| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |
newsletter de vip-blog.com S'inscrireSe désinscrire
http://sweet-cherry.vip-blog.com


Bienvenue chez Sweet-Cherry
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

Bienvenue chez Sweet-Cherry

VIP-Blog de sweet-cherry
  • 282 articles publiés dans cette catégorie
  • 2093 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 19/03/2007 21:46
    Modifié : 06/06/2024 15:41

    (0 ans)
    Origine :
    Contact
    Favori
    Faire connaître ce blog
    Newsletter de ce blog

     Août  2025 
    Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
    282930010203
    04050607080910
    11121314151617
    18192021222324
    252627282930
    [ Humour - Insolite ] [ Aider les animaux ] [ Protection animale: Petitions ] [ Incroyable et etonnant ] [ Folies du Monde ] [ People News ] [ Poemes - Citations ] [ Humour en dessin ] [ Nature-Environnement ] [ Humour coquin ] [ Recettes sympa ] [ Recettes végétariennes ]

    Jet Surf le nouveau sport extrême

    14/04/2013 22:58

    Jet Surf  le nouveau sport extrême


    Un nouveau sport de glisse aquatique

    Martin Sula, ingénieur tchèque  de Formule 1, est à la tête d'un nouveau sport extrême, appelé Jet Surf, combinant Jet ski et surf. Il a construit une planche d'un mêtre quatre-vingt comprenant un moteur thermique très écologique capable d'atteindre la vitesse de 60 km/h sur l'eau.

    Inconvénients :

    - Le bruit du moteur

    - Son prix : environ 10.000 euros

     

    Video








    Le robot testeur de combinaisons pour l'armée

    08/04/2013 22:24

    Le robot testeur de combinaisons pour l'armée


    Petman bluffant de réalité

    PETMAN (Protection Ensemble Test Mannequin) est  un humanoïde, un robot capable de reproduire les gestes humains pour tester les combinaisons de l’armée.

    En 2009, Boston Dynamics a révélé son projet concernant un robot humanoïde destiné à tester les tenues de protection de l’armée. Il se caractérise par sa capacité à réaliser des mouvements s’apparentant réellement à l’homme. Il a l’air d’autant plus humain quand il enfile les combinaisons à tester, pour cette fois, une combinaison de protection chimique.

    C’est un pas de plus que Boston Dynamics a effectué dans le cadre de l’expérimentation avec le robot PETMAN. Il a en effet revêtu une combinaison de protection chimique et un masque à gaz afin d’effectuer un test en situation. Le but est de déterminer si la combinaison reste hermétique à l’air dans des environnements toxiques et précaires. Contrairement aux tests antérieurs durant lesquels le robot est soutenu par un support mécanique, il effectue pour cette fois des mouvements libres. On remarquera que le robot PETMAN est lié par quelques câbles, par lesquels il est alimenté en électricité et envoie les données du test aux scientifiques. Il arrive cependant à garder un meilleur équilibre que les autres robots bipèdes et effectue des mouvements fluides.

     

     PETMAN est un adepte des tests de combinaisons en tout genre  (protection bactériologique, chimique, nucléaire…) pour l’armée et les agences spatiales. Pour pousser les combinaisons à rude épreuve, PETMAN peut marcher, sauter, courir, ramper, effectuer des flexions… Dans une autre vidéo, le robot peut même continuer de marcher droit alors qu’un des scientifiques qui l’a créé essaie de le renverser. En dessus de tout son système mécanique se trouve une peau artificielle pouvant transpirer et diffuser de la chaleur, de manière à simuler la physiologie humaine. Il reproduit ainsi toutes les conditions réelles d’utilisation de la combinaison. La peau recouverte de capteurs permet également de détecter les défauts ou fuites des combinaisons.

    Boston Dynamics précise que le robot PETMAN a lui-même été soumis à un test et attend une validation. Il devrait alors être placé dans une chambre d’exposition où il effectuera des tests se portant sur le sarin et du gaz moutarde.

