Des scientifiques veulent démontrer l'existence de Bigfoot
25/02/2013 21:09
Selon des scientifiques la créature existerait bel et bien
Selon les travaux d'une vétérinaire texanne, Melba S. Ketchum, le Bigfoot ou Sasquatch serait un cousin de l'espèce humaine qui serait apparu il y a de cela 15.000 ans. Une hypothèse soutenue par l'étude de son ADN qui suggère également qu'il se serait même reproduit avec des femmes humaines donnant ainsi naissance à des individus hybrides.
Big Foot, Sasquatch ou encore "abominable homme des neiges" en version moins flatteuse, le Yéti possède bien des noms à travers le monde. Pourtant, au sein de la communauté scientifique, il reste aujourd'hui un être légendaire dont on n'a jamais vraiment réussi à prouver l'existence. Et ce, malgré de nombreuses recherches dont certaines sont encore en cours. Entre témoignages visuels et supposés indices matériels, les hypothèses se multiplient ainsi depuis des décennies. Toutefois, pour une vétérinaire texane, cela ne fait aucun doute : Bigfoot (la version américaine du Yéti himalayen) existerait bel et bien.
C'est du moins ce qu'affirme une société du nom de DNA Diagnostics qui rapporte dans un communiqué les travaux de Melba S. Ketchum. "Une équipe de scientifiques peut attester que leur étude d'ADN de cinq ans, actuellement en relecture, confirme l'existence d'une nouvelle espèce d'homininé hybride, couramment appelé 'Bigfoot' ou 'Sasquatch' vivant en Amérique du Nord", explique le fameux communiqué cité par LiveScience. Mais celui-ci va même plus loin en indiquant que Sasquatch serait en fait "un cousin de l'espèce humaine qui est apparu il y a environ 15.000 ans".
Pour arriver à cette conclusion, la vétérinaire et ses collègues auraient travaillé à partir de trois génomes nucléaires complets issus de prétendus échantillons de Yéti. Ils auraient également obtenu du génome mitochondrial, contenu dans les structures productrices d'énergie des cellules, les mitochondries. En étudiant les deux génomes, les chercheurs auraient alors constaté que l'ADN mitochondrial était identique à celui de l'Homo sapiens moderne. En revanche, l'ADN nucléaire lui, a montré des différences s'apparentant à celles d'un nouvel homininé cousin de l'Homo sapiens et d'autres espèces de primates.
"Nos données indiquent que le Sasquatch d'Amérique du Nord est une espèce hybride, le résultat d'un croisement entre un mâle d'une espèce inconnue d'homininé et d'une femelle Homo sapiens", précise le communiqué. Autrement dit, les chercheurs suggèrent qu'un ancien homininé se serait un jour accouplé avec un Homo sapiens et aurait ainsi donné naissance à un hybride donc en partie humain. Reste que cette hypothèse est sans surprise largement sujette à débat, notamment parce que l'étude de Ketchum n'a pas encore été publiée et que la vétérinaire a refusé d'en dévoiler davantage à son sujet.
Pour l'heure, il est donc impossible de valider ces conclusions, mais si les résultats s'avèrent corrects au sujet de l'ADN mitochondrial, deux hypothèses peuvent être envisagées : la première, celle envisagée par Ketchum, qu'une hybridation a bien eu lieu. La seconde, plus simple, celle que les échantillons ont été contaminés. Autrement dit que la personne qui a collecté ou manipulé ces derniers y a accidentellement introduit son ADN, ce qui peut se faire aussi facilement qu'en toussant ou en éternuant. Une hypothèse renforcée par le fait qu'en dehors de Ketchum et de son équipe, personne ne sait d'où sont issus les fameux échantillons, ni qui les ont prélevés.
De même, on ignore comment les chercheurs ont pu s'assurer que ceux-ci venaient bien du Yéti américain relève LiveScience. Comment peuvent-ils être sûrs que cela ne vient pas d'un autre animal errant ou même d'un humain ? Dans la mesure où aucun prélèvement n'a jamais pu être formellement identifié comme appartenant à Bigfoot, ils ne disposent d'aucun support de comparaison. Par le passé, l'analyse ADN de certains échantillons a permis de qualifier ces derniers d'"inconnu" ou de "non identifié". mais là encore, la preuve n'est pas faite que "non identifié" veuille dire "appartenant à Bigfoot".
Le mystère reste donc entier aujourd'hui et ne pourra se dévoiler que lorsque l'étude de Ketchum sera enfin publiée. Si la vétérinaire détient réellement la preuve qu'elle affirme, alors la preuve sera faite que Bigfoot existe bel et bien. De quoi captiver l'attention du monde entier et d'inciter les scientifiques à partir à la recherche de la créature. Mais si ce n'est pas le cas, aucun doute que les spécialistes n'en resteront pas là et tenteront encore et toujours de prouver son existence.
Le bigfoot endormi
Une carrure de rugbyman, un corps recouvert de poils, Bigfoot, le cousin américain du Yéti n’a plus besoin d’être présenté. Mais si beaucoup le classent parmi les créatures sorties de l’imagination, certains continuent d’alimenter le débat sur son existence. Et des scientifiques viennent d’ajouter une nouvelle couche. Lors d’une conférence, ils ont annoncé posséder des preuves vidéo attestant que Bigfoot (ou Sasquatch) existe bien.
