Les deux robes, dont la robe de mariée de la chanteuse décédée, devaient être vendues aux enchères
Deux robes d'Amy Winehouse, dont la robe de mariée de la chanteuse britannique décédée l'an dernier à l'âge de 27 ans, ont été volées à son domicile londonien alors qu'elles devaient être vendues aux enchères, a annoncé, jeudi 1er novembre, la Fondation Amy Winehouse.
"Beaucoup d'habits et d'objets ont été laissés (au domicile d'Amy Winehouse après sa mort en 2011, ndlr) et on en faisait l'inventaire quand on s'est aperçu que ces deux robes manquaient", a expliqué un porte-parole de la Fondation.
Il ne semble pas y avoir de traces d'infraction au domicile de la chanteuse, qui est désormais en vente, a-t-il précisé.
Les deux robes "devaient revenir à la Fondation mais quelqu'un va peut-être essayer de les vendre", a-t-il ajouté.
La robe de mariée, une robe courte blanche et rouge à fines bretelles - aurait pu s'arracher 100.000 livres (124.000 euros ou 161.000 dollars) aux enchères, selon les estimations du porte-parole. Et l'autre tenue dérobée, une robe de soirée aux imprimés de papiers journaux, aurait pu se vendre 30.000 livres, selon la même source.
"La robe qu'Amy a portée pour la couverture de l'album 'Back To Black' s'est vendue 40.000 livres et l'argent est revenue à la fondation, et une autre robe pour 30.000" livres, a rappelé le porte-parole de la Fondation.
Amy Winehouse, la diva britannique de la soul, avait été retrouvée morte à l'âge de 27 ans à son domicile londonien en juillet 2011, à la suite d'une trop forte absorption d'alcool. La jeune femme avait bataillé pendant des années contre sa dépendance à la drogue et à l'alcool. A sa mort, sa famille a créé une Fondation à son nom pour venir en aide aux jeunes dépendants de la drogue et de l'alcool.
De nouvelles interrogations entourent sa succession
«C'est son portrait! Sur la photo que nous avons des deux, elle est le portrait craché de son père, la ressemblance est phénoménale», a assuré au Journal du Dimanche l'avocat de la mère, Me Jean-Pierre Millet.
Selon le JDD, une maman d'origine zaïroise a déposé mardi dernier une demande judiciaire en reconnaissance de paternité. Une démarche faite pour que sa fille Chelsea puisse toucher une part de l'héritage de Jean-Luc Delarue.
La maman de la fillette et l'animateur décédé se seraient rencontrés il y a treize ans au cours d'une soirée parisienne. Elle aurait plusieurs fois essayé de faire entendre raison à Jean-Luc Delarue, alors encore en vie, en lui demandant de reconnaître l'enfant. «On nous disait qu'il était fatigué, qu'il fallait qu'il se repose, qu'on verrait après», a confié l'avocat Me Millet.
Une audience était prévue le 11 septembre dernier pour déterminer les modalités d'un éventuel test ADN mais la mort de l'animateur a changé la donne. Une nouvelle audience, en présence des probables héritiers de Jean-Luc Delarue, sa dernière épouse Anissa et Arnaud Gachy son ancien attaché de presse, est prévue le 23 octobre, souligne le JDD.
Le catcheur s'énerve après la diffusion d’une sextape
Ça ne rigole plus. Ceux qui auraient pu soupçonner Hulk Hogan de se faire volontairement de la publicité avec son affaire de sextape, diffusée par Gawker.com il y a dix jours, se sont bien trompés. Très en colère, Hulk Hogan ne compte pas laisser le responsable s’en tirer ainsi et a demandé au FBI de prendre l’affaire en main.
Le catcheur de 54 ans a rendez-vous aujourd’hui dans leurs bureaux. Il a fait appel au FBI et non pas à la police car le délai de prescription lui permettant de déposer une plainte pénale est dépassé. La vidéo où on le voit au lit avec Heather Clem, l’ex-femme de son meilleur ami Bubba, lequel aurait vendu la vidéo pour s’enrichir, date de 2006.
Par contre l’atteinte découlant de la diffusion de la vidéo dépasse les frontières de l’état de Floride où Hulk Hogan réside. Il peut donc demander l’aide du FBI pour traduire le coupable en justice, explique TMZ.com. Car si le fait de l’avoir filmé en plein acte à son insu est un acte prescrit, celui d’avoir vendu la vidéo aux médias ne l’est pas.
Arnold Schwarzenegger a défendu la politique de rigueur de François Hollande
Une déclaration d'Arnold Schwarzenegger, acteur et ex-gouverneur de Californie, soutenant la rigueur budgétaire mise en œuvre par François Hollande, a suscité samedi l'inquiétude ironique du Parti communiste, qui y a vu "un bien mauvais film".
