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VIP-Blog de sweet-cherry
  • 45 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 19/03/2007 21:46
    Modifié : 06/06/2024 15:41

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    Offrez leur un peu de chaleur durant les frimas de l'hiver !

    15/12/2010 21:11

    Offrez leur un peu de chaleur durant les frimas de l'hiver !


    Au moment des fêtes de fin d'année, ayons une pensée et faisons un geste pour les animaux abandonés

    La vague de froid qui s’est abattue sur toute l'Europe a durement frappé tous les refuges pour animaux abandonnés, qu'ils soient de France, de Belgique, de Suisse ou d'ailleurs. Vous pouvez aider les refuges de votre région, soit par une petite donation ou en adoptant un de leur pensionnaires.

    Les structures ont souffert

    Aujourd’hui, à quelques jours de Noël où l’esprit devrait pourtant être à la joie, des centaines de structures se retrouvent dans une situation très préoccupante.

    Les refuges doivent pouvoir faire face aux dépenses indispensables pour continuer à héberger, soigner et nourrir les chiens et les chats qu’ils recueillent. Et l’hiver réclame des moyens supplémentaires pour protéger les animaux du froid et réparer les infrastructures qui ont été endommagées par les fortes chutes de neige.

    Afin de pouvoir faire face aux urgences de Noël, votre aide est très précieuse quelque soit votre geste, et en plus c'est déductible des impôts !

    Ils ont besoin de vous :

    http://www.30millionsdamis.fr/agir-pour-les-animaux/faire-un-don.html

    http://www.fondationbrigittebardot.fr/

    http://www.spa.asso.fr/

    http://www.svpa.ch/

    http://www.soschats.org/

    http://www.sos-chats.ch/welcome/welcome.asp

    http://www.chiens-admis.be/html/refuges.html

    http://refuges.animaux.ws/Belgique.html

    Merci de tout coeur pour eux  !






    Toute l'inutilité des expérimentations animales révèlées

    08/10/2010 02:01

    Toute l'inutilité des expérimentations animales révèlées


    Ce que vous devez savoir 

    Les expérimentateurs sur les animaux reçoivent régulièrement des prix  y compris le Prix Nobel, le Prix Marcel Benoist en Suisse et le Grand Prix Claude Bernard en France pour leurs recherches «extraordinaires», «révolutionnaires» et «prometteuses». Les expérimentateurs suisses Adriano Aguzzi, Denis Duboule, Martin Schwab et Rolf Zinkernagel sont les lauréats les plus éminents des dernières années.

    A quoi servent ces prix ?

    Les comités qui décernent les prix de recherche se composent en majorité d’expérimentateurs sur les animaux et de partisans de l’expérimentation animale, dont la priorité est la promotion et la continuation des expériences sur les animaux. En décernant des prix de recherche, ils soutiennent non seulement les expériences sur les animaux financièrement, mais ils perpétuent grâce aux éloges dans les médias des expérimentateurs couronnés le mythe que les expériences sur les animaux servent au progrès médical.

    En réalité, pas une seule maladie n’est guérissable sur la base des expériences sur les animaux. La fixation sur l’expérimentation animale inutile et non fiable garantit que les maladies humaines restent incurables pour que celles-ci soient «recherchées» en permanence dans le but de faire carrière. Car il est bien connu que de nombreux chercheurs doivent leur titre de docteur et leur carrière aux expériences sur les animaux.

    Source : http://animalexperiments.ch/ 

    Où est la guérison ?

    Depuis des décennies, les expériences sur les animaux sont effectuées pour étudier et guérir la paraplégie. Avec quel résultat ?

    - En Suisse, environ 10 000 personnes souffrent d’une paraplégie, notamment à la suite d’un accident de sport, de travail ou de la route. Malgré d’intensives recherches sur les animaux et de nombreuses annonces de succès par les expérimentateurs, la paraplégie demeure incurable.

    - A cause des différences fondamentales et insurmontables entre les humains et les animaux, les expériences sur les animaux ne permettent pas de déductions fiables pour les humains. En fait, la fixation sur l’expérimentation animale inutile garantit que la paraplégie reste incurable.

