|
[ Humour - Insolite ] [ Aider les animaux ] [ Protection animale: Petitions ] [ Incroyable et etonnant ] [ Folies du Monde ] [ People News ] [ Poemes - Citations ] [ Humour en dessin ] [ Nature-Environnement ] [ Humour coquin ] [ Recettes sympa ] [ Recettes végétariennes ]
|
|
|
|
Vincent Perez révèle ses lourds secrets de famille
08/04/2011 00:27
L'acteur parle du Temps qui passe
Actuellement à l’affiche du Temps qui passe, une pièce de sa compagne Karine Silla, Vincent Perez accorde une interview au magazine Marie-Claire. Il en profite pour parler du thème de la pièce, les secrets de famille, et en révéler certains qui lui sont très personnels.
Vincent Perez est très impliqué dans Le temps qui passe, la pièce qui se joue actuellement au théâtre des Mathurins. Non seulement, le texte a été écrit par la femme dont il partage la vie, Karine Silla, mais en plus il l’a mis en scène et le joue, avec pour partenaire Elsa Zylberstein, toute récente chevalier des Arts et Lettres. Quant au thème abordé, les secrets de famille, il touche particulièrement Vincent Perez, comme il vient de le confier dans une interview accordée au magazine Marie France.

Avec sa femme l'actrice Karine Silla
Pour lui, pas de doute, «le secret peut vite devenir un mensonge, une souffrance». Il l’a d’ailleurs vécu personnellement, «j’ai découvert un jour qu’avec mon frère, nous n’avions pas le même père», ou à travers des gens qui ont croisé son existence, «j’ai vécu avec une femme qui a aussi découvert que son père n’était pas son père biologique». Allusion directe à Carla Bruni avec laquelle il a eu une histoire d'amour dans les années 90.
Vincent Perez explique également qu’il a dû faire un travail de recherche sur sa propre histoire et le passé de sa famille: «Ma mère est allemande, mon père espagnol et, avant eux, je ne savais rien. J'ai dû remonter mon arbre généalogique, découvrir que d'un côté, on avait été gazés pour faire des expériences et que mon grand-père avait été fusillé par les franquistes». Un passage nécessaire qui lui permet d’affirmer: «Maintenant, je sais d'où je viens».

Avec Carla Bruni dans les années 90
| |
|
|
|
|
|
|
|
Kevin Federline, bientôt papa pour la cinquième fois !
08/04/2011 00:03
Et ce sera une fille
La compagne de l'ex mari de Britney Spears, Victoria Prince, la joueuse de volley ball, serait bien enceinte ! Le bébé serait attendu pour cet été.

Kevin Federline a déjà eu deux garçons avec Britney Spears : Sean Preston, 5 ans, et Jayden James, 4 ans, et deux autres enfants Shar Jackson, une fille de 8 ans et un fils, Kaleb, de 6 ans.

Kevin Federline et Victoria Prince sont ensemble depuis trois ans, et le couple rêvait d'avoir cet enfant.
| |
|
|
|
|
|
|
|
Le secret de beauté de Liz Taylor due à une anomalie !
05/04/2011 00:47
Atteinte du syndrome lymphodème-distichiasis
La presse anglo-saxonne rend hommage à l'actrice américaine, décédée la semaine dernière et, notamment à la beauté de ses yeux, caractérisés par une anomalie génétique.
"Mutation".La seule évocation du mot peut angoisser. En tout cas, il a fait peur aux parents d'Elizabeth Taylor, en 1932, lorsqu'ils ont été convoqués dans le bureau de leur médecin traitant, avec leur bébé, à peine né. Ce dernier leur a expliqué que leur enfant souffrait d'une maladie génétique, raconte le biographe de la star, J. Randy Tarborelli.

"Mutation..., franchement, cela avait l'air affreux", a raconté la mère de Liz Taylor à l'écrivain qui la cite dans son livre Elizabeth, en 2006, en ces termes : "Mais quand j'ai compris qu'il s'agissait simplement chez elle d'une double rangée de cils, je me suis dit : "finalement, ce n'est pas si terrible que cela".
La future actrice de La chatte sur un toit brûlant et de Cléopâtre souffrait, en effet, du syndrome lymphodème-distichiasis, une maladie génétique se caractérisant par une rangée de cils surnuméraire mais sans les complications liées à cette mutation, comme des problèmes oculaires, par exemple.

