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VIP-Blog de sweet-cherry
  • 46 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 19/03/2007 21:46
    Modifié : 06/06/2024 15:41

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    Stop à la chasse à courre en France

    13/11/2007 04:54

    Stop à la chasse à courre en France


    La chasse à courre est une barbarie

    Mais elle est encore pratiquée en France !

    Après d'autres pays d'Europe, la vénerie ou chasse à courre est abolie en Angleterre depuis février 2005. Etant interdite dans les pays voisins, une pression très forte apparaît pour attirer en France, où elle concerne 67 départements, les nostalgiques des temps moyenâgeux des châtelains.

     

    « C’est une méthode de chasse pratiquée par des personnes à pied ou à cheval (les veneurs) aidées par une meute de chiens dressés et spécialisés dans la poursuite d'une espèce particulière.

    L’animal (cerf, chevreuil, sanglier, renard, lièvre...) est poursuivi pendant des heures jusqu’à épuisement total. C’est alors le moment culminant : “l’hallali”.
    Lorsque la victime est “aux abois”, totalement encerclée, blessée par les morsures et déjà à demi-morte de fatigue et d’effroi, l’un des chasseurs met fin à son martyr en l’achevant à l’aide d’une dague ou d’un fusil (le cerf est parfois noyé dans la vase d’un étang).
    Le lièvre et le chevreuil sont parfois déchirés vivants par les chiens. »

    -L’animal souffre énormément (des études démontrent de terribles souffrances et un grand stress.)

    -Les chasseurs recherchent le plus beau trophée, donc ils s’attaquent aux animaux les plus forts (= les meilleurs reproducteurs).

    -C’est donc contraire à la sélection naturelle et cela nuit à la qualité de l’espèce, car les prédateurs naturels s’attaquent en priorité aux animaux affaiblis (malades, blessés…).

    -Cette pratique est néfaste au moment du brame et de la mue.

    -Cela nuit à l’équilibre des forêts, car cela perturbe énormément ses habitants.

    -Elle est interdite dans de nombreux pays européens. (Allemagne, Luxembourg, Belgique, Ecosse, Pays-Bas, Suisse, Pays de Galle, Angleterre...)

    -La chasse à courre n’a donc plus place dans notre société moderne. D’ailleurs, elle avait été abolie par la révolution en 1789 !

    Témoignage

    « Ils voulaient égorger de la manière la plus immonde un cerf, bel animal hébété, perdu et résigné. Ils lui ont d’abord jeté des pierres pour qu’il reste acculé le long de la clôture, puis avec une barre de fer, ont essayé de lui faire plier les pattes arrières ; deux hommes lui ont attrapé les bois lui tordant la tête jusqu’à terre pendant que le troisième lui enfonçait une lame dans le cou, ceci à plusieurs reprises. Ne parvenant pas à finir l’animal, toujours debout et blessé, ils l’ont tiré sur plusieurs mètres pour l’égorger loin des regards indiscrets. »               

    Bruno Cardon

      

     

    Signez les pétitions en ligne :

     http://www.ecologie-radicale.org/signez/sign_form.cgi?code=TES

    http://www.lapetition.com/








    Stop aux combats cruels ours - chiens

    18/09/2007 07:18

    Stop aux combats cruels ours - chiens


    Pétition contre les combats ours/chiens au Pakistan

    Au Pakistan les ours à collier sont capturés illégalement, mutilés (dents cassés au marteau, griffes sciés...) afin de les rendre inoffensifs puis jetés dans des combats contre des chiens.

    Les ours mutilés n'ont aucune chance, ils se font blessés par les chiens et doivent subir ces combats plusieurs fois par jour. Ces combats sont pourtant interdits depuis dix ans dans ce pays.

    Un vrai spectacle pour eux

    A Kaboul les activités festives ne sont pas légions, alors pour se divertir des immondes combats de chiens sont organisés sur la place publique.

    Là où d'autres saloperies humaines en France, organisent cela dans le plus grand secret de caves des quartiers «  sensibles », A Kaboul, les combats de chiens sont des événements populaires qui font la joie de milliers de barbaresques et qui font vivre quelques marchands de friandises et autres boissons ou collations.

    Les chiens à l'apparence docile, deviennent de féroces combattants lorsqu'ils sont mis face à face.


    Il fut un temps où des ours, dont on avait enlevé les dents, étaient mis en pâture face à 2 molosses de la même sorte sur la place publique, un spectacle dur et cruel mais dont les Afghans et les Pakistanais sont friands.

