux détournées à l'époque soviétique pour irriguer de vastes champs de coton, ce qui l'a fait disparaître à 90%, la réduisant à une série de petites étendues d'eau isolées. Une catastrophe "sans précédent dans les temps modernes", explique Philip Micklin, professeur de géographie à l'université Western Michigan, aux Etats-Unis.

    Près de 18 ans après la disparition de l'URSS, la situation reste très préoccupante. Des images satellitaires prises cette année montrent qu'une partie de la mer d'Aral s'est rétrécie de 80% au cours des trois dernières années.

    La construction du barrage de Kokaral par la Banque mondiale et le gouvernement kazakh a en revanche permis la renaissance d'une petite section de la mer d'Aral située au Kazakhstan.

    Le port d'Aralsk, également connu sous le nom d'Aral, avait fini par se retrouver à 100 kilomètres à l'intérieur des terres au Kazakhstan. Mais depuis la construction du barrage, l'eau est revenue à moins de 25 kilomètres de la localité, et pourrait l'atteindre dans six ans, selon la Banque mondiale. "Bonne nouvelle: la mer revient", annonce un panneau à l'entrée d'Aralsk.

    "Il y a enfin de l'espoir et une vie à mener ici", déclare Badarkhan Prikeïev, 49 ans, un négociant en poissons en attendant ses pêcheurs près du village d'Akespe, à 90 kilomètres à l'ouest d'Aralsk. "Il y a du travail pour ceux qui le veulent." Cet été, ses bateaux sont revenus chargés de brochets et de carpes.

    Un programme de 88 millions de dollars lancé en 2001 a abouti à la construction du barrage de Kokaral pour diriger les eaux du Syr Darya vers la partie kazakhe de la mer d'Aral plutôt que de les laisser "se perdre" en s'écoulant vers le sud.

    Les cinq anciennes Républiques soviétiques d'Asie centrale sont largement d'accord sur la nécessité de coordonner l'utilisation des deux grands fleuves de la région: l'Amou Darya et le Syr Darya. Mais en pratique, il y a peu de collaboration, ce qui signifie une mort certaine pour une grande partie de la mer d'Aral.

    L'impact du barrage de Kokaral est en tout cas spectaculaire. La hausse du niveau de l'eau a rafraîchi le climat et réduit suffisamment la salinité de la mer d'Aral dans cette zone pour permettre la vie d'espèces d'eau douce.

    Selon la Banque mondiale, les prises de poissons d'eau douce ont atteint 2.000 tonnes en 2007 contre seulement 52 tonnes en 2004. Pour la première fois depuis des années, de nombreux Kazakhs vivant près du rivage ont le sentiment d'avoir un avenir.

    "Mon père a grandi dans un village de pêcheurs et prendre du poisson est ce que nous avons fait toute notre vie", explique M. Prikeïev, qui supervise plus de 100 pêcheurs lorsque la saison bat son plein, en été. "Mon rêve est d'améliorer les choses pour les pêcheurs, pour qu'ils puissent vivre et travailler un peu plus facilement."

    Alexander Dantchenko, ouvrier de chantier naval en retraite, assure que le retour de l'eau a un impact sur le climat. "Lorsqu'il n'y avait pas la mer, on avait l'impression d'être dans une poêle à frire au milieu du désert ici." Mais avec le retour de l'eau "on peut sentir parfois une brise fraîche et agréable venir du sud".

    Les progrès enregistrés au Kazakhstan restent toutefois modestes comparés à l'ampleur du désastre. Plutôt que de chercher à sauver la mer d'Aral, l'Ouzbékistan, qui en contrôle les trois-quarts, a choisi de maintenir la lucrative industrie du coton et de rechercher du gaz et du pétrole sous son lit asséché.