    - Afin de réaliser de vrais progrès dans la guérison de la paraplégie, les chercheurs doivent renoncer aux expériences sur les animaux et utiliser des méthodes utiles et fiables qui s’appliquent directement aux humains.

    Pour en savoir plus consultez ce site :

    http://animalexperiments.ch/ 

    Ne restons pas dupes et agissons ensembles :

    Signez la pétition en ligne :

    http://www.one-voice.fr/fr/petition/aliments-pour-animaux-familiers-non-l-experimentation-animale

    Pourquoi l’expérimentation animale n’est pas nécessaire

    L’expérimentation animale est dite nécessaire pour assurer l’innocuité des produits et pour trouver de nouvelles thérapies. En réalité, elle ne permet de juger ni des effets ni des dangers des substances chez l’être humain. L’expérimentation animale ne tient pas ses promesses. Ses résultats ne sont pas directement applicables à l’être humain. C’est de plus en plus souvent une évidence pour les scientifiques, les responsables politiques et les citoyens.

    L’expérimentation animale est dangereuse

    On entend souvent affirmer que l’expérimentation animale est indispensable. Des tests sur un “organisme entier” seraient nécessaires à la mise au point des médicaments. Or les animaux sont peut-être des organismes entiers, mais ils ne sont pas les organismes adéquats. L’anatomie, la physiologie et le métabolisme des animaux et des humains diffèrent considérablement. Même des espèces animales différentes peuvent réagir de façon totalement contraire à une substance chimique ou à un médicament.  A partir des résultats d’expérimentations effectuées sur des animaux, il n’est donc pas possible de prédire si un être humain réagira de façon identique ou de façon différente.

    Une étude menée par les laboratoires Pfizer a abouti à la conclusion que “pour savoir quelles substances sont carcinogènes, il vaudrait mieux jouer à pile ou face plutôt que de compter sur l’expérimentation animale. Seulement 5 à 25 % des substances nocives pour l’être humain ont aussi des effets négatifs sur les animaux des laboratoires. Jouer à pile ou face donne de meilleurs résultats.

    ”De nombreux médicaments, considérés sans danger sur la base d’expérimentations pratiquées sur les animaux, ont eu des effets nocifs et même mortels chez l’être humain. Ils sont la preuve qu’il n’est pas possible de transposer avec fiabilité les résultats des expériences sur les animaux à l’être humain. Lipobay®, Vioxx®, Trasylol®, Acomplia® et TGN1412 ne sont que le sommet de l’iceberg. Rien qu’en Allemagne, on estime que pas moins de 58 000 décès sont le résultat des effets secondaires des médicaments.

    D’autre part, personne ne sait combien de médicaments bénéfiques n’ont jamais été mis au point suite à l’abandon prématuré de leur développement, conséquence des résultats trompeurs d’expérimentations pratiquées sur des animaux. Rappelons ici que certains médicaments très utiles  comme l’aspirine, l’ibuprofène, l’insuline, la pénicilline ou le phénobarbital  n’existeraient pas si l’on s’était fiés à l’expérimentation animale. Ces substances provoquent en effet de graves dégâts chez certaines espèces dont le processus métabolique est différent du notre. Soumises aux procédures actuelles de développement des principes actifs, elles auraient été rejetées.

    Pour chaque produit, il faut sacrifier des dizaines de milliers d’animaux. Et dans la plupart des cas, ils ne font même pas progresser la médecine. En Allemagne, sur environ 2 500 nouvelles demandes d’autorisation de mise sur le marché présentées chaque année, on compte seulement une innovation véritable tous les deux ans. Tout le reste existe déjà ou est simplement inutile. La société Bayer a même redéfini la situation tout à fait normale des hommes âgés comme un “syndrome de déficience en testostérone” dans le but de créer un nouveau marché pour les médicaments hormonaux. Sur le marché allemand, il existe environ 60 000 médicaments. Un certain nombre sont identiques. Ils sont simplement commercialisés sous des noms différents. D’après l’OMS, seuls 325 médicaments sont vraiment essentiels.

