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VIP-Blog de sweet-cherry
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  • Créé le : 19/03/2007 21:46
    Modifié : 06/06/2024 15:41

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    2009 sera chaud, très chaud !

    13/01/2009 01:19

    2009 sera chaud, très chaud !


    2009 devrait être une des années les plus chaudes jamais enregistrées

    Selon les prévisions des météorologues du Met Office and University of East Anglia, l'année 2009 pourrait être l'une des plus chaudes jamais enregistrées.

    La température globale moyenne attendue cette année devrait se situer 0,4 °C au-dessus des moyennes connues, faisant de cette année la plus chaude de toutes depuis 2005.Malgré l'influence de la Nina, ce phénomène climatique refroidissant les eaux du Pacifique et influant sur le climat mondial, 2009 devrait se placer dans le "top 5" des années les plus chaudes. Le Met Office prévoit également des températures globalement plus élevées et présentant une grande probabilité de battre des records après 2009. Actuellement, l'année la plus chaude reste 1998, qui avait été dominée par un phénomène El Nino extrême, entraînant des températures moyennes de 14,52°C, supérieures à la moyenne de la période 1961-1990 (14°C).


    Pour le directeur de l'unité de recherche climatique à l'université d'East Anglia : "Le fait que 2009, comme 2008, n'explose pas le record de température ne veut pas dire que le réchauffement climatique s'est arrêté. Ce qui est saisissant, c'est le réchauffement global enregistré sur la période 2001-2007, laquelle présente une température moyenne de 14,44°C, soit 0,21°C de plus que la période 1991-2000."








    50 % de l'humanité sera menacée de famine !

    13/01/2009 00:27

    50 % de l'humanité sera menacée de famine !


    50 % de l'humanité menacé de crise alimentaire d'ici 2100 par le réchauffement global

    Dans une étude parue dans la revue Science datée du 9 janvier, des scientifiques américains indiquent que le réchauffement du climat risque de précipiter la moitié de la population mondiale dans une crise alimentaire d'ici la fin de ce siècle. Il est donc urgent de prendre des mesures d'adaptation pour en minimiser la sévérité.

    Ces projections sont basées sur des observations directes et des données provenant de 23 modèles informatiques sur l'évolution du climat terrestre.Selon ces chercheurs, la probabilité est supérieure à 90% que d'ici 2100 les températures minimales de la saison des cultures dans les régions tropicales et subtropicales soient plus élevées que tous les maxima enregistrés jusqu'à présent, ce qui réduira considérablement les récoltes affectées par la chaleur.

    "Nous prenons le pire de ce que nous avons vécu historiquement et nous disons qu'à l'avenir ce sera nettement plus grave sans une adaptation", explique Rosamond Naylor, directrice du programme sur la sécurité alimentaire à l'Université Stanford en Californie (ouest), co-auteur de cette étude.

    "Nous devons repenser le système agricole dans son ensemble, pas seulement en recourant à de nouvelles variétés (mieux adaptées à la chaleur et à la sécheresse) mais aussi en reconnaissant qu'une grande partie de la population, surtout dans les pays pauvres, devra sortir de ce secteur d'activité" dont elle dépend aujourd'hui entièrement pour sa survie, ajoute-t-elle.

    "Les conséquences sur la production alimentaire mondiale de la seule hausse des températures seront énormes et cela ne tient même pas compte de la diminution des quantités d'eau qui seront disponibles", relève David Battisti, professeur de science atmosphérique à l'Université de l'Etat de Washington (nord-ouest), le principal auteur de ces travaux.

    Dans les zones tropicales, les températures plus chaudes devraient réduire le rendement des principales récoltes alimentaires comme le maïs et le riz de 20 à 40%, selon ces chercheurs. L'humidité moindre des sols devrait entraîner une réduction encore plus grande de ces cultures, souligne-t-ils.

    Actuellement, la moitié des habitants de la Terre, soit trois milliards, vivent dans les régions tropicales et subtropicales et leur nombre devrait doubler d'ici la fin du siècle.