    Video






    Des kayakistes de l'extrême explorent les flancs du volcan Kilauea

    06/04/2013 00:59

    Des kayakistes de l'extrême explorent les flancs du volcan Kilauea


    Pedro Olivia frôle les coulées de lave ardente 

    Lors du tournage d’une émission, Pedro Olivia, kayakiste professionnel, et ses acolytes ont bravé les hautes températures pour explorer à bord de leurs embarcations les coulées de lave ardentes du volcan Kilauea, à Hawaï.

    Il aura fallu une belle dose de courage et d’adrénaline pour permettre à Pedro Olivia de s’approcher des coulées de lave du volcan Kilauea, à Hawaï. Il y a quelques jours, le kayakiste professionnel a tenté l’impossible en explorant à bord de son embarcation un des flancs du cratère en activité. Son exploit a été immortalisé par une équipe de tournage brésilienne qui depuis quelques mois suivait les expéditions du sportif et de ses deux acolytes Chris Korbulic et Ben Stookesberry.

    L’aventure, totalement improvisée, s’est fort heureusement déroulée sans le moindre incident.  "C’était une excursion à part" explique Ben Stookesberry dans l’émission à paraître sur une chaine brésilienne. Il poursuit : "À l’origine nous devions mener une grande expédition en kayak pour explorer les rivières et cascades de Hawaï, seulement il n’avait pas plu et les rivières étaient à sec.  Pour nous tenir occupés, nous avons pris nos kayaks et sommes allés voir les coulées de lave. Nous n'avions pas l'intention de nous approcher autant"

    Après une rapide estimation de la situation et de la nature des risques encourus, Pedro Olivia a finalement décidé de s’aventurer plus loin et, comme si cela ne suffisait pas, de sortir de son kayak. "Il a réalisé qu’il ne fondrait pas instantanément et a commencé à marché sur la lave refroidie" rapporte Ben Stookesberry. Équipé de lunettes blanches pour se protéger des éclats de lave, le kayakiste a même voulu tester les hautes températures de la lave en fusion (entre 700 et 1100°C) en y trempant le bout de sa rame. Celle-ci a littéralement pris feu.

    Le groupe a passé une journée entière à admirer la lave ardente dévalant la falaise de 60 mètres de haut pour finir dans la mer. Un spectacle qui leur aura valu toutefois de devoir braver la chaleur torride de l’eau s’élevant autours de 50°C. A cette température, "L'océan peut vous brûler la main si vous mettez dedans" explique Ben Stookesberry. Cependant, selon lui, "le plus grand des dangers est la vapeur toxique produite lorsque la lave entre en contact avec l'eau".

    Au cours de leur expéditions, les kayakistes ont eu l’occasion d’explorer quatre îles : la Grande île d'Hawaï, Maui, Kauai et Oahu. Au cours de leur voyage ils ont empruntés pas moins de 300 cascades et rivières. Le volcan Kilauea, qui clôture leur périple, un des plus actif au monde. Le cratère culmine à 1.222 mètres d’altitude et  rejeté actuellement une dizaine de torrents de lave qui s’écoulent jusque dans l’océan Pacifique.






    Les capuches anti-drones

    05/04/2013 23:40

    Les capuches anti-drones


    Une ligne de vêtements pour leurrer les robots espions

    Les drones, ces machines qui nous surveillent depuis le ciel, inquiètent dans le monde entier. Mais le designer Adam Harvey nous a concocté une solution originale pour déjouer ces robots curieux, écrit The Guardian.

    Il s’agit d’une veste à capuche qui s’arrête au niveau du buste. Il faut le dire, ce n’est pas particulièrement beau, mais cette veste permet de se protéger des systèmes d’imagerie thermique et des engins de surveillance aérienne: les drones.

    « C’est ce que j’appelle de l’anti-drones », explique Adam Harvey. « Le vêtement reflète la chaleur et rend la personne invisible à l’imagerie thermique ». La « capuche anti-drones » était le produit vedette de l’exposition de M.Harvey, « Stealth Wear » (Vêtements pour se faire discret), ouverte en janvier à Londres. Adam Harvey est pionnier dans le domaine de la « mode anti-surveillance » depuis trois ans maintenant.