    L’expérimentation animale ne contribue en rien à la mise au point de nouvelles thérapies. L’industrie pharmaceutique n’y recourt que pour se couvrir au cas où un problème surviendrait avec un produit.

    L’expérimentation animale n’est pas une science digne de ce nom

    La plupart des maladies humaines n’affectant pas les animaux, on en simule les symptômes sur des “organismes modèles”. Pour simuler la maladie de Parkinson, par exemple, on injecte à des singes, à des rats ou à des souris une neurotoxine qui détruit les cellules du cerveau. Pour provoquer un cancer chez des souris, on recourt au génie génétique ou à des injections de cellules cancéreuses. Pour provoquer chez la souris une attaque cérébrale, on introduit un fil dans une artère cérébrale. Chez le rat, on provoque le diabète en injectant à l’animal une toxine qui détruit les cellules pancréatiques productrices d’insuline. Pour simuler un infarctus chez le chien, on comprime une artère coronaire à l’aide d’un nœud.

    Ces symptômes provoqués de façon artificielle n’ont rien de commun avec les troubles chez l’être humain qu’ils sont censés simuler. D’importants aspects des origines de ces troubles, comme les habitudes alimentaires, le style de vie, la consommation de drogues, la pollution et autres nuisances, le stress et les facteurs psychologiques et sociaux, ne sont pas pris en compte. Les résultats d’études à base d’expérimentations sur des animaux sont donc trompeurs et inexploitables.

    En réalité, les recherches fondées sur l’expérimentation animale sont constamment vouées à l’échec. Parmi les médicaments potentiels  qui paraissent efficaces et sans danger quand ils sont testés sur des animaux  92 % échouent aux tests cliniques, soit parce qu’ils ne sont finalement pas assez efficaces, soit en raison d’effets secondaires indésirables. Sur les 8 % de substances acceptées, la moitié seront par la suite retirées du marché une fois que des effets secondaires graves et souvent même létaux chez l’être humain seront devenus évidents.

    Ainsi, on a cru que l’ “invention” de la souris cancéreuse serait la solution longtemps cherchée pour lutter contre les tumeurs malignes. Au milieu des années quatre-vingt, des chercheurs de l’Université de Harvard ont réussi à introduire un gène du cancer humain dans le génome des souris, si bien que celles-ci ont développé des tumeurs de façon prématurée. Cette souris génétiquement modifiée a même été le premier mammifère à être breveté : aux Etats-Unis en 1988 puis en Europe en 1992. Depuis, on a “guéri” des dizaines de milliers de cancers chez les souris, mais tous les traitements qui étaient “efficaces” chez ces rongeurs ont échoué chez l’être humain.

    Les laboratoires qui pratiquent l’expérimentation animale annoncent régulièrement des avancées pour toutes sortes de pathologies. Les tests sur les animaux sont censés avoir prouvé que telle ou telle méthode de traitement permettait de lutter contre la maladie d’Alzheimer, contre la maladie de Parkinson, contre la sclérose en plaques, contre le cancer, contre l’athérosclérose, etc...

    Cependant, les espoirs des malades sont presque toujours déçus et l’on n’entend plus parler du prétendu traitement miracle. Les humains ne sont pas des souris, tout simplement.

    De plus en plus souvent, des études scientifiques amènent à douter des bienfaits de l’expérimentation animale. Elles démontrent que les résultats des expérimentations pratiquées sur des animaux sont souvent sans rapport avec les observations faites chez l’être humain et que l’expérimentation animale n’est généralement pas appropriée à une application clinique chez le patient humain.

    Dans une méta-étude anglaise, on a comparé les résultats de différentes méthodes de traitement sur des animaux et sur des patients d’après les publications scientifiques correspondantes. Des corrélations ont pu être observées sur trois seulement des six pathologies étudiées.

    Dans une autre étude comparative, des chercheurs britanniques ont constaté que les résultats d’études menées à la fois sur des animaux et sur des humains étaient souvent très différents. D’après cette étude, les résultats des expérimentations pratiquées sur les animaux sont tellement peu fiables que leur extrapolation à l’être humain représente un réel danger pour le patient. L’expérimentation animale y apparaît aussi comme un gaspillage des ressources financières consacrées à la recherche.