    Ces régions vont du sud des Etats-Unis au sud du Brésil et recouvrent une partie de la Chine, de l'Australie, le nord de l'Argentine et de l'Inde ainsi que la totalité du continent africain.

    Un grand nombre des personnes concernées vivent dans des pays en développement avec moins de deux dollars par jour et dépendent largement de l'agriculture pour leur subsistance, relèvent les chercheurs.

    La population de cette ceinture équatoriale qui s'étend de 35 degrés de latitude nord à 35 degrés de latitude sud compte parmi la plus pauvre de la planète et s'accroît plus rapidement que partout ailleurs.

    " Quand tous les signes pointent dans la même direction et dans ce cas c'est une mauvaise direction, on peut parfaitement imaginer ce qui va arriver", met en garde David Battisti. "Nous parlons de centaines de millions de personnes en plus qui seront à la recherche de nourriture car elles ne seront pas en mesure de la trouver où elle se trouve encore aujourd'hui", prévient-il.

    Ces projections et signes "sont assez convaincants pour que nous investissions afin de nous adapter à un monde plus chaud", insiste Rosamond Naylor, tout en soulignant qu'il faudra des décennies pour développer de nouvelles variétés de cultures mieux adaptées. "Ce qui me frappe, poursuit-elle, c'est que dans l'histoire on finissait toujours par avoir une solution à une crise alimentaire dans une année donnée, les gens pouvant toujours aller chercher ailleurs de la nourriture", dit-elle. "Mais à l'avenir, il n'y aura pas d'autres endroits si nous ne repensons pas nos sources alimentaires", ajoute la scientifique.






    L'Amazonie aura disparu en 2030 !

    22/11/2008 01:03

    L'Amazonie aura disparu en 2030 !


    L'Amazonie se meurt lentement mais sûrement 

    La forêt amazonienne, poumon de la planète, a perdu au mois d'août 756 kilomètres carrés de bois, en grande partie à cause de l'abattage et les incendies qui s'en suivent. Cela représente plus du double de la superficie disparue au mois de juillet (113%), ce qui fait craindre le pire pour l'avenir de cette forêt immense.

    L'année 2008 aura été particulièrement destructrice puisque la disparition des arbres y a augmenté de 229% - en comparaison avec 2007. Ces chiffres proviennent de l'Institut brésilien pour l'Environnement et la Gestion de l'Espace (INPE).

    Un territoire gigantesque

    A ce rythme, la forêt amazonienne aura disparu d'ici 2030. Ce territoire, d'une superficie de 6,7 millions de kilomètres carrés, est la plus grande forêt tropicale du monde et la majeure partie de celle-ci se trouve au Brésil (environ 65%). Une crise qui s'accélère puisque plus d'un demi million de kilomètres carrés (un territoire aussi grand que la France) ont disparu durant seulement les vingt dernières années.

    Domino

    Bien entendu, ce n'est pas directement l'abattage qui risque de causer la disparition de la forêt d'ici 2030, mais il existe un effet domino: l'Amazonie doit dorénavant faire face à de nombreux incendies, car une fois les bois coupés, les éleveurs et les agriculteurs mettent le feu afin de transformer ces espaces en champs ou en pâturages.

    Contrairement aux arbres évoluant dans un climat plus tempéré, les arbres d'Amazonie ne se relèvent pas d'un incendie : ce qui disparaît, ne reprend pas vie.

    Causes

    Plusieurs causes sont à l'origine de cette disparition: l'agriculture massive (notamment le soja), l'extension des pâturages pour le bétail et le bois consommé par une population en constante augmentation dans ce territoire.

    Effet de serre

    Les arbres et le sol de l'Amazonie forment le plus grand réservoir de CO2 au monde, gaz contribuant à l'effet de serre. Pour rappel: les arbres absorbent le C02 et lorsque ceux-ci sont coupés et que le sol s'assèche, le CO2 se libère.