     

    Deux oursons sauvés

    En juin 2008, la WSPA (World Society for the Protection on Animals) a confisqué deux oursons, en collaboration avec les autorités locales. Les oursons étaient détenus par des braconniers au Pakistan où les combats entre ours à collier et chiens sont toujours d’actualité.

    C’est dans la province de Peshawar que les deux oursons âgés de 5 mois ont été capturés après que leur mère ait été abattue. Le directeur du Bioresource Research Center, avec l’aide des autorités locales, est parvenu à arrêter les braconniers et à confisquer les ours.

    Le commanditaire de cet acte de braconnage a cherché à récupérer les oursons, obligeant le BRC à transférer les animaux au sanctuaire de Kund Park bear. Le directeur du Centre et des membres de son équipe ont été menacés physiquement par les trafiquants, et il n’est pas rare que des agents des services locaux soient molestés.

    En règle générale, les ours utilisés dans ces combats sont préalablement mutilés, c’est à dire qu’on leur retire leurs griffes et leurs crocs. Attachés ensuite à un pieu au moyen d’une corde, ils ne peuvent se défendre contre les chiens qui attaquent sauvagement le plantigrade. Les blessures touchent surtout le museau et la gueule.

    Les chiens sont aussi à plaindre. Ils sont entrainés à l'attaque et afin de les rendre plus agressifs ils sont battus et affamés.

    Ces spectacles qui attirent beaucoup de spectateurs sont pourtant prohibés par l’Acte contre les mauvais traitements sur les animaux de 1890 et la loi sur la vie sauvage du Pakistan. Malgré les nombreuses pétitions signées par des milliers de personnes, on peut encore compter une cinquantaine de combats organisés tous les ans. C'est tout de même mieux que les 300 combats au début des années 90.

    D’après les ONG sur place, 300 ours et 1000 chiens ont été utilisés lors de ces fêtes locales depuis les premières investigations.







    En finir avec des expérimentations inutiles

    18/09/2007 07:06

    En finir avec des expérimentations inutiles


    Non à la vivisection

    Chaque année, 11.6 millions d'animaux sont sacrifiés sur l’autel de l'expérimentation animale dans l’Union Européenne. Plus de 38 000 sont expérimentés pour les produits cosmétiques.

    Qu'il s'agisse de singes, de lapins ou de rongeurs, les expériences rivalisent de cruauté : pulvérisation de détergent dans les yeux, injection de pesticides, la liste est longue…

    Pourtant, aujourd’hui, il existe de nombreuses méthodes de substitution. Le modèle animal n’est pas transposable à l’homme.

    En effet, de nombreux scientifiques ont établi qu'aucune espèce ne peut être considérée comme le modèle biologique d'une autre et donc que le modèle animal ne peut servir de référent pour l'homme.

    Selon le Dr Reiss, président du Comité scientifique Pro Anima, « ce modèle peut même s'avérer dangereux dans certains cas ».

    Prenons ici un exemple : il est avéré que les singes ne réagissent pas au virus HIV : or, si l'on estime que le singe est le modèle biologique de l'homme, on pourrait, à tort, conclure que ce virus est totalement inoffensif pour l'être humain !

    Il est donc désormais urgent de mettre fin à l'expérimentation animale, car l'avenir est sur la recherche de l'ADN humain.

    Au niveau des produits cosmétiques, on note depuis plusieurs années une volonté de la part de l’UE de diminuer le recours aux animaux. Ainsi, en mars 2003, une directive interdisant, en 2009 l'expérimentation sur animaux pour les produits cosmétiques dans toute l'Union Européenne a été adoptée.

    Malheureusement, là encore la France traîne les pieds en engageant un recours devant la Cour de Justice des communautés européennes. Il est vrai que le secteur des cosmétiques est l'un des fleurons du commerce extérieur français. Autant dire que le gouvernement français ne fait pas grand cas de la souffrance animale en refusant d’appliquer cette nouvelle directive...

    Si des progrès ont été constatés ces dernières années concernant l'expérimentation des cosmétiques, il n'en est pas de même pour les autres types d'expériences, notamment pour les tests de toxicité qui, malheureusement, sont encore souvent effectués sur des animaux.

    La FBB déplore, qu'en France, les méthodes de substitution ne soient pas plus fréquemment employées.

    Il existe pourtant des méthodes biotechnologiques fiables : des cultures de cellules pour dépister le degré de nocivité ou d'innocuité des substances utilisées, des cultures de tissus pour les études toxicologiques.