    Tout a commencé en 2010 avec « Camoflash », un sac à main anti-paparazzi qui répond aux flashs indésirables avec un « contre-flash », remplaçant ainsi le sujet du photographe par une lumière blanche. Son sujet de thèse, « CV Dazzle », est un système qui permet de ne pas être reconnu par les logiciels de reconnaissance faciale grâce aux cheveux et au maquillage de zones précises. Il est inspiré d’un système de camouflage utilisé pendant la Seconde Guerre mondiale.

    Mais Adam Harvey insiste sur le fait que ces objets ne sont que des articles de mode et des objets d’art. « Je n’essaye pas de créer des produits de survie. Ce que j’aimerais, c’est présenter l’idée suivante: la surveillance n’est pas invincible. Il existe des moyens d’interagir avec elle et on peut toujours la rendre esthétique ».

    La mode anti-drones ne vise aucun public en particulier. « Le profil de la personne qui porterait ce vêtement dépend vraiment de l’objectif du drone. On peut tout envisager, de l’espionnage domestique du gouvernement à la reconnaissance d’individus à des fins commerciales, ou encore l’espionnage de dissidents politiques ».

    Adam Harvey est bien conscient que son travail peut paraître quelque peu en avance sur son temps. « Je ne dirais pas que beaucoup soient gênés par les drones pour l’instant. Mais imaginons que cela devienne un problème et que mon vêtement soit une solution fonctionnelle ».

    L’espionnage technologique

    La réalité n’est pourtant pas si loin: la Federal Aviation Administration (FAA) prévoit l’apparition de plus de 20.000 nouveaux drones dans l’espace aérien américain d’ici quinze ans, appartenant non pas uniquement au gouvernement et à l’armée, mais aussi à des sociétés privées. A

    u Royaume-Uni, plusieurs services de police réalisent des expériences avec les drones. « Ils peuvent être équipés de ‘IMSI-catchers’ (« intercepteurs d’IMSI« ), qui permettent d’identifier le numéro de gsm de n’importe quelle personne se trouvant dans une zone donnée », explique Richard Tynan, chargé de recherche au sein de l’ONG Privacy International. « La police peut également intercepter des appels et envoyer de faux messages. La technologie existe déjà ».

    Richard Tynan est sceptique quant à l’efficacité de produits tels que la capuche anti-drones: « Ils auront toujours une longueur d’avance ». Pour Guy Cramer, spécialisé dans le camouflage militaire, « les seules personnes qui ne veulent vraiment pas être vues sont celles qui ont quelque chose à se reprocher ».

    Cape d’invisibilité

    Guy Cramer est en quelque sorte l’homologue d’Adam Harvey dans le domaine militaire: il est aussi pionnier dans l’art de disparaître. L’année dernière, son entreprise, HyperStealth Biotechnology Corp, avait fait la une à travers le monde avec sa « cape d’invisibilité« , qui grâce à la déflexion permet de faire « disparaître un soldat ». Jusqu’à présent, seuls quelques membres hauts placés de l’armée ont pu voir des démonstrations, de peur que la technologie ne tombe entre de mauvaises mains.

    Il a également mis au point un « textile intelligent » (« Smartcamo »), capable de changer de couleur en fonction de ce qui l’entoure. Il envisage de le proposer au grand public, mais dans une version détectable par les rayons infrarouges. « Cela ne coûterait presque rien de proposer une version fonctionnant à 100% mais je ne veux pas donner cet avantage à des personnes malintentionnées ».

    Il est lui aussi sceptique au sujet des vêtements anti-drones: « La qualité de votre vêtement importe peu; si vous ne cachez pas la totalité de votre corps, votre position sera découverte ».

    Video






    Nick D'Aloisio, le lycéen devenu millionnaire

    28/03/2013 02:46

    Nick D'Aloisio, le lycéen devenu millionnaire


    A 17 ans, il peut se vanter d'avoir réalisé une petite fortune en vendant une application à Yahoo!

    Le géant américain de l'internet a annoncé lundi l'achat de Summly, l'application que ce Londonien a mise au point pour faciliter la lecture d'informations de presse sur les téléphones mobiles.

