Mesdames, c’est un petit chien que vous pourriez mettre dans votre sac-à-main sans problème ! Après le plus grand chien du monde, Le Huffington Post nous révèle désormais celui qui pourrait bien devenir le plus petit chien du monde.
Il s’agit d’un Polish Terrier qui mesure 7cm de haut pour 12cm de long, et ne pèse que 250 grammes. Il s’appelle Little Meysi, et il est aussi grand qu’un hamster, ou qu’une canette de coca. Il est si petit qu’à la naissance, sa maîtresse l’a confondu avec un bout de placenta, et a failli le jeter à la poubelle. Elle espère maintenant qu’il pourra entrer au Livre Guinness des records du monde l’an prochain. Mais vous allez voir, petit ne signifie pas sans énergie ! C’est une vraie boule de nerfs...
Selon le site internet du Guiness des records, le plus petit chien selon la hauteur avant que ne soit découvert celui-ci mesure 10.16 cm de haut (3,6 cm de plus que Little Meysi), et celui le plus petit selon la largeur mesure 15.2 cm de large.
Certains aiment leur club à la vie, à la mort n'est-ce pas ? Eh bien s'ils sont supporters de Schalke 04, ils vont pouvoir reposer éternellement dans un cimetière spécialement conçu pour les supporters du club. Enfin une partie de cimetière....
Les supporters de Schalke 04 peuvent maintenant se vanter d'avoir leur cimetière à eux !
Le club Schalke 04 l'a décidé ainsi. Ses supporters pourront bientôt reposer en paix, dans un coin de cimetière qui leur sera exclusivement dédié. Ce carré est en train d'être construit dans un cimetière en finition, à près d'un kilomètre du stade de Schalke 04. Une fois terminé, ce carré ressemblera à un stade de foot, entouré de fleurs aux couleurs du club. Cette parcelle de terre portera d'ailleurs le nom de Schalke Fan Field.
Ils ne seront que 1904 malchanceux à avoir la chance d'être enterrés dans le Schalke Fan Field. Les places dans les tombes, comme celles dans les stades, ne sont pas gratuites. Il faudra compter près de 1250 euros, sans compter les125 euros de frais annuels pour la maintenance du site. Les places du Schalke Fan Field seraient déjà toutes réservées. A croire que les supporters du club n'ont jamais été aussi pressés de mourir. Blague à part, le premier enterrement devrait avoir lieu dès le mois prochain.
Le club a jugé bon de préciser qu'il ne toucherait pas un centime de ce cimetière. Pas question donc de se faire de l'argent, sur le dos de ses supporters morts...
Découverte d'un squelette complet de mammouth près de Paris
11/11/2012 01:36
Surprenante découverte dans une carrière en Seine-Et-Marne
Le squelette pratiquement complet d'un mammouth, qui aurait vécu entre 200.000 et 50.000 ans avant notre ère, a été mis au jour en Seine-et-Marne, une découverte exceptionnelle en France, puisque seuls trois autres spécimens ont jusqu'ici été trouvés.
Cerise sur le gâteau pour les archéologues, des éclats de silex ont été découverts près du crâne de l'animal, suggérant un contact entre le mammouth et l'homme de Néandertal. Ils semblent avoir été utilisés pour découper l'animal, a précisé le responsable scientifique de la fouille, Gregory Bayle.
Présentés sur le site mardi à la presse, les ossements de taille impressionnante ont été découverts l'été dernier dans une carrière de Changis-sur-Marne, sur les berges de l'ancien lit de la Marne, à l'occasion de la fouille d'un site gallo-romain par l'Institut de recherches archéologiques préventives (Inrap).
Une "fouille de sauvetage" a alors été mise en place début octobre.
Sur le sol sableux, on reconnaît facilement les deux défenses imposantes, un fémur et la partie du bassin où il trouvait sa place, un humérus, une mandibule, quatre vertèbres encore connectées et passant sous les omoplates. Le tout est dispersé, mais dans un périmètre très restreint. "C'est fascinant de pouvoir travailler sur un animal aussi emblématique que le mammouth", a souligné Gregory Bayle. Les os sont globalement en très bon état, préservés par des sédiments riches en calcium.
Le squelette ainsi mis au jour doit maintenant être moulé, puis "démonté", avant d'être analysé dans les laboratoires du Muséum national d'Histoire naturelle et de Géographie physique du CNRS de Meudon (Hauts-de-Seine), a indiqué Jean-Marc Gouedo, conservateur en chef à la Direction régionale des affaires culturelles.
Helmut a-t-il été chassé ?
L'examen des ossements devrait permettre de préciser la datation et de reconstituer l'histoire de l'animal, baptisé "Helmut" par l'équipe de fouille même si on ignore encore s'il s'agit d'un mâle ou d'une femelle. Des éléments importants car le mammouth d'Europe de l'Ouest reste mal connu.
Il s'agira surtout de tenter de préciser ses liens avec l'homme : a-t-il été tué ou est-il mort naturellement, a-t-il été chassé ou dépecé après sa mort naturelle ?
Les scientifiques chercheront en particulier sur les os des traces d'épieux, qui conforteraient l'hypothèse débattue selon laquelle l'Homme de Neandertal avait la capacité de chasser de grands mammifères, a expliqué Pascal Depaepe, directeur scientifique et technique à l'Inrap. Les "preuves de chasse" sur le mammouth restent à ce jour exceptionnelles.