    Dans une étude allemande, 51 propositions d’expérimentation sur des animaux, approuvées en Bavière, ont été analysées du point de vue de leur application clinique. Les chercheurs ont découvert que même au bout de dix ans, pas un seul projet n’avait pu trouver une application valable en médecine humaine.

    L’expérimentation animale est non seulement inutile mais aussi dangereuse et même néfaste. Elle suppose une sécurité qui en réalité n’existe pas, et les faux résultats qu’elle produit ne font qu’entraver le progrès de la médecine.

    L’expérimentation animale est immorale

    Indépendamment des nombreuses raisons scientifiques, il existe aussi des raisons morales de refuser l’expérimentation animale. Chaque année, pas moins de 115 millions d’animaux meurent dans les laboratoires de l’industrie chimique et pharmaceutique, des universités et autres instituts de recherche. L’expérimentation animale rabaisse les animaux au statut d’ “organismes modèles” et d’instruments de mesure jetables. Or, les animaux sont des êtres sensibles qui souffrent. L’expérimentation animale n’est pas compatible avec une médecine et une science moralement justifiables.

    Les méthodes de recherche sans tests sur animaux sont vraiment scientifiques

    Mettre fin à l’expérimentation animale ne signifie pas mettre fin à la recherche médicale. Au contraire : la remplacer par des études sur l’être humain – par exemple en épidémiologie, dans la recherche clinique, dans les domaines de la sécurité et de la santé dans l’entreprise et de la médecine sociale permettrait un réel progrès de la médecine. Contrairement à l’expérimentation animale, les méthodes de tests substitutives, qui consistent à utiliser des cellules ou des tissus humains ainsi que des programmes informatiques spécifiques, produisent des résultats exacts et exploitables.

    Des modèles virtuels élaborés donnent des informations sur la structure, l’effet et la toxicité des substances chimiques ou des nouveaux médicaments. Des circuits intégrés permettent d’associer l’informatique à des méthodes d’expérimentation in-vitro : dans un système de canalisations et de boîtes miniaturisées, des micro-puces sont colonisées par des cellules humaines pouvant provenir de différents organes. Il est ainsi possible de tester l’effet d’une substance sur un organe particulier, de connaître la façon dont cette substance est métabolisée et de savoir si un effluent toxique se forme.

    Des expériences sur les animaux pour lesquelles il n’est pas nécessaire de trouver un substitut

    Ceux qui croient que l’expérimentation animale est pratiquée dans le but de mettre au point de nouvelles thérapies pour guérir les malades se trompent lourdement. Un certain nombre d’expériences pratiquées sur les animaux dans le cadre de la recherche fondamentale ne sont même pas censées apporter quelque chose à la médecine.

    Exemples d’expérimentations sur des animaux approuvées et pratiquées en Allemagne :

    - A l’Université de Leipzig, on a découvert que l’hibernation protégeait les tissus neuronaux des hamsters et qu’elle pourrait donc permettre, par exemple, de prévenir la maladie d’Alzheimer.

    - A l’Institut fédéral de recherche sur la nutrition et les aliments de Karlsruhe, on a mélangé des caroténoïdes à un substitut de lait donné à des veaux dans le but de comprendre pourquoi les tomates et les melons étaient si bénéfiques pour la santé humaine.

    - Afin d’étudier les conséquences d’un choc acoustique aigu sur l’oreille interne chez le cochon d’Inde, on a exposé plusieurs de ces animaux au bruit des coups de fusil (156 +/- 4 dB), puis on les a tués.

    - A l’Institut de recherche aviaire de Wilhelmshaven, 22 goélands capturés sur une île allemande en mer du Nord ont été privés de nourriture pendant six jours. Le but de l’expérience était de savoir combien de temps les goélands peuvent survivre sans rien manger.

    - A Ulm, des chercheurs ont étudié les effets à long terme de la gravité sur le développement et le biorythme de différentes espèces animales. On a par exemple assemblé un appareillage permettant d’effectuer pendant plusieurs mois des mesures sur des scorpions vivants. Chaque animal était immobilisé sur un support, auquel il était fixé. Des électrodes implantées dans ses yeux, dans les muscles des pattes, dans le cerveau et dans le corps mesuraient en permanence les influx nerveux.