    D'ici 2030, 55,5 à 96,6 milliards de tonnes de CO2 seront libérés suite au déboisement de l'Amazonie. Une augmentation égale aux rejets mondiaux de gaz à effets de serre durant deux ans (au rythme actuel). Ce qui signifie une augmentation paralèlle de la température moyenne mondiale de un à un degré et demi.

    Condamné

    Le Centre britannique Hadley a indiqué que même si l'abattage des arbres s'arrêtait dès aujourd'hui, le territoire amazonien est de toute façon condamné à devenir un désert d'ici à la fin du siècle. Pour éviter cette catastrophe écologique, le réchauffement planétaire doit rester sous les deux degrés (nous nous situons actuellement à 1 degré en Europe). Mais cet objectif semble impossible à réaliser, même si nous diminuons drastiquement nos rejets de CO2.

    20%

    Le déboisement de la forêt amazonienne participe aussi à l'assèchement des rivières qui alimentent l'Amazone, ce qui au final aura pour conséquence une diminution des précipitations dans la région, et donc moins de neiges sur les Andes, qui apportent l'eau aux rivières. La boucle est bouclée. Rien de beau en perspective puisque l'Amazone représente 20% de l'apport en eau des océans.

    Impuissance

    La semaine dernière, le ministre brésilien de l'Environnement, Carlos Minc, a rappelé l'urgence face au manque de moyens pour lutter contre le déboisement: 80% de la déforestation au Brésil est illégale, d'après le WWF.

    Selon Carlos Minc, les bourgmestres et gouverneurs ont diminué leurs contrôles et la répression face au déboisement. Avec les élections du 5 octobre en ligne de mire, il serait en effet mal venu pour eux de se mettre à dos ceux qui se rendent coupable de déforestation.

    Pressions

    Carlos Minc est le successeur de Marina Silva qui avait démissionné suite à des pressions politiques et industrielles. Dans une interview, celle-ci a récemment expliqué que son administration avait baissé la déforestation de 59% entre 2004 et 2007. Un combat qui avait fait grincer de nombreuses dents au Brésil. En attendant, la forêt continue de partir en fumée...

    Réagissons avant qu'il ne soit trop tard, signons la pétition :

    http://petition.deforestation-amazonie.org/

     








    La Californie en proie à des violents incendies !

    18/11/2008 05:05

    La Californie en proie à des violents incendies !


    Des centaines de milliers de personnes évacuées

    Le sud et l'ouest de la Californie sont en proie à de violents incendies qui ont déjà brûlé des milliers de maison et forcé plus de 500 000 personnes à évacuer la région.

    Chaleur (plus de 30°C), vents (jusqu'à 160 km/h), sècheresse : voici le trio infernal pour que s'embrase une région. C'est le cas actuellement dans le sud de la Californie où plus de 2 000 maisons, commerces et entreprises ont déjà été détruits et des milliers d'autres sont menacés.

    Quelque 500 000 personnes ont reçu l'ordre d'évacuer dans la région de San Diego, près du Mexique. Des dizaines d'équipements ont été réquisitionnés pour les accueillir alors que des abris ont également été prévus pour les animaux. Des dizaines de milliers de personnes ne sont plus alimentés en eau, électricité et téléphone suite à des dommages causés sur les infrastructures nécessaires.

    Selon le dernier bilan, douze morts et 60 blessés sont à déplorer dont plusieurs parmi les pompiers. L'état d'urgence a été décrété dans les villes de Los Angeles, Orange, Riverside, San Bernardino, San Diego, Santa Barbara et Ventura.

    Du nord de Los Angeles à la frontière mexicaine, plus de 10 000 pompiers accompagnés par 1 000 véhicules sont soutenus par 1 500 soldats, 2 500 prisonniers et 90 avions et hélicoptères pour la quatrième journée consécutive (depuis le 21 octobre) dans des conditions effroyables.

