Zahia Dehar 21 ans, s'est offert les services