    Il est inutile de chercher des méthodes substitutives pour de tels projets de recherche. Ces expérimentations peuvent être arrêtées sans être remplacées, soit parce que des données relatives à l’être humain sont disponibles depuis longtemps, soit parce que les résultats de telles recherches sont totalement inutiles pour la santé humaine.

    Pourquoi continue-t-on à pratiquer des expériences sur des animaux ?

    Si l’expérimentation animale perdure, ce n’est pas pour des raisons scientifiques mais en grande partie par tradition. Il y a plus de 150 ans, un physiologiste français, Claude Bernard (1813-1878), a fait de l’expérimentation animale le standard de toute approche médicale et scientifique. Sa doctrine repose sur un paradigme scientifique moderne consistant à n’accepter que des résultats explicables par l’analyse, mesurables et reproductibles. Or, dans le cadre de cette conception scientifique, la maladie est assimilée à un défaut technique et les animaux à des instruments de mesure.

    Dès lors, le mérite du chercheur se mesure non pas au nombre de personnes dont il a amélioré la situation mais à la quantité de travaux scientifiques qu’il a publiés. Suivant la devise "publier ou périr", il n’est possible de se faire un nom dans le monde des sciences que par le biais d’une longue liste de publications dans des journaux scientifiques de renom, une liste de laquelle dépendra la quantité de financements accordés pour les recherches. Ces fonds seront dans notre cas investis dans l’expérimentation animale, laquelle donnera lieu à son tour à de nouvelles publications. Ce système absurde s’auto-entretient et absorbe des sommes d’argent incroyables subventions, bourses d’études et autres sans aucun bénéfice pour les malades.

    Une autre raison pour laquelle on continue de pratiquer des tests sur les animaux dans certains domaines est le manque de financement pour les travaux de recherche sans utilisation d’animaux, ainsi que la longueur des procédures de validation des méthodes in vitro.

    Enfin, l’industrie pharmaceutique se sert de l’expérimentation animale comme couverture. En cas de problème avec un médicament, le fabricant peut faire valoir l’existence de tests sur des animaux n’ayant pas montré d’effets secondaires. Mais si l’expérimentation animale est autant prisée par l’industrie pharmaceutique, c’est aussi parce qu’elle permet de prouver tout ce que l’on a envie de prouver. On trouvera toujours une espèce animale et un protocole de test produisant les résultats souhaités.

    Conclusion

    Non seulement les expérimentations sur les animaux sont des méthodes cruelles et par conséquent immorales, mais elles ne sont pas scientifiques et n’ont pas leur place dans la médecine et la science modernes au XXIe siècle.

    Doctors Against Animal Experiments Germany est une organisation caritative constituée de plusieurs centaines de médecins et de scientifiques travaillant dans le domaine médical. Cette organisation réclame l’abolition de toute expérimentation animale pour des raisons morales et scientifiques.

    Doctors Against Animal Experiments Germany,
    Landsbergerstr. 103
    80339 Munich
    Allemagne
    Tél: +49(0)89 3599349
    Fax: +49(0)89 35652127
    info@doctors-against-animal-experiments.org
    www.doctors-against-animal-experiments.org

    Source : one-voice.fr 








    L'horreur des éléphants de cirque Ringling Bros

    30/07/2010 00:26

    L'horreur des éléphants de cirque Ringling Bros


    Maltraités dès leur plus jeune âge

    De nouvelles photos montrent l'utilisation de cordes, de crochets acérés et de pointes électrifiées pour dresser les éléphants des cirques Ringling.

    Photo

    Photo

    Chaque année, mères et pères emmènent leurs enfants au cirque Ringling Bros pour un petit « plaisir en famille », mais ce qu'ils ne savent pas, c'est comment ces éléphanteaux sont ligotés cruellement et électrocutés dans le but de les forcer à apprendre des figures.