    Le montant du contrat n'a pas été dévoilé mais la presse britannique le situe autour de 20 millions de livres (23,6 millions d'euros), ce qui ferait de ce lycéen l'un des plus jeunes entrepreneurs millionnaires.

    C'est à l'âge de 15 ans, alors qu'il révisait un examen d'histoire, que Nick D'Aloisio a imaginé Summly. Deux ans plus tard, il parle de parts de marché et de propriété intellectuelle avec l'assurance d'un PDG. Le jeune homme brun aux cheveux ébouriffés, qui a reçu le soutien financier de l'acteur américain Ashton Kutcher et de l'artiste japonaise Yoko Ono, espère que l'accord conclu avec Yahoo! permettra à son application de toucher «des centaines de millions d'utilisateurs».

    «Yahoo! fait partie des grands noms historiques de l'internet», souligne dans un entretien à l'AFP le jeune prodige, qui doit commencer à travailler dans les bureaux londoniens du géant américain dans les prochaines semaines. Ses premiers pas dans les nouvelles technologies, Nick D'Aloisio les a faits à l'âge de «neuf ou dix ans», quand ses parents, une avocate et un banquier, lui ont acheté son premier ordinateur portable.Il apprend tout seul à faire du montage vidéo, puis se met à faire de la programmation. Pendant les vacances scolaires, il s'amuse à concevoir des applications, dans la maison familiale de Wimbledon, dans le sud de Londres.

    A l'âge de 12 ans, il lance sa première application pour iPhone, «Finger Mill». D'autres suivront, comme SongStumblr et Facemood. Cette dernière essayait de prédire l'humeur des utilisateurs de Facebook en se basant sur leurs statuts.

    En 2011, il se fait remarquer en lançant Trimit, le précurseur de Summly, qui réduit de longs articles sur internet à des résumés de la taille d'un tweet.L'application reçoit un accueil positif de la part de plusieurs blogs spécialisés et engrange rapidement des dizaines de milliers de téléchargements.

    13summly

     

    Ce qui lui vaut d'être un jour, à sa grande surprise, contacté par des représentants du milliardaire de Hong Kong Li Ka-shing.«Ils m'ont pris à froid en m'envoyant un mail», raconte Nick D'Aloisio qui finit par accepter un rendez-vous téléphonique, devant l'insistance de l'entourage du milliardaire.«Ils ne savaient pas que j'avais 15 ans, j'ai dû le leur expliquer», dit-il en souriant. «C'était effrayant. Ce n'était qu'un hobby, je ne m'attendais pas à cela. Mais en même temps, je n'avais rien à perdre, je n'avais que 15 ans».

    Avec les 300.000 dollars investis par Li dans Trimit, D'Aloisio se met à développer l'algorithme qu'il utilise dans son application pour rechercher les sujets-clés dans un article. Il travaille notamment en collaboration avec des scientifiques de l'université de Stanford.Summly est finalement lancé en novembre 2012, pour le 17e anniversaire de son créateur.

    Désormais très riche, le jeune homme n'envisage pas pour le moment de quitter le domicile familial ni de dépenser à outrance.Peut-être achètera-t-il «un sac, ou des chaussures». Mais «rien d'extravagant, je ne peux même pas acheter de voiture, je n'ai pas encore mon permis», explique-t-il.Ses parents, «très enthousiasmés» par son succès, veulent toutefois que leur fils garde les pieds sur terre. «Je m'attire toujours des ennuis si je ne range pas ma chambre», assure-t-il.

    A l'aube de sa collaboration avec Yahoo!, la plupart de ses amis se préparent pour le bac et l'université. Quant au jeune surdoué, qui espère un jour étudier la philosophie à Oxford, il devra réviser «en dehors des heures de bureau».Sur son avenir à plus long terme, le point d'interrogation imprimé sur son t-shirt résume son état d'esprit: «Je veux travailler pour d'autres entreprises», dit-il, évoquant le secteur de l'intelligence artificielle. «On verra bien».






    Début | Page précédente | 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 | Page suivante | Fin
    [ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact sweet-cherry ]

    © VIP Blog - Signaler un abus