    Il est également regrettable que les pouvoirs publics ne débloquent pas suffisamment de fonds pour valider de nouvelles méthodes substitutives et former les scientifiques français.

    Ouvrons les yeux et agissons !

    La France est le pays européen qui utilise le plus d'animaux pour l'expérimentation : 2.3 millions par an (statistiques du ministère de la Recherche pour l’année 1999).

    Il est important que la population française fasse pression sur le gouvernement. En effet, une mobilisation importante peut parfois avoir des résultats considérables. Ainsi en 1999, de nombreuses associations de protection animale, dont la FBB, ont réussi à interdire l'implantation à Montbeugny d'un élevage de chiens destinés à l'expérimentation. Par ailleurs, un récent sondage a montré que 87% des français souhaitent l'interdiction de tout test engendrant la souffrance d'un animal.

    Vous pouvez d'ores et déjà vous engager contre l'expérimentation animale en signant la pétition mais aussi en utilisant uniquement des produits cosmétiques et d'entretien n'ayant pas été testés sur les animaux.

    Signez la pétition en ligne :

    http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/petition.php?Id=351








    Stop aux articles en fourrure !

    18/09/2007 06:59

    Stop aux articles en fourrure !


    Quand des enquêteurs ont récemment visité des fermes d’élevage pour la fourrure en Chine, ils y ont découvert un monde d’horreur, dépassant l’imagination. De nombreux animaux sont encore vivants et se débattent désespérément, quand les ouvriers les retournent ou les suspendent par les pattes ou par la queue afin de les dépecer.

    Dépecés vivants

    renard polaire dépecé (JPG)Quand les ouvriers s’approchent des animaux, le regard de ces derniers exprime toute leur impuissance. Avant d’être dépecés vivants, les animaux sont arrachés de leur cage et jetés au sol ; les ouvriers les matraquent avec des barres de fer et les projettent violemment sur des surfaces dures, brisant ainsi les os et entraînant des convulsions, mais pas toujours une mort immédiate. Alors que les ouvriers commencent à arracher la peau et la fourrure des animaux, ces derniers se tordent de douleur et leurs membres encore libres tremblent. Les ouvriers font pression avec leurs pieds sur le cou et la tête des animaux qui luttent avec trop d’acharnement, pour que l’entaille soit franche. Quand la fourrure est enfin arrachée de l’animal, la dépouille ensanglantée est jetée sur un amas d’autres corps qui ont subi le même traitement. Certains animaux sont encore vivants : ils respirent péniblement et clignent lentement des yeux. Le cœur de certains bat encore 5 à 10 minutes après qu’ils ont été dépecés. Un enquêteur a filmé un chien sauvage (chien viverrin) entièrement dépecé, qui a eu assez de force pour relever sa tête nue et ensanglantée, et fixer son regard vers l’objectif.

    Les fermes à fourrure en Chine

    chien viverrin en cage (JPG)Des enquêteurs de la Protection Suisse des Animaux et d’EAST International ont récemment fait le tour des fermes d’élevage de la province d’Hebei, en Chine ; on a dès lors vite compris pourquoi l’accès à ces fermes est interdit à toute personne extérieure. Aucune loi en Chine ne réglemente ces élevages. N’importe qui peut ouvrir une ferme et massacrer des animaux à loisir ; cela entraîne une vie de misère et une mort atroce pour ces derniers.

    L’enfer sur terre pour les animaux

    Dans ces fermes, des renards, chiens viverrins, visons, lapins et autres animaux piétinent et tremblent dans des cages métalliques exposées, selon les saisons, à la pluie, aux nuits glaciales ou au soleil brûlant. Les femelles deviennent folles à cause des manipulations intempestives et de l’emprisonnement oppressant. Elles n’ont aucun endroit où se cacher pour mettre bas, et souvent tuent leurs petits après les avoir mis au monde. Les maladies et les blessures sont fréquentes et les animaux souffrent de psychoses dues à l’anxiété. Les animaux s’auto-mutilent et se jettent à maintes reprises contre les barreaux de leur cage.