Plus précisément, ils auraient réussi à capturer une vidéo d’un spécimen endormi dans les bois du Kentucky. Une supercherie de plus ? Peut-être mais les chercheurs ont précisé qu’ils possèderaient également des échantillons de sang et de cheveux, et donc de l’ADN, pour confirmer leurs dires.
Les images d’un Bigfoot endormi
Les scientifiques menés par Melba Ketchum, spécialiste en génétique, ont présenté les images d’un « jeune Sasquatch brun dormant dans les bois », le 1er octobre dernier lors d’une conférence tenue à Dallas. Le spécimen aurait été filmé en personne par des chercheurs « après avoir été suivi avec sa mère » (à partir de 0’16 sur la vidéo). D’après Adrian Erickson, chercheur du Sasquatch Genome Project, les images permettraient même d’évaluer le rythme de respiration du spécimen.
Ce nouvel élément s’ajoute à d’autres séquences déjà récoltées et montrant selon les scientifiques, des spécimens de Bigfoot, mais aussi aux autres données récoltées depuis 5 ans. En effet, les chercheurs ont rappelé qu’ils disposaient aujourd’hui de plusieurs échantillons de cheveux et au moins un de tissus qui appartiendraient à la créature. Les scientifiques ont ainsi décrit les cheveux comme plus drus que ceux des humains, un peu à l’image du crin des chevaux.
« Environ 113 échantillons de cheveux, sang, mucus, ongles, salive, peau et tissus sous-cutanés ont été soumis par des douzaines d’individus et des groupes provenant de 34 sites séparés en Amérique du Nord », détaille Melba Ketchum citée par le New York Daily News. Ajouté à cela, les scientifiques ont montré une photo de morceaux de bois portant une trace de sang frais et des marques de griffes, dont un Sasquatch serait l’auteur, d’après eux.
De l’ADN humain et… moins humain ?
Grâce à une donation de 500.000 dollars (environ 370.000 euros) d’Andrian Erickson, tous les échantillons découverts ont pu être analysés par différents laboratoires. Et selon Melba Ketchum, tous les échantillons se sont avérés humains. Toutefois, lors du séquençage des génomes, plusieurs parties de l’ADN ont semblé n’appartenir à aucune espèce connue de l’Homme.
Pour ces analyses, les chercheurs auraient fait appel, selon leur rapport, à 11 laboratoires et universités qui n’avaient pas été mis au courant de l’origine des échantillons et du but du projet. « J’ai reçu un mail d’un des testeurs qui disait : qu’est-ce-que vous avez fait ? Vous avez découvert une nouvelle espèce ? », a raconté Melba Ketchum.
Des conclusions qui peinent à convaincre
Au cours de la conférence, les chercheurs ont une nouvelle fois présenté la conclusion à laquelle ils sont parvenus grâce aux résultats des analyses : selon eux, Bigfoot serait une sorte de créature hybride, un croisement entre un homme moderne et une espèce inconnue d’homininé. Toutefois, depuis l’an dernier, cette conclusion est toujours autant sujette à débat, certains estimant que les échantillons ont pu être contaminés, d’autres relevant que la provenance de ces derniers est dure à établir.
Nous avons « récolté plus de données que jamais afin de prouver l’existence d’une nouvelle espèce, mais la science n’apprécie pas les résultats », a souligné Melba Ketchum qui n’a d’ailleurs pas toujours été aussi passionnée par le sujet. Il y a quelques années, elle ne croyait même pas en l’existence de Bigfoot. Mais aujourd’hui, elle défend ses résultats avec véhémence : « En cas de contamination, un profile génétique se superpose à l’autre. Ce qui n’est pas le cas ici. Toutes les preuves ont été récoltées avec les précautions et les méthodes qui s’imposent ».
« La communauté scientifique ne sait pas quoi faire de ces nouvelles découvertes. J’appelle ça l’effet Galilée », a plaisanté Melba Ketchum. « Nous souhaitons que les gens comprennent que c’est une étude sérieuse », a t-elle ajouté. Reste que les résultats sont toujours vivement critiqués notamment par la New York University. De même, le Louisiana Crime Lab, affirme qu’il a travaillé avec le Dr Ketchum afin d’extraire l’ADN d’os mais qu’ils n’ont jamais connu les résultats.
Le scandale des chevaux de boucherie de certains pays
22/02/2013 00:27
Toute l'horreur des conditions d'élevage de chevaux
Après le scandale de la viande de cheval dans les lasagnes et autres produits, voilà qu’une autre affaire secoue le monde de l’alimentation. Une affaire qui a eu de fortes répercussions, puisqu’elle a poussé les magasins suisses à retirer tout ou partie de la viande de cheval présente dans leurs rayons.
A son origine : l’association zurichoise de protection des animaux qui a voulu connaître dans quelles conditions étaient élevés, transportés et abattus les chevaux qui finissent dans les assiettes suisses. «Les réponses nous paraissaient trop positives. C’est pourquoi nous avons décidé d’aller voir par nous-mêmes», explique Sabrina Gurtner, responsable du projet. Les résultats sont affolants.