    15 foyers actifs sont combattus dans le sud de la Californie, la priorité étant donnée aux feux Witch, Santiago, Rice, Harris, Ranch, Buckweed, Canyon, et Magic. "C'est un jour tragique pour la région de San Diego et pour la Californie", a déclaré le 22 octobre le gouverneur Arnold Schwarzenegger lors de son allocution. "Les pompiers et les forces de l'ordre voient leurs ressources sollicitées au delà du raisonnable", a déclaré l'administrateur en chef du comté de Los Angeles, Zev Yaroslavsky, en prévenant que ces incendies étaient "loin d'être terminés". En effet, des pompiers ont estimé qu'il faudrait plus d'une semaine pour les éteindre.

    Plus de 200 000 hectares sont touchés ou menacés par les différents feux répertoriés selon le dernier rapport d'activité du Gouvernement de Californie. Dans un survole en avion jeudi 25 octobre, le gouverneur Arnold Schwarzenegger a déclaré : "Le président et moi-même venons d'effectuer une visite bouleversante du désastre". Le président des Etats-Unis G.Bush a fourni une aide massive et rapide à la Californie, retenant les leçons du désastre engendré par l'ouragan Katrina.

    La Californie, forte de 37,7 millions d'habitants a connu une augmentation de sa population de plus de 11% depuis 2000. Ceci se traduit par des constructions (majoritairement en ossature bois) toujours plus nombreuses et un étalement urbain qui s'insère dans les zones plus "naturelles", facilitant la déclaration des feux.

    De plus, en 2007, le sud de la Californie n'a reçu que 20% des précipitations normales après des hivers arrosés qui ont permis à la végétation de pousser. Enfin, des vents de Santa Ana, des masses d'air chaud venues du désert ont engendré des rafales à plus de 160 km/h : de quoi propager les feux dans la région.

    Le feu de Santiago a été déterminé comme d'origine criminelle par le gouvernement de Californie. A ce titre, une récompense de 50 000 dollars sera offerte pour toute nouvelle information pertinente qui permettrait d'arrêter son responsable.

    Vue par satellite.Nasa

    Ces incendies s'inscrivent déjà parmi les plus graves qu'ait connu la Californie. La facture des dégâts s'élève déjà à plus d'un milliard de dollars. Fin 2003, au moins 22 personnes avaient été tuées par des feux qui avaient détruit 3 000 habitations et dévasté quelque 3 000 km2. Et en 1993, l'agglomération avait été dévastée par un incendie qui avait fait trois morts et détruit 400 maisons pour 375 millions de dollars de dégâts selon Catnat.net

    Le vent se calme enfin depuis quelques jours

    Les pompiers californiens ont annoncé avoir enregistré de premiers progrès lundi contre les flammes qu'ils combattent depuis cinq jours et qui ont détruit plus de 800 habitations, à la faveur d'une accalmie du vent.

    Plus de 16.000 hectares sont partis en fumée dans trois incendies distincts dans la région de Los Angeles depuis jeudi soir. Le plus grave d'entre eux a ravagé 11.700 hectares à proximité des villes de Yorba Linda, Diamond Bar et Corona, à 60 km à l'est de la grande ville sud-californienne.

    Mais ce feu combattu par près de 3.700 pompiers était maîtrisé à 40% lundi matin, contre 0% la veille, tandis qu'aucune maison supplémentaire n'a été perdue dans la nuit. Cent quatre habitations ont été détruites par cet incendie qui a forcé plus de 40.000 personnes à évacuer. Plus de 3.000 maisons restaient toutefois menacées lundi.

    Autre relative bonne nouvelle dans une région très éprouvée, toujours sous état d'urgence et recouverte d'une chape de fumée âcre, l'incendie de Sylmar, à 40 km au nord-ouest de Los Angeles, était circonscrit lundi à 40% contre 30% dimanche, après avoir détruit un parc de 500 mobile-homes.

    Les équipes cynophiles fouillant les décombres à la recherche de cadavres de personnes qui auraient été prises au piège des flammes n'avaient rien trouvé lundi matin et poursuivaient leurs recherches, selon la police.