    Les parents ne voient jamais ce qui se passe dans les coulisses du centre d'élevage Ringling, oú des éléphanteaux non-sevrés sont capturés dans la peur et la violence, reliés par le cou à des éléphants « ancres » puis traînés loin de leurs mères. Les parents ne sont pas conscients de la longue année de dressage dont les séances intensives et violentes durent plusieurs heures par jour. Ils n'entendent jamais les hurlements et les cris, ni ne voient la lutte frénétique et inutile des bébés jetés à terre, tirés par les quatre membres, frappés à coups de crochets et piqués par des pointes électrifiées.

    Photo

    PETA US a acquis les photos choquantes d'un ancien dresseur de Ringling qui montrent des éléphanteaux effrayés au centre d'élevage Ringling subissant des méthodes de dressage barbares destinées à les forcer à faire des figures dans le cirque.

    Photo 

    Voir les images sur Peta :

    http://www.petafrance.com/featRinglingBabyElephant.asp

    Malheureusement ce ne sont pas les seuls

    L'entreprise de cirque Ringling Bros est loin d'être la seule à battre les animaux détenus. Dans les coulisses du cirque Carson & Barnes, le dresseur Tim Frisco enseigne à des élèves sa façon de dominer les éléphants : " Enfoncez ce crochet en eux. Quand vous entendez hurlez, alors vous savez que vous avez obtenu leur attention."

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    Un éléphant barrit à l'agonie au crochet du dresseur. Le crochet de métal au bout tranchant est en train de lacérer la peau sensible de l'animal. Tim Frisco a appris ce métier auprès de son père, un dompteur d'éléphants qui travaillait pour les cirques Barnum & Bailey et Ringling Bros.

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    Eléphant en souffrance :
    Patte blessée

     

     

     

     

     

     

     

    Des conditions de souffrance : 

     

    Se faire obéir à tout prix

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pour des cirques sans animaux

    Et n'oubliez pas, si vous entrez dans un cirque Ringling ou tout cirque utilisant des animaux vous soutenez cette souffrance. Restez loin des cirques qui utilisent des animaux.

    Le spectacle vivant peut très bien être réalisé uniquement par des humains. L'association belge Gaia ( Groupe d'Action dans l'intérêt des animaux) a élaboré une liste de cirqes qui n'exploitent pas les animaux.

    Pétition en ligne

    http://www.thepetitionsite.com/takeaction/224/856/703

    http://www.thepetitionsite.com/1/ban-ringling-bros-circus

    Videos :

     






    N'achetez pas votre petit compagnon dans une animalerie !

    03/05/2010 02:59

    N'achetez pas votre petit compagnon dans une animalerie !


    Vous soutenez indirectement ce trafic cruel

    En achetant votre chiot dans une animalerie, vous participez sans le savoir à un trafic gigantesque d'animaux en provenances d'usines à chiots ou d'élevages clandestins.

    Par définition, une usine à chiot ou un élevage clandestin est un endroit isolé des voisins et insalubre, surtout, il y en a en France, au Québec, la majorité d'entre proviennent des pays de l'Est. Là des "éleveurs" sans scrupules donnent naissances à des milliers de chiots, tous entassés les uns par dessus les autres dans des conditions lamentables. Le but est de les exporter dans toute l'Europe afin d'en retirer un maximum de profit sans toutefois dépenser le moindre sou.

    Pour cesser la prolifération des usines à chiots, la vente de chiots dans les animaleries doit être bannie. La majorité de ces chiots sont malades et développeront, au mieux des problèmes comportementaux au pire des maladies incurables voir foudroyantes ...

    Ce business lucratif cache une cruauté sans limite dont bon nombres de chiens vivront et mourront dans des conditions et des souffrances terribles, beaucoup de chiots ne survivront pas non plus.

    Conseils

    Achetez un animal chez un éleveur renommé digne de ce nom ou adoptez le, mais vérifiez toujours sa provenance, renseignez-vous car la santé de votre petit protègé et son comportement n'ont pas de prix. Privilégiez un chiot en bonne santé chez un véritable éleveur vous sera plus bénéfique qu'un chiot malade, dont son traitement sera honéreux ou sa courte vie vous aura peiné.