«Nous avons vu des choses affreuses, explique la Zurichoise. Des animaux mourants ou morts, des animaux enfermés à double tour dans des camions, ce qui empêche les secours en cas de problème, mais aussi des chiens qui mordent les jambes des canassons pour les faire monter plus vite dans les camions. Franchement, je ne sais pas comment ces animaux auraient pu être plus maltraités.»
Huit mois d’enquête
Pendant plus de huit mois, Sabrina Gurtner et son équipe ont mené l’enquête aux Etats-Unis, au Canada, au Mexique et en Argentine. «C’est de ces pays que provient la plus grande partie des 5000 tonnes de viande de cheval consommées en Suisse chaque année», justifie-t-elle.
Ils ont vérifié de visu les conditions de vie des animaux destinés à l’exportation qui finissent notamment dans les rayons des magasins Migros, Coop, Aldi, Denner, Lidl, Volg et Spar. Le résultat en images de cette enquête, diffusée mardi soir dans «Kassensturz» sur SRF1, a suscité de nombreuses réactions choquées et le retrait de la marchandise chez les distributeurs du pays jusqu’à ce que l’affaire soit clarifiée.
«Nous sommes vraiment contents, avoue Sabrina Gurtner. J’ai passé une année sur ce dossier et de voir que notre travail a permis de faire bouger les choses, c’est véritablement gratifiant.» L’Office vétérinaire fédéral a également réagi à la diffusion de ce reportage et examine l’origine des images.
Du côté des intermédiaires et des importateurs, le mea culpa est de mise, même si certaines critiques sont émises. Les images tournées au Canada datent de 2010, selon Cornelia Gassner Bentz, directrice de la qualité chez GVFI International, et les problèmes relevés à ce moment-là ont été résolus, selon elle. Du côté de Skin Packing, on dénonce une «certaine malhonnêteté intellectuelle.»
Pour ce fournisseur, «les images ont été soigneusement sélectionnées pour provoquer un impact maximal sur le public. Il sera toujours possible, dans quelque domaine que ce soit, de trouver une faille.» L’entreprise va lancer un nouvel audit dans le but de contredire les images diffusées.
Par Sandra Imsand et Saskia Galitch
Quand l'insoutenable devient réalité
Divers élevages de chevaux aux Etats-Unis, Canada, Mexique et Argentine dont provient la viande vendue en Suisse.
Malades et affaiblis, ils gisent parmi leurs congénères.
L'hécatombe pour des chevaux sans soins ni nourriture saine.
Les chevaux sont décharnés et dans un état général est pitoyable.
Les chevaux trop faibles meurent sur place dans l'indifférence générale.
Pour faire avancer les bêtes plus vite, les exploitants les frappent avec un bâton.
Si cela ne suffit pas c'est des chiens qui viennent leur mordre les pattes.
Déchargement avant de finir en quartiers. (Argentine)
Une jument qui n'a pas eu la force de donner la vie.
Le fils aîné de Michael Jackson devient journaliste people à la télévision
21/02/2013 23:47
Prince Jackson, a fait savoir qu'il voulait aussi travailler dans le milieu du cinéma
A 16 ans à peine, le fils aîné de Michael Jackson, Prince, est le nouveau journaliste d'une émission de divertissement américaine, qui a annoncé mardi l'avoir embauché comme correspondant.
Michael Joseph "Prince" Jackson Jr a déjà réalisé sa première interview pour Entertainment Tonight, diffusé sur CBS, avec le réalisateur et les acteurs du film "Le Monde fantastique d'Oz", la prochaine production des studios Disney, un remake du célèbre Magicien d'Oz.
"J'aimerais être le plus complet possible et devenir producteur, réalisateur, scénariste et acteur", a-t-il annoncé après avoir demandé conseil au réalisateur Sam Raimi et à ses acteurs James Franco et Zach Braff.
Michael Jackson, mort en 2009 à l'âge de 50 ans, avait lui-même joué le rô le de l'épouvantail dans le film musical "The Wiz", sorti en 1978 et adapté d'une comédie musicale autour du roman de Lyman Frank Baum.
Brooke Anderson, une autre correspondante de l'émission Entertainement Tonight, a délivré à l'antenne quelques conseils à Prince Jackson et ajouté qu'il était très mûr pour son âge.
"C'est ce que la plupart des gens disent. C'est grâce à mon père, qui m'a bien élevé", a assuré l'adolescent.
Pour sa prochaine interview, le fils aîné du Roi de la pop souhaiterait rencontrer un autre Jackson: Peter, le réalisateur néo-zélandais du "Seigneur des anneaux".
"J'adore sa façon de filmer et sa manière de donner vie aux choses", a-t-il expliqué. "J'étudiais beaucoup ses films avec mon père. On coupait le son et on regardait juste les plans pour voir comment il les avait filmés."
Prince est l'aîné des trois enfants de Michael Jackson. Sa soeur Paris, 14 ans a débuté une carrière d'actrice l'an dernier.