    Êtes-vous sûr de ne pas participer à cette tuerie ?

    renard polaire agonisant (JPG)La mondialisation du commerce de la fourrure ne permet pas de connaître leur provenance avec exactitude. Les peaux passent d’une vente aux enchères à une autre, et sont distribuées et achetées aux fabricants dans le monde entier. Les produits finis sont eux-mêmes souvent exportés. La Chine fournit plus de la moitié des vêtements en fourrure importés aux Etats-Unis. Même quand l’étiquette indique qu’une fourrure a été fabriquée en Europe, les animaux peuvent avoir été élevés ailleurs et peut-être abattus dans une ferme non réglementée en Chine. Comme il est très difficile de remonter à l’origine d’une fourrure, toute personne portant de la fourrure se rend coupable des atrocités qui ont lieu dans ces fermes chinoises. Le seul moyen d’arrêter cette cruauté innommable est de ne jamais porter de fourrure (manteaux, cols, accessoires...).

    Les personnes qui portent de la fourrure se justifient en argumentant que leur manteau est fait d’animaux issus de fermes d’élevage, par opposition avec les animaux sauvages, qui agonisent des jours dans des pièges à mâchoires. Une fausse croyance laisse à penser que les animaux à fourrure seraient élevés et mis à mort dignement. Malheureusement, les conditions d’élevage et d’abattage de ces animaux emprisonnés sont absolument indignes et inhumaines.

    Des animaux privés de liberté

    cages extérieures (JPG)

    Les animaux que l’on rencontre le plus fréquemment dans les fermes à fourrure sont les visons et les renards. Plus de 40 millions de visons et 7 millions de renards auront été tués en 2006 pour répondre à l’industrie de la fourrure. Parmi les autres animaux couramment prisonniers de ces élevages, on trouve des chinchillas, des ragondins, des martres, des chiens viverrins...

    Le comité scientifique européen sur la santé et le bien-être des animaux a publié un rapport sur le bien-être des animaux élevés pour produire de la fourrure. Ce rapport se limite aux visons, putois, renards roux, renards polaires, chiens viverrins, ragondins et chinchillas. Les conclusions du comité scientifique européen indiquent que le système actuel provoque « de sérieux problèmes pour toutes les espèces d’animaux élevés pour la fourrure ».

    D’après des zoologistes de l’Université d’Oxford, les visons d’élevage ont les mêmes besoins que leurs homologues sauvages, malgré 70 générations de captivité. Le fait d’enfermer des visons dans des cages, ainsi que l’impossibilité de satisfaire leur désir inné de se baigner, leur procure un stress intense et de la frustration, prouvés par le fait qu’ils produisent un taux de cortisol excessif. Dans la nature, les visons sont des animaux très solitaires. Ils défendent et gèrent de grands territoires. Ils passent une grande partie de leur temps à nager. Les petites cages où ils sont enfermés ne correspondent en rien à leur environnement naturel.

    Les animaux détenus dans les fermes à fourrure montrent des signes de stress évidents qui se caractérisent par l’auto-mutilation ou encore par des va-et-vient continuels.

    Des méthodes d’abattage particulièrement barbares

    Les scènes d’horreur pendant la mise à mort des animaux dans les fermes à fourrure vont au-delà de ce que l’on pourrait imaginer.

    électrocution d'un renard (JPG)La méthode la plus usitée pour tuer les renards est l’électrocution anale. Le processus consiste à fixer une pince sur le museau du renard, à introduire une barre métallique dans l’anus de l’animal, puis à envoyer une décharge électrique par l’intermédiaire d’une batterie. D’autres renards se font simplement étourdir à coups de gourdin sur la tête, comme le montre une récente investigation en Chine.

    gazage d'un vison (JPG)Les visons sont quant à eux gazés ou tués par injection mortelle. Des fermiers préfèrent tuer ces animaux en leur brisant le cou. Bien souvent, ces méthodes, pratiquées sur place, ne garantissent pas la mort immédiate de l’animal.

    Les éleveurs de chinchillas reconnaissent qu’ils tuent les animaux en leur brisant le cou ou en les électrocutant. Une récente investigation aux Etats-Unis a révélé des pratiques particulièrement barbares. On électrocute les chinchillas en leur plaçant une sonde à l’oreille et l’autre au pied. Après l’électrocution, beaucoup sont toujours conscients : l’électrocution raidit l’animal, mais l’activité cérébrale ne cesse pas sur le champ. Les autres chinchillas se font briser le cou. L’opération ne prend qu’une seconde, mais les animaux se tordent sous des spasmes continus pendant de longues minutes. La mort cérébrale n’intervient pas immédiatement après la dislocation des cervicales.