    Signez les pétitions en ligne :

    http://www.lapetition.be/sign_petition.php?petid=7025

    http://www.thepetitionsite.com/takeaction/341642247?ltl=1132477830

    http://www.petitiononline.com/sos_dog/petition-sign.html

    L'histoire de Charly-Boy, chien d'animalerie qui lutte pour sa survie :

     

    Voir la video : 








    Le calvaire des chevaux de boucherie au Brésil et au Mexique

    11/04/2010 01:02

    Le calvaire des chevaux de boucherie au Brésil et au Mexique


    Une cruauté sans limite 

    GAIA a enquêté au Brésil et au Mexique sur les conditions de transport et d'abattage de chevaux pour la production de viande. Majoritairement destinée à être exportée vers les pays européens, la viande de chevaux sud-américains se retrouve sur les étals de nos supermarchés et dans les assiettes des consommateurs.

    La Belgique est considérée comme la plaque tournante du commerce international de la viande chevaline. Quatre entreprises belges tirent les rênes de ce profitable négoce : Chevideco, Equinox, Multimeat et Velda. Ces acteurs majeurs du marché mondial ont investi dans de nombreux pays producteurs. Ils y disposent d'importantes infrastructures, parc d'engraissement, et même usines d'abattage.

    La Belgique n'importe donc pas uniquement pour répondre à la consommation nationale. Une grande partie de la viande de cheval importée par les sociétés belges est réexpédiée vers d'autres pays, tels que la France, l'Italie, les Pays-Bas ou le Japon.

    Pour les intérêts commerciaux d'entreprises belges, des dizaines de milliers de chevaux souffrent ...jusqu'à l'agonie.

    Dans l'enfer du Sud avec les chevaux

    Entre septembre 2009 et février 2010, GAIA a cherché à savoir si les chevaux américains, dont la viande est massivement importée en Europe et en Belgique bénéficient d'une protection lors de leur transport et de leur abattage. Ce qu'a découvert GAIA est la véritable condition des chevaux américains dont le destin est traçé, à des milliers de kilomètres de leur terre, par des sociétés belges de viande chevaline : des chevaux émaciés, déshydratés, mourant de faim ou déjà morts, blessés, manipulés avec violence et mépris, transportés et parqués dans des camions inadaptés pendant plusieurs jours, lors de voyages parfois longs de 2500 km.

    L'enquête de GAIA a mené son équipe le long des routes du Mexique et du Brésil. Les faits rapportés s'appuient sur les vidéos d'enquête et sur les nombreux témoignages recueillis de marchands, transporteurs et abattoirs.

    Au Mexique

    En 2007, les trois abattoirs de chevaux opérant aux Etats-Unis, tous trois sous le contrôle d'entreprises belges, ont dû fermer leurs portes suite à l'application de lois étatiques prohibant l'abattage de chevaux à des fins de consommation. Cependant, des dizaines de milliers de chevaux chaque année sont encore expédiés en dehors des frontières des USA, vers le Mexique ou le Canada, pour y être abattus.

    La plupart des chevaux américains acheminés vers le Mexique sont vendus lors d'enchères aux bestiaux, sur tout le territoire des Etats-Unis. Souvent parqués dans des camions à double étage -interdits en Europe-, dans lesquels les chevaux sont obligés de courber continuellement l'échine, ils cheminent ensuite vers un gigantesque parc d'engraissement au Texas. Ils y resteront quelques jours, avant de traverser la frontière mexicaine vers l'abattoir. Le plus tristement connu de ces feedlots est Beltex, propriété de la société belge Multimeat.

    Au mépris des lois texanes de protection animale, aucun abri n'est fourni, malgré les températures élevées ou les intempéries. Des chevaux y meurent avant d'avoir repris la route.

     

    L'enquête de GAIA montre des chevaux transportés vers le Mexique dans des bétaillères à deux étages, ainsi que dans des bétaillères à ciel ouvert, créant ainsi une situation dangereuse pour les animaux. Dans les bétaillères à double étage, il arrive fréquemment que des animaux se blessent au visage.

