Selon une information de RTL, Jean-Luc Delarue a été interpellé, tôt mardi matin à Paris, dans le cadre d'une enquête pour trafic de stupéfiants. Les enquêteurs français travaillent depuis plusieurs mois sur un important réseau de trafiquants de cocaïne approvisionnant l'Ile-de-France.

L'animateur a été placé en garde à vue par les policiers de la sûreté départementale des Hauts-de-Seine. Il apparait dans ce dossier comme un important consommateur. Il n'y a pas de preuve pour l'heure qu'il ait revendu des produits stupéfiants, mais les quantités qu'il se procurait auprès du réseau semblent nécessiter un certain nombre de vérifications. Il s'agirait d'achats pour plusieurs milliers d'euros chaque mois, ce qui représente des quantités impressionnantes pour un consommateur.

La confession de Jean-Luc Delarue après sa garde à vue

Dans une vidéo confession, enregistrée sur le plateau de son émission «Toute une histoire» et postée sur les plateformes de partage (youtube et dailymotion), l'animateur se confesse.

Debout, derrière ses invités, en costume gris foncé, le présentateur s'adresse à la caméra : «Je vais parler sans réfléchir et essayer de faire mes excuses à ceux que j'ai pu offenser ou décevoir. Je ne veux pas donner de mauvais exemples.» La voix trahit l'émotion qui saisit alors Jean-Luc Delarue visiblement affecté par ses dix heures en garde à vue dans les locaux de la Sûreté urbaine des Hauts-de-Seine. «Parfois toutes les histoires de mes invités, je les prends en pleine tronche. parfois ça me protège», s'émeut-il avant d'être interrompu par une salve d'applaudissements des spectateurs venus assister à l'enregistrement de l'émission.

Celui qui s'était signalé sur le petit écran et derrière les micros par une élocution sans faille, mâche ses mots : «Je suis conscient que ce n'est pas bien pour la societé ni pour moi-même non plus», confie l'ex-animateur préféré des Français au temps de sa splendeur qui connait depuis quelque temps une véritable descente aux enfers.

Entendu dans une affaire de stupéfiants, l'ex-présentateur de «Ca se discute» avoue ensuite qu'il «suit un traitement depuis quelques temps déjà» pour son addiction. Mais pour Delarue «les choses arrivent dans le désordre si j'ose dire. Il termine son allocution-confession en insistant sur le fait qu'il va garder la «confiance» des téléspectateurs. «Je crois en la deuxième chance si vous me la donnez», conclut-il.

Vidéo : Delarue fait son mea culpa

Il y a un an Lady Gaga décrochait le titre de Révélation musicale de l'année aux MTV Video Music Awards, qui récompensent les meilleurs clips outre-Atlantique. On retient surtout sa magnifique performance sur son tube Paparazzi, où elle orchestrait son suicide devant un parterre de stars ébahies. Cette année, la lady trash a remis le couvert et s'est imposée en reine de la soirée en raflant huit statuettes.

Huit récompenses pour treize nominations, c'est un score honorable. L'interprète d'Alejandro a consolidé son statut de star planétaire en dominant cette nouvelle édition des MTV VMA. Elle a obtenu le prix de la Meilleure collaboration pour son duo Telephone avec Beyoncé, et pour sa Bad Romance : Meilleur clip d'une artiste féminine, d'une artiste pop-dance ; Meilleure réalisation ; Chorégraphie ; Montage... rien que ça. Face au règne de la New-Yorkaise, les artistes pop féminines Katy Perry, Rihanna et Ke$ha sont reparties bredouilles, malgré leurs six nominations à elles trois.

Lady Gaga avait revêtu pour l'occasion une nouvelle robe fraîchement réalisée (on l'espère), un patchwork de diverses viandes, sans doute un clin d'oeil à la récente couverture polémique du magazine Vogue. Elle semblait très émue par ses multiples récompenses et a une fois de plus rendu hommage à ses "Little Monsters". "J'étais très nerveuse ce soir, j'avais peur de décevoir mes fans", a-t-elle déclaré en récupérant son trophée des mains de Cher, avant de dévoiler en exclusivité le titre de son prochain opus : Born this Way. Lady Gaga a bien compris comment entretenir le mythe.