    La fonte inquiétante de l'Arctique

    14/08/2009 00:35

    La fonte inquiétante de l'Arctique


    Nouveau record pour 2009

    A la faveur d'un été particulièrement "chaud", des dizaines de milliers de kilomètres carrés supplémentaires de banquise ont fondu dans l'Océan arctique, les chercheurs n'excluant pas un nouveau record.

    Au cours du siècle écoulée, les températures ont augmenté de 0,6 degrés centigrades. Mais dans l'Arctique, les températures ont augmenté deux fois plus vite, au minimum. Et ce à cause des gaz à effet de serre, accusent les scientifiques.

    Fin juillet, le mercure frôlait les 30 degrés à Tuktoyaktuk, village perdu dans l'extrême Nord-Ouest canadien, à plus de 2.400km au nord de Seattle où vivent 900 Inuvialuit, nom des populations de l'Arctique occidental.

    Début août, selon le U.S. National Snow and Ice Data Center (NSIDC, basé au Colorado), la banquise s'étendait sur 6,75 millions de km2, après avoir retréci en moyenne de 106.000 km2 par jour en juillet, soit l'équivalent de trois Belgique quotidiennes. Ce taux était équivalent à celui enregistré en juillet 2007, l'année où la fonte a atteint un record, la banquise n'étant plus en septembre que de 4,3 millions de km2.

    Les conditions atmosphériques de cet été ont été similaires à celles de l'été 2007, y compris les hautes pressions, avec les ciels clairs et une fonte importante dans la mer de Beaufort, le bras de l'Arctique au large de l'Alaska du nord et du Nord-Ouest canadien.

    Selon les scientifiques, la composition même de la glace de mer a évolué ces dernières années: sa forme principale n'est plus cette glace épaisse vieille de plusieurs années, mais une glace plus fine, annuelle, qui se solidifie l'hiver et fond l'été.


    La fonte des glaces depuis 2007 semble avoir poussé cette des sections de banquise en désintégration, mais encore épaisse jusqu'au passage du Nord-Ouest, le chenal relativement étroit par où l'eau circule entre les îles arctiques canadiennes. Ces deux derniers étés, des passages habituellement infranchissables étaient libres de glace.

    En septembre, les satellites d'observation diront aux scientifiques si la fonte des glaces a battu un record cette année. Puis le soleil commencera à se faire de plus en plus rare et, pendant plusieurs mois, les basses températures de l'hiver arctique feront que la surface de la mer gèlera à nouveau.

    A Copenhague, en mars, la conférence de l'ONU sur le changement climatique avait constaté que le changement était plus rapide qu'anticipé. Un mois plus tard, les océanographes américains prédisaient que les étés arctiques seraient quasiment libres de glace d'ici 30 ans, et non pas à la fin du XXIe siècle, comme ils le pensaient auparavant.






    Les sécheresses de la forêt amazonienne

    11/05/2009 00:48

    Les sécheresses de la forêt amazonienne


    Menacent le puits de carbone

    Selon une étude parue dans la revue Science, la sécheresse réduit la capacité de stockage de CO2 de la forêt amazonienne. Pire, les épisodes de chaleur inverseraient la capacité de captation, transformant le puits de carbone en source d'émission.

    Avec une superficie de six millions de kilomètres carrés, l'Amazonie couvre le Nord-Ouest de l'Amérique du Sud, majoritairement au Brésil et jusqu'en Bolivie, au Pérou, en Equateur, Colombie, Venezuela, Guyana, Surinam et Guyane Française. Chaque année, le poumon vert de la planète ''recycle'' 66 milliards de tonnes de CO2 c'est-à-dire près de trois fois les émissions des carburants fossiles brûlés dans le monde.

    Dans une étude publiée le 6 mars dans la revue ''Science'' coordonnée par Oliver Phillips de l'université de Leeds (Angleterre), les 68 scientifiques du réseau de surveillance internationale de recherche des forêts amazoniennes (RAINFOR), auquel participent le Cirad, l'INRA et l'université Paul Sabatier, ont mesuré l'impact de la sécheresse de 2005 sur le rôle de puits de carbone de la forêt amazonienne.