    Maltraitance et brutalités

    GAIA a visité le marché aux bestiaux mexicain de San Bernabé. Ce marché a une réputation désastreuse en matière de respect des animaux. Les images d'enquête témoignent de chevaux gravement blessés, de plaies à vif. Des animaux morts sont tirés de camions. Les chevaux sont forcés à sauter dans les remorques sans rampe d'accès. Des chevaux sont entassés dans des remorques sans toit, avec une brutalité et une indifférence inouïe.

    Au Brésil

    L’agonie des chevaux au Brésil, comme aux USA et au Mexique, débute bien avant le transport. Des marchands de chevaux, appelés juntadores, sillonent le pays, ramassant de ferme en ferme des chevaux devenus inutiles à leurs propriétaires. Les transporteurs se ravitaillent auprès des collecteurs, et chargent des animaux négligés et sous-alimentés.

    2500 km sans eau ni nourriture

    Dans la pratique, les chevaux montés à bord des véhicules des marchands restent dans les camions pendant la collecte d’autres chevaux, et peuvent demeurer ainsi jusqu’à 3 jours dans les véhicules. Le voyage peut-être long de 2500 km. Au cours du trajet, même par temps chaud et sec, les chevaux ne reçoivent ni eau, ni nourriture.

    Les véhicules de transport, inadaptés, sont un risque supplémentaire pour la vie des chevaux : ils ne disposent pas de rampe d'accès, pas de toit pour protéger les chevaux des intempéries et de fortes chaleurs, pas de cloisons pour éviter la chute et la mort d'animaux. Des animaux faibles sont parfois ligotés par des cordes aux cloisons des camions pour leur éviter une chute. Ce qui, parfois, entraîne leur mort.

    Afin de rentabiliser leurs voyages, les transporteurs surchargent souvent les camions. La brutalité des manipulations et l'incompétence de certains transporteurs s'ajoutent à des situations déjà dramatiques. Une scène de l'investigation de GAIA révèle comment les animaux sont typiquement trainés à l'intérieur de camions sans rampe, corde nouée au museau, forcés à franchir une marche trop haute devant laquelle ils s'écroulent et se blessent, sous les coups des transporteurs. Lorsque certains chutent, les chevaux reçoivent de nombreuses décharges électriques, même au niveau de la tête, pour les relever.

    A leur arrivée à l'abattoir, les animaux ne reçoivent pas de nourriture appropriée. S'ils ne sont pas abattus immédiatement, des animaux meurent à même les enclos.

    Les enquêteurs de GAIA ont visité l'abattoir POMAR, qui exporte vers l'Europe et la Belgique, récemment réouvert après une fermeture administrative pour raisons sanitaires ou sécuritaires. Pendant toute la durée de la fermeture, les chevaux, continuant d'affluer de tout le pays, parqués dans l'abattoir mais non abattus, n'ont pas été nourris par l'établissement. Des dizaines d'animaux sont morts affamés.

    Selon leur condition physique ou leur état de chair, les chevaux finiront soit dans les rayons d'un supermarché en Europe, soit en boîtes de pâtée pour chiens lorsque les chevaux sont trop blessés, vieux ou malades.

    Que pouvons-nous faire ?

    - Si vous mangez de la viande chevaline, ne consommez pas de viande chevaline en provenance de pays tiers. Vérifiez toujours le pays d'origine sur l'étiquette. Si le pays d'origine n'est pas indiqué, ou si l'information ne vous semble pas claire, interrogez votre boucher ou le responsable du rayon. Expliquez-vous pourquoi vous boycottez la viande chevaline importée.

    - Demandez aux supermarchés de cesser de commercialiser de la viande chevaline en provenance d'Amérique du Sud, et expliquez-leur vos raisons. Cliquez ici pour vous inspirer de la lettre-type.

     

    Signez la pétition en ligne

    http://www.one-voice.fr/fr/petition/total-respect-pour-nos-compagnons-chevaux

    Visitez le site :

    http://www.one-voice.fr/fr/article/chevaux-voyage-au-bout-de-l-enfer-au-bresil-et-au-mexique

    Visitez la video :

     








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