    A part les habitants de cette zone, tous les déplacés de ce sinistre, qui a parcouru plus de 4.000 hectares mais ne menaçait plus de zones habitées lundi, ont été autorisés à rentrer chez eux, selon les autorités.

    Enfin, dans la région de Santa Barbara, les pompiers ont indiqué maîtriser à 80% l'incendie qui a détruit 210 maisons, pour la plupart de grand luxe, dans l'enclave de millionnaires de Montecito, à 160 km à l'ouest de Los Angeles, et noirci 730 hectares depuis jeudi.

    Malgré l'étendue des destructions, seuls 11 blessés sont à déplorer dans l'ensemble de la Californie, où le vent a soufflé à 130 km/h en fin de semaine dernière. Il avait molli à environ 20 km/h lundi matin, selon l'agence météorologique américaine (NWS).

    "L'idée générale est que le temps nous rend optimiste", a déclaré le chef de l'agence de lutte contre les incendies de Californie, Ray Chaney, se disant toutefois prudent. "Nous n'allons pas baisser la garde. Plusieurs jours de travail très dur nous attendent", a-t-il ajouté, cité par le Los Angeles Times.

    Conjugué à une vague de chaleur et à une hygrométrie très faible, le vent thermique venu du désert crée des circonstances très dangereuses chaque automne en Californie, de climat méditerranéen et qui subit une grave sécheresse depuis 2006.

    "Comme souvent à cette époque de l'année, les pires conditions sont réunies: un vent violent, des températures élevées et (un air) très sec", a déclaré dimanche le gouverneur Arnold Schwarzenegger.

    Le sud de l'Etat, qui englobe les agglomérations de Los Angeles et de San Diego, est l'une des zones les plus densément peuplées des Etats-Unis: 22 millions de personnes y habitent.

    A l'automne 2007, cette région avait été assiégée par des incendies qui avaient fait huit morts, détruit 2.000 maisons et provoqué l'évacuation de 640.000 personnes.








    Les dix espèces les plus menacées dans le monde !

    14/10/2008 22:49

    Les dix espèces les plus menacées dans le monde !


    Les dix espèces les plus menacées dans le monde

    L'Union mondiale pour la Nature (IUCN) a dressé une liste rouge des animaux menacés. Celle-ci compte plus de 15.600 espèces en danger mais le WWF tire particulièrement la sonnette d'alarme pour dix animaux.


    Le grand requin blanc

    C'est le plus grand poisson du monde, au sommet de la chaîne alimentaire marine. On le trouve dans toutes les mers tempérées et plus particulièrement sur les côtes de Californie, d'Australie, de Nouvelle-Zélande et d'Afrique du Sud. Sa population a diminué de presque 80% en à peine quinze ans.

    Chaque année, au moins 100 millions de requins sont tués, toutes espèces confondues. La chair du requin est utilisée pour les engrais et les fertilisants; les ailerons, la peau, les dents, les cartilages sont utilisés dans la fabrication de médicaments. Pour finir le constat, la pollution perturbe également ses cycles de reproduction.

    Le tigre du Bengale

    On le croise dans les forêts, les prairies et les marécages de l'Inde, du Népal, du Bengladesh, du Myanmar, du Bhoutan et dans le sud de la Chine. Actuellement, on en compte plus que 3000 et 4500. Le tigre blanc aurait même disparu à l'état sauvage tandis que le tigre de Java s'est définitivement éteint dans les années 1980. Ils sont chassés pour leur fourrure et certains organes sont réputés pour leurs vertus curatives. La déforestation est également une cause de leur disparition, ainsi que celle de leurs proies.