    A partir de données de croissance de plus de 100.000 arbres de la forêt amazonienne, enregistrées depuis 30 ans, les chercheurs ont constaté que la sécheresse de 2005, liée à des températures très élevées dans l'Atlantique nord, a provoqué une inversion brutale des absorptions de carbone réalisées pendant des décennies.

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    Raoni, le seigneur de la forêt amazonienne, chef des Indiens Txukarramaës

    Alors que l'Amazonie est déjà gravement frappée par la déforestation, cette sécheresse a provoqué une accélération de la mortalité des arbres qui tend à diminuer le flux de fixation de carbone et à augmenter la libération de carbone, expliquent les chercheurs. Ce qui pourrait faire basculer la forêt amazonienne d'un rôle de ''puits de carbone'' vers un rôle de ''source'' de carbone pour l'atmosphère, soulignent-ils.

    Selon leur analyse, cette sécheresse en Amazonie aurait ainsi diminué de 5 milliards de tonnes la séquestration de CO2 par la forêt. Si ce puits de carbone est amoindri, voire fonctionne à l'envers, le niveau de dioxyde de carbone dans l'atmosphère augmentera encore plus, prévient Oliver Phillips, et accélérera le réchauffement climatique.

    Rappelons par ailleurs, que selon une étude de l'organisation environnementale WWF publiée en décembre 2007, l'exploitation du bois, le développement du bétail et l'aggravation de la sécheresse devraient progresser dans les prochaines années et détruire 55% de la forêt amazonienne d'ici 2030. La déforestation de l'Amazonie pourrait relâcher entre 55,5 milliards et 96,9 milliards de tonnes de dioxyde de carbone dans l'atmosphère d'ici 2030, soit l'équivalent de deux années d'émission de CO2 dans le monde, avait indiqué le WWF. En cas de diminution de 10% des précipitations dans la forêt amazonienne, 4% de forêts supplémentaires pourraient être détruites, avait ajouté l'organisation.

    L'importance de la forêt amazonienne sur le climat de la planète ne peut être minimisée. Elle est non seulement essentielle pour le rafraîchissement des températures mondiales, mais également une source importante d'eau douce qui peut être suffisante pour influencer certains des grands courants océaniques et constitue une réserve massive de carbone, avait souligné Daniel Nepstad, auteur du rapport.








    Un requin rarissime capturé aux Philippines !

    09/04/2009 23:41

    Un requin rarissime capturé aux Philippines !


    Ce requin est l'un des seuls de son espèce à avoir été capturé

    Ce requin grande gueule (Megachasma pelagios) capturé dans les eaux philippines, serait seulement le 41e de son espèce connu de l'Homme. Mais si la science aurait aimé l'analyser plus en détail, les pêcheurs qui l'ont capturé ont, eux, préféré le cuisiner.

    Un requin grande gueule de 4 mètres de long, espèce de squale parmi les plus rares du monde, a été capturé au large de Donsol par des pêcheurs philippins.

    L'animal de 4 mètres de long a été capturé le 30 mars dernier, par des pêcheurs de maquereaux. Il est le 41e de son espèce seulement à être découvert, selon le WWF-Philippines.

    Revenus à terre, les pêcheurs ont amené l'étrange créature, morte durant sa capture, au responsable local du WWf, Elson Aca. Celui-ci, après avoir rapidement identifié l'animal, a essayé d'encourager les habitants à ne pas manger ce requin mais malgré ses efforts, le squale de 500 kilos a été découpé et cuisiné.

    "Même s'il est triste que ce rare requin grande gueule soit définitivement perdu, sa découverte souligne l'incroyable biodiversité de la région et la relative bonne santé de cet écosystème" a déclaré Yokelee Lee, responsable du Triangle du corail pour le WWF.








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