    En Asie centrale, les moutons karakul sont désormais élevés pour répondre au marché de la fourrure de luxe. Pour produire de la peau d’agneau (peau que l’on nomme « astrakan ») de « haute qualité », la mère est tuée juste avant la naissance de son petit et le foetus est récupéré pour être dépecé.

    Une fois tués, les animaux sont généralement dépecés pendant qu’ils sont encore chauds.

    Les éleveurs ont pour seul objectif de préserver la qualité de la fourrure. Ils utilisent des méthodes d’abattage visant à garder intactes les peaux, sans se soucier des souffrances extrêmes endurées par les animaux.

    Des conditions de détention déplorables

    Les animaux à fourrure n’auront connu, durant leur courte vie, que les sols grillagés de cages trop étroites pour leurs besoins naturels en matière d’espace. Les abris ouverts sur l’extérieur ne les protègent pas du vent ou des intempéries extrêmes. Leur fourrure n’est pas suffisante pour se protéger des grands froids hivernaux. Pendant les fortes chaleurs de l’été, les visons ne peuvent se rafraîchir dans l’eau comme ils le feraient dans la nature. Les éleveurs s’opposent fermement à donner un accès à une mare, pour éviter d’abîmer la fourrure.

    Les maladies contagieuses, comme la pneumonie, se propagent rapidement chez les animaux concentrés dans les élevages, tout comme les tiques, les puces et d’autres insectes, attirés par les amas d’excréments laissés sous les cages.

    renard blessé (JPG)Des enquêtes ont dévoilé que les animaux souffraient d’infections et de blessures non soignées. Mais tant que cela n’affecte pas la qualité de la fourrure, les éleveurs ne voient pas l’intérêt d’intervenir. Un rapport scientifique européen dément d’ailleurs le rapport entre bien-être animal et qualité de la fourrure, comme voudraient le faire croire les fourreurs. Les animaux sont en effet abattus à l’âge de 6 ou 7 mois, après leur mue hivernale, qui masquera tous les défauts de leur pelage.

    Un niveau de pollution alarmant

    L’élevage des animaux pour leur fourrure provoque les mêmes problèmes de pollution que l’élevage intensif. Une étude universitaire révèle que les excréments des 2,81 millions de visons élevés aux Etats-Unis en 1999, ont produit près de 1000 tonnes de phosphore, que l’on retrouve dans l’écosystème.

    L’énergie nécessaire pour produire un manteau en véritable fourrure à partir d’animaux provenant d’élevages est 20 fois supérieure à celle nécessaire pour produire l’équivalent en synthétique. Pour la conservation et le traitement des fourrures, des produits néfastes à l’environnement sont massivement utilisés.

    Les principaux pays complices

    Aujourd’hui, les élevages se situent principalement dans les pays scandinaves, en Russie, au Canada, aux Etats-Unis et de plus en plus en Chine, où la main d’œuvre est très bon marché et les lois pour la protection des animaux sont totalement absentes. Les élevages sont semblables d’un pays à l’autre.

    La France contribue aussi à ce marché. On y trouve une vingtaine d’élevages de visons : 190 000 visons ont été élevés, puis gazés, en 2005. En Poitou-Charentes, près de 100 000 lapins Orylag sont sacrifiés chaque année. Fourrure Torture estime que 40 millions de fourrures de lapins sortent annuellement des abattoirs français, pour alimenter le commerce de la fourrure.

    160 000 visons sont élevés dans la vingtaine d’élevages que compte la Belgique.

    Des avancées législatives

    Plusieurs pays d’Europe ont pris des mesures pour restreindre ou interdire les fermes à fourrure.
    -  Le Royaume-Uni a interdit tout élevage d’animaux à fourrure pour des raisons éthiques, depuis le 1er janvier 2003.
    -  Aux Pays-Bas, les élevages de renards et de chinchillas sont interdits.
    -  En Italie, des règles strictes s’appliqueront en 2008 : les visons devront vivre dans un environnement où ils auront notamment accès à l’eau, pour pouvoir y nager.
    -  Quatre länder allemands (la Bavière, la Hesse, la Rhénanie-du-Nord-Westphalie et le Schleswig-Holstein) imposent des règles strictes pour les fermes à fourrure. Le Bundesrat (la chambre des représentants des Länder) a appelé le gouvernement fédéral à mettre en place une réglementation similaire en matière d’élevage d’animaux à fourrure pour toute l’Allemagne.
    -  Les provinces d’Autriche ont prohibé l’élevage des animaux à fourrure ou imposé des normes strictes.
    -  En Suisse, la législation interdit l’élevage intensif des animaux à fourrure.
    -  En Croatie, au 1er janvier 2017, l’élevage des animaux pour leur fourrure sera interdit.
    -  En Norvège, le conseil éthique de l’agriculture a statué que l’élevage des animaux à fourrure dans l’état actuel est inacceptable pour le bien-être animal.