Les archéologues ont déjà pu déterminer que le mammouth de Changis était un adulte jeune, entre 20 et 30 ans.
Il s'agit probablement d'un mammouth laineux, qui se caractérisait par de longues défenses utilisées pour dégager le fourrage de sa gangue de neige. A l'époque, l'Ile-de-France devait ressembler à une steppe de Mongolie, avec un climat sibérien... L'animal pouvait atteindre 2,80 m à 3,40 m au garrot pour environ 5 tonnes.
Il restera enfin aux scientifiques à expliquer la présence sur le même site de Changis d'éléments d'un second squelette de mammouth, un humérus et un fragment de défense.
Quant à Helmut, il leur faudra choisir une structure qui puisse l'accueillir et sans doute le présenter au public.
Voilà plus de 10 ans que Google (GOOG 681.79-1.90%) travaille à construire et peaufiner son réseau de serveurs. Sans révéler d’informations sensibles, ces clichés permettent de saisir visuellement la démesure dans laquelle navigue le géant de l'Internet.
«Nous avons eu des dizaines, si ce n’est des centaines de demandes pour des visites de nos centres de données», a expliqué Joe Kava, un responsable des serveurs chez Google. «Nous ne pouvons pas faire ça», a-t-il ajouté, invoquant «la sécurité et la protection des données de nos utilisateurs». D'où l'idée de publier des photos.
Google dispose de neuf centres de données ultrasécurisés opérationnels dans le monde, et quatre autres sont en construction.
Gigantesque infrastructure
Cette infrastructure est nécessaire pour faire tourner le moteur de recherche, qui indexe chaque jour 20 milliards de pages et répond à 3,3 milliards de requêtes (40'000) par seconde. S'ajoute à cela la messagerie Gmail: ses 425 millions d'utilisateurs disposent chacun de 10 Go de stockage. Sans oublier les membres de Google +, 250 millions, et les utilisateurs d'Android, 500 millions, dont les profils prennent aussi de la place. Et puis bien sûr les informations collectées sur les internautes, véritable magot de Google.
YouTube, avec ses 800 millions d'utilisateurs et leurs 4 milliards d'heures de vidéos regardées chaque mois est aussi gourmand en ressources.
Visite :
La salle réseau de Council Bluffs, en Iowa. Des routeurs et des commutateurs permettent aux centres de données de communiquer entre eux. Les réseaux de fibre optique reliant ces centres peuvent fonctionner à des vitesses plus de 200'000 fois supérieures à celle d'une connexion Internet domestique normale.
Le centre de données de Council Bluffs s'étend sur plus de 10'000 mètres carrés.
Centre de données de The Dalles, en Oregon: une spécialiste diagnostique une surchauffe du processeur.
Les tuyaux colorés ont pour fonction d'acheminer et d'évacuer l'eau dans les centre de données, ici en Oregon. Les tuyaux bleus amènent de l'eau froide et les tuyaux rouges renvoient l'eau chaude à refroidir.
The Dalles, en Oregon: Mike Barham change une carte mère défectueuse.
Protection des données oblige, Google détruit dans ses centres les disques durs défectueux.
Le G-Bike est le moyen de transport préféré des travailleurs, affirme Google.
Centre du Comté de Douglas, dans l'Etat de Géorgie.
Un spécialiste inspecte les conduites d'eau en sous-sol dans le centre de Géorgie.
Sur le site de Lenoir, en Caroline du Nord, une employée prépare un chariot pour réparer les serveurs qui servent à stocker l'espace Internet de Google.
A Hamina, en Finlande, Google a rénové un ancien moulin à papier afin de profiter de l'infrastructure du bâtiment ainsi que de sa proximité avec les eaux rafraîchissantes du golfe de Finlande.
Racks de serveurs dans le centre du Comté de Mayes, en Oklahoma.
Les serveurs vus de l'arrière. Des centaines de ventilateurs dirigent l'air chaud provenant des racks de serveurs vers un refroidisseur.
Mécontent d'une amende, il paie avec des billets pliés en forme de cochon
Mécontent d’avoir été collé pour une infraction mineure sur la route, un Américain a plié les 137 billets de sa douloureuse en petits cochons.
Mise en ligne cette semaine, la vidéo du paiement cash de celui qui se fait appeler «Bacon Moose » a déjà été vue plus de 130 000 fois. On y voit l’automobiliste se rendre à un guichet avec deux cartons remplis de billets pliés en petits cochons de chez Dunkin Donuts, pour s’acquitter de son dû. Le caissier, évidemment surpris, ne semble pas immédiatement gouter l’humour du trublion, puisqu’il se met immédiatement à lui expliquer, plutôt sèchement, que chaque billet devra être déplié pour qu’il rentre en matière. Il faut préciser qu’en anglais on insulte les policiers en les traitant non pas de «poulets» mais de «cochons».
Quelque peu décontenancé par l’insistance du provocateur, le guichetier finit par appeler son responsable, qui annonce à son tour que l’amende ne pourra pas être payée en origamis. Amusé, ce dernier finit toutefois par admettre que la douce provocation de «Bacon Moose» est plutôt sympa. On le voit d’ailleurs prendre une photo de l’œuvre, un peu plus tard, pendant que l’auteur déplie les dollars. Même le caissier, du genre pataud et bougon, y va de son propre cliché à la fin de la vidéo.
Selon «l’artiste», il ne lui a fallu que trois minutes pour déplier les billets. Et huit minutes au responsable du guichet pour les compter...