Violet ou bleu foncé ?
Une information, certes pas nouvelle donc, mais que rapporte à nouveau la presse anglo-saxonne, suite au décès de d'Elizabeth Taylor, mercredi dernier, aux Etats-Unis, dans de nombreux articles en hommage à la star. Et à ses yeux qui ne cessent de fasciner. Les médias louent ainsi la beauté incandescente, à faire tomber les mâchoires, de ses yeux violets liquides, à la profondeur abyssale, même si le magazine en ligne américain Slate avance, vendredi, que ses pupilles étaient, en fait, bleu foncé et apparaissaient violètes, en raison d'un maquillage spécifiquement destiné à renforcer cette illusion d'optique.
La presse, notamment le Daily Mail, relaie également l'anecdote suivante, toujours tirée de cette biographique relatant les souvenirs de Roddy McDowall, le partenaire de Liz Taylor, alors âgée de neuf ans, dans le film Fidèle Lassie. Le premier jour de tournage, ils ont regardé Liz et on dit :

- Faites sortir cette fille immédiatement du plateau. Elle a beaucoup trop de maquillage sur les yeux et beaucoup trop de mascara, se souvient l'acteur, alors âgé de 13 ans :
- Ils l'ont emmenée hors du plateau et on essayé de lui démaquiller les yeux avec de la lotion. Et bien, devinez quoi ? Elle n'avait pas de mascara ! Elle avait une double rangée de cils. Et qui naîtrait avec une double rangée de cils, si ce n'est quelqu'un fait pour le grand écran ?, s'enthousiasme-t-il.
Par ailleurs, si Richard Burton a parfois moqué la morphologie de celle qu'il épousa deux fois, raillant "son double menton, ses jambes courtes et sa poitrine surdéveloppée" et qualifiant le fait de dire qu'elle est la plus belle femme du monde de non sens absolu, l'acteur américain l'a toujours concédé, le New York Times le rapelle : Elle a des yeux magnifiques.
| |
|
|
|
|
|
|
|
Découvrez ce que devient Susan Boyle !
04/04/2011 22:34
Que devient Susan Boyle ?
Il y a deux ans, Susan Boyle créait le buzz. Aujourd'hui, à 50 ans, où en est la carrière de la chanteuse à voix ? Ding ! Dong ! Mais qui sonne à la porte de Susan Boyle ? Ce sont les journalistes, tendant des fleurs, en même temps que leur micro, pour recueillir les premières impressions de Susan Boyle.

Celle qui sortît de l'anonymat comme personne en 2009 grâce à son passage dans l'émission Britain's Got Talent a fêté en effet ses 50 ans. Et depuis deux ans, c'est un peu sa fête tous les jours à SuBo tant la vie de cette Ecossaise sans le sou a changé du tout au tout.
Si Susan Boyle vit encore à West Lothian, une petite ville entre Edimbourgh et Glasgow, la chanteuse peut se réjouir d'avoir parcouru le tour du monde et d'avoir des fans jusqu'au Japon.

Après avoir souffert d'un énorme contre-coup post-médiatique, la protégée de Simon Cowell (producteur de X Factor) savoure désormais plus sereinement les retombées financières des excellentes ventes de son dernier album, The Gift.
Et comme cadeau justement, Susan Boyle a reçu les messages d'Amanda Holden et de Piers Morgan, les anciens jurés du télé-crochet.
| |
|
|
|
|
|
|
|
Les premières images des nettoyeurs de la centrale nucléaire de Fukushima
31/03/2011 01:52
Fukushima : vite, des solutions !
Les responsables de la centrale de Fukushima se disent prêts à prendre en compte toute nouvelle idée pour éviter une catastrophe. Les techniciens luttent depuis bientôt vingt jours pour tenter de sécuriser le site de Fukushima.


Et si on stockait l’eau contaminée sur un bateau ? Et si on posait une bâche sur Fukushima ? De nouvelles idées sont apparues pour réduire les émissions radioactives ou évacuer les tonnes d’eau irradiées. «Nous sommes face à une situation sans précédent, nous devons donc réfléchir à des stratégies différentes», a noté l’Agence de sûreté nucléaire japonaise. «Nous réfléchissons à toutes les solutions, y compris celles mentionnées dans la presse», a ajouté hier Yukio Edano, porte-parole du gouvernement.


La situation serait-elle désespérée ? Pas forcément. Le spectre d’une catastrophe nucléaire majeure se dissiperait même. «Les informations dont nous disposons laissent penser que la centrale connaît un lent rétablissement», a estimé hier Peter Lyons, du Bureau de l’Energie nucléaire américain.


En fait, ces pistes montreraient surtout que les responsables japonais commencent à s’ouvrir, à accepter les idées comme l’aide étrangère. Des experts français d’Areva sont par exemple arrivés hier à Tokyo. «Il n’y a pas de vraie cellule internationale avec des spécialistes planchant sur des solutions pour Fukushima», regrette Jean-François Dupont, ingénieur-physicien EPFL et vice-président du Conseil scientifique de la Fédération romande de l’énergie. «Dans ce sens, il faut se réjouir que toute nouvelle idée soit sérieusement évaluée. D’autant que le monde a peu d’expérience des catastrophes nucléaires.»


| |
|
|
|
|