    Toutes ces réglementations à travers l’Europe montrent que le bien-être des animaux à fourrure ne peut être satisfait en captivité.

     

    Signez la pétition :

     http://www.fourrure-asie.info/petition/

     








    Stop aux combats de chiens

    25/08/2007 01:29

    Stop aux combats de chiens


    L'horreur des combats de chiens .

    N’importe quel chien peut mordre si on le dresse dans ce but. Mais certaines races sont réputées plus pugnaces que d’autres. Ainsi, les chiens les plus utilisés dans ces combats sanglants sont les pitbulls, issus d’un croisement entre deux groupes, les molosses (comme le Mastiff, le Bull-terrier, le Boxer) et les terriers. Ce croisement n’est pas reconnu par la Société centrale canine.

    Dans certains pays, on fait combattre d’autres races telles que les bouledogues, le Mâtin de Naples, le Berger allemand, le Bull Mastiff, le Bull-terrier, mais aussi des races moins imposantes comme le Cocker, le Fox-terrier ou encore le Schnauzer. Le bouledogue anglais était autrefois utilisé dans les combats contre les taureaux.

    Un chien n’est pas forcément agressif de nature. Le dressage joue pour beaucoup dans l’agressivité, la résistance et la combativité du futur lutteur ; il est donc plus profitable de le conditionner aussi tôt que possible.

    Les chiens dits « de combat » sont ainsi maltraités : ils sont sevrés avant l’âge, isolés et désocialisés. Les seuls contacts qu’ils auront seront donc humains - ou plutôt devrions-nous employer le mot inhumains ! Un rapport de force s’établit dès lors entre le maître et l’animal ; celui-ci est battu lorsqu’il ne répond pas aux exigences de son tortionnaire, soit lorsqu’il montre des signes de soumission ou qu’il n’est pas assez agressif.

    Le but est d’entretenir la tendance à mordre du chien et sa combativité, qui est la faculté de répondre à une stimulation négative par une pulsion de lutte. L’agressivité est quant à elle la faculté de réagir avec excitation à une stimulation considérée comme dangereuse.

    Enfin, la sélection génétique et les croisements hasardeux conduisent de même à la production de chiens de plus en plus agressifs. Une sélection se fait également après la naissance et les chiots soumis sont rapidement éliminés

    Les oreilles des chiens sont coupées à ras et à vif ! au cutter afin de ne pas constituer des prises désavantageuses. Les chiens déversent leur agressivité sur des proies qu’on leur aura procurées : chiens, chats, lapins, rats... souvent enlevés ou obtenus par le biais de petites annonces du type « Animal cherche foyer aimant »… Les décharges électriques sont également usitées pour que l’animal ait un meilleur mordant.

    Tout être sensible peut ressentir de la douleur et il serait excessivement naïf ou hypocrite de croire que les chiens de combats sont moins sensibles que les autres.

    Les combats ont lieu dans des bâtisses sordides, le plus souvent désaffectées pour échapper aux contrôles de l’ordre. Une petite arène est facilement reconstituée et les combats durent jusqu’à deux heures. La fin d’un combat est marquée par les premiers sangs ou la mort de l’un des chiens.

    Dans le premier cas, les ouvertures sont recousues sur place et bien évidemment sans anesthésie. Si l’animal est trop mal en point, on ne se donne même pas la peine de le soigner et il est abattu. La plupart des chiens meurent d’hémorragie des suites de leurs blessures, de stress, de fatigue, de déshydratation et même d’infections dans les jours qui suivent le combat.

    En plus de constituer un meurtre volontaire, les combats de chiens sont un véritable commerce sale : trafic et vente de chiots, encaissage des frais d’admission aux combats - qui rassemblent parfois jusqu’à des centaines de spectateurs sanguinaires en extase (il arrive même que des enfants assistent à ces spectacles violents et choquants), paris aux sommes alléchantes, recels de voitures, circulation de la drogue et des armes à feu…

    Signez les pétitions :

    http://www.petitiononline.com/2812/petition-sign.html

    http://getactive.peta.org/campaign/petition_dog_fighting?c=weekly_enews

     








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