Video :

Les portes du pénitencier restent fermées pour le tueur de Scarabée. L’assassin de John Lennon devra encore passer au moins deux ans en prison. Depuis 2000, date à laquelle il est devenu admissible à la conditionnelle grâce à sa «bonne conduite», Mark David Chapman a déposé, tous les deux ans, une demande de mise de liberté... qui lui a été systématiquement refusée.

En 2008, l'Etat de New York avait rejeté sa requête «par souci de sécurité et du bien-être public». Cette fois, les trois juges d'application des peines ont estimé que Mark Chapman, avait montré par ce geste «son mépris pour les normes de notre société et le caractère sacré de la vie humaine».

John Lennon

«Cet acte prémédité, insensé et égoïste mène à la conclusion que votre liberté conditionnelle demeure inappropriée et incompatible avec le bien-être de la communauté», a déclaré le Conseil après un entretien en visioconférence avec le coupable.

Selon le quotidien New York Daily News, la justice a reçu des centaines de missives l'incitant à ne pas relâcher Chapman. Parmi ces lettres, celle de Yoko Ono, 77 ans. La veuve du Fab Four estime que Chapman, s'il était remis en liberté, «constituerait un danger pour elle, sa progéniture, la population et aussi lui-même». «J’ai peur qu’il fasse ressurgir le cauchemar, le chaos et la confusion une fois encore. Les deux enfants de John et moi-même, nous nous sentirions en insécurité pour le restant de nos vies», avait-elle imploré. Aujourd’hui, elle sourit et s’est dite «très heureuse».

Au centre correctionnel d’Attica, où il travaille en tant qu’agent de nettoyage, le criminel qui avait expliqué «vouloir attirer l’attention sur lui» purge sa peine dans une unité spéciale, à l’écart du reste de la population carcérale pour ne pas attiser la vengeance des fans.

Mark David Chapman  - Yoko Ono refusant sa libération

Depuis 1990, les visites conjugales lui sont autorisées et il n'a pas commis d'infraction depuis 1994. «Il vaque à ses occupation, effectue son labeur, sans tambour ni trompette», avait déclaré en août, le porte-parole du service pénitentiaire.

Chapman, 55 ans, a été condamné en 1981 à la détention à perpétuité pour le meurtre le 8 décembre 1980 de l’idole Pop devant son domicile de Manhattan. «Mister Lennon!», avait-il interpellé la rock star qui rentrait d’un enregistrement en studio. Reconnaissant le môme auquel il avait dédicacé album et photos l’après-midi même, le compositeur d’Imagine ne s’est pas méfié. Il est mort, le coeur criblé de balles. Ses derniers mots ont été pour le portier du Dakota Building: «Je me suis fait descendre», a-t-il déclaré avant de perdre conscience.

Woody Allen serait-il prêt à déclencher une guerre diplomatique entre la France et les USA rien que pour un petit rôle mal tenu ?

Le site Bakchich.info révèle en effet qu'après avoir eu des difficultés à faire tourner Carla Bruni, le réalisateur new-yorkais aurait pris ses précautions en faisant rejouer les scènes attribuées à Mme Sarkzoy par la jeune actrice française Léa Seydoux (bientôt à l'affiche de Robin des Bois de Ridley Scott).

Une info surprenante, d'autant que le réalisateur avait raconté il y a deux semaines au journal italien Corriere della Sera avoir été totalement charmé par l'ancienne top modèle et chanteuse.

Le tournage du film s'était déroulé dans la capitale tout l'été, prenant fin le 20 août dernier. La sortie de Midnight in Paris est attendue pour l'année 2011.

Si Carla Bruni reste l'interrogation du casting, on sait en revanche que Marion Cotillard, Adrian Brody et Owen Wilson seront bien à l'affiche de cette comédie romantique qui raconte l'histoire d'une famille américaine qui découvre la Ville lumière lors d'un voyage d'affaires...

Notre président irait-il jusqu'à appeler son copain Barack Obama pour qu'il fasse pression auprès du bon Woody ?