    L'éléphant d'asie

    Plus petit que son cousin africain, l'éléphant d'Asie se déplace dans les forêts et les plaines herbeuses de la Chine, de l'Inde, du Sri Lanka, de la Birmanie, de la Thaïlande, de la Malaisie, de l'Indonésie, du Laos, du Cambodge, du Népal, du Bangladesh et du Vietnam. Il n'en reste environ que 50.000 et plus de la moitié a été exterminée en un siècle. La déforestation, le braconnage (notamment pour l'ivoire), la capture pour les zoos sont les causes principales responsables de cette diminution. De plus, les éléphants d'Asie sont souvent domestiqués.

    Le panda géant

    On le rencontre dans les forêts humides et froides des montagnes du Tibet et du sud-ouest de la Chine, à plus de 2.000 mètres d'altitude. Environ 1.750 pandas subsistent aujourd'hui. Le panda est chassé pour sa fourrure mais la déforestation et l'exploitation massive du bambou, source principale de son alimentation, sont aussi pointées du doigt. Le panda se reproduit mal en captivité ce qui rend difficile sa réintroduction en milieu naturel.

    Le cacatoès

    Cet oiseau tropical vit aux Philippines, en Australie, en Nouvelle-Zélande, ainsi que sur l'île de Sulawesi, en Indonésie. Sa population dans la nature ne dépasserait pas les 1.000 individus. Par contre, en captivité, on en compte une dizaine de milliers. Ils sont en effet devenus des animaux de compagnie. Hélas, cette domestication diminue leur nombre à l'état sauvage. Sans oublier la déforestation de leur habitat naturel.

    Le gecko à queue feuillue

    Appelé aussi gecko à queue foliacée, il est le spécimen le plus original de la famille des geckos. Comme les caméléons, il change de couleur selon son humeur, son état de fatigue et sa température. Il vit à Madagascar et dans les îles de l'océan Indien. Même s'il est difficile de connaître le nombre de spécimens, on estime que leur commerce s'élève à 2.000 captures par an. On le recherche comme animal domestique pourtant cette espèce ne peut survivre que dans un milieu très humide, ce qui rend sa captivité difficile.

    Le gorille

    C'est le plus grand des primates. Il vit dans la forêt tropicale humide qui couvre les monts Virunga à la frontière de l'Ouganda et du Rwanda, les pentes des montagnes boisées de l'Est du Zaïre. Il ne reste que 110.000 gorilles dont seulement 700 gorilles des montagnes. La déforestation et le braconnage sont les principales causes de sa disparition, y compris dans les réserves protégées. Les conséquences des guerres au Rwanda ont été aussi très graves pour cette espèce.

    Le napoléon

    Le napoléon ou labre géant est l'un des plus grands poissons de récifs. Il peut vivre une trentaine d'années. Il fréquente les massifs de coraux du Pacifique et de l'océan Indien. On estime que sa population a diminué de près de 90% et il ne resterait que 320.000 poissons dans les eaux indonésiennes, soit 3 à 4 poissons au km2. Rare et coûteuse, cette denrée est très recherchée dans les restaurants asiatiques.

    La tortue à nez de cochon

    Deux tiers des tortues sont aujourd'hui menacées mais celle-ci est la plus en danger. Elle se ballade dans les marécages et les rivières de Chine, en Papouasie-Nouvelle Guinée et dans le Nord de l'Australie, et en Indonésie. Chaque année, on ramasse 1,5 millions à 2 millions de leurs ¿ufs. Les tortues adultes sont également consommées par la population locale. Très prisée comme animal de compagnie, elle a cependant beaucoup de mal à se reproduire en captivité.

    Le dauphin de l'Irrawaddy

    Ce dauphin vit le long du littoral et aime remonter les fleuves à la recherche de nourriture. On le croise dans le sud-est asiatique, dans l'embouchure du Gange, dans le Golfe de Thaïlande, au Nord de l'Australie et en Nouvelle-Guinée. En 2004, on en dénombrait plus qu'un millier. Ils sont souvent piégés accidentellement par les filets de pêche mais ils sont également pêchés pour être placés dans des zoos ou des delphinariums. Leur commerce est depuis peu interdit.

     






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