Lors d'une présentation, vendredi à Paris, de son autobiographie "Total Recall", Arnold Schwarzenegger a pris fait et cause pour la politique de rigueur budgétaire du président François Hollande, soulignant qu'à défaut, la France irait "dans la même direction que les Etats-Unis".
Le déficit américain a augmenté de plusieurs milliers de milliards de dollars sous les présidences du démocrate Barack Obama et de son prédécesseur républicain George W. Bush, a dit l'acteur. "Les gens refusent de vivre avec leurs moyens", a déploré l'ancien "Monsieur Univers" originaire d'Autriche.
"François Hollande sera-t-il sensible aux encouragements de Conan le Barbare qui, durant son mandat à la tête de la Californie, a en effet tout détruit sur son passage ?", demande le porte-parole du PCF Olivier Dartigolles, dans un communiqué.
"Terminator soutient Hollande. Schwarzy en agent de communication de la politique gouvernementale : un bien mauvais film... On veut bien en changer avec, par exemple, " les raisins de la colère ". "A voir et revoir...", ajoute-t-il.
Le 23 octobre sort à Londres le 23e film de la série, "Skyfall"
Le 5 octobre 1962 est projeté à Londres "James Bond 007 contre Dr No". On y voit Sean Connery, jouant au baccara, allumer une cigarette et se présenter pour la première fois avec la formule devenue mythique : "Bond... James Bond".
L'agent secret le plus connu au monde a été joué par six acteurs différents au long des 22 épisodes de ses aventures. Mais il a toujours gardé le même goût pour les voitures de sport, les jolies femmes, les gadgets high-tech et le vodka-martini, "secoué, pas remué".
"Le coeur de l'univers de Bond est immuable: il est obsédé par le sexe et la violence, hyper-masculin, nationaliste de façon simpliste, et accro à une consommation ostentatoire", explique Christoph Lindner, qui a dirigé l'ouvrage collectif "The James Bond Phenomenon: A Critical Reader" (Le phénomène James Bond: une lecture critique).
Vente aux enchères
Parmi les événements prévus vendredi dans le cadre de cette "journée mondiale James Bond", une vente aux enchères à Londres; une enquête pour déterminer le film de James Bond préféré dans chaque pays; une installation au Musée d'Art moderne de New York (MoMa) dédiée à "Goldfinger" (1964) et destinée "à capturer la suggestivité sexuelle et l'ironie désabusée" de 007; une nuit consacrée à "la musique de Bond" à Los Angeles.
Une exposition des objets cultes des films, "Designing 007, 50 years of James Bond Style", ouvre à la fin du mois à Toronto, après être passée cet été par le centre Barbican à Londres.
L'agence du tourisme britannique a également lancé une campagne à travers 21 pays avec le slogan "Bond is GREAT Britain".
Un nouveau documentaire, "Everything or Nothing: The Untold Story of 007" (Tout ou rien: l'histoire secrète de 007) doit aussi sortir, évoquant notamment Ian Fleming, le créateur britannique du personnage de James Bond.
Et le 23 octobre sort à Londres le 23e film de la série, "Skyfall", dans lequel Daniel Craig incarne James Bond pour la troisième fois.
Video
Générique d'Adele
La chanson du générique du dernier épisode, interprétée par la Britannique Adele, vient d'être dévoilée (à écouter ci-dessus). Elle commençait déjà, à la suite de fuites, à être disponible sur internet mardi.
Il y a cinquante ans, peu de gens auraient parié sur un tel succès. Quand "Dr No", adapté du roman de Fleming, est sorti, la critique était mitigée, le Time magazine qualifiant le personnage de Bond joué par Sean Connery de "grand marshmallow poilu".
Stephen Watt, co-auteur de "Ian Fleming and James Bond: The Cultural Politics of 007", attribue l'endurance de la "marque" James Bond à sa capacité à capter l'air du temps.
Le Bond à l'imposante musculature de Craig contraste avec le personnage plus badin interprété par Roger Moore et le macho à l'ancienne campé par Sean Connery.
"Les séries 007 présentent désormais un héros qui est vulnérable émotionnellement, faillible, et à beaucoup d'égards brisé psychologiquement", explique Christoph Lindner.
Changements géopolitiques
Les films ont aussi évolué avec les changements géopolitiques: "On est passé des méchants de la guerre froide aux méchants post-communistes aux terroristes post-11 septembre et ainsi de suite", constate-t-il.
Selon Stephen Watt, cette capacité à refléter les changements du monde est cruciale pour la survie de la série. "Pour rester actuel, les menaces contre l'Occident doivent faire partie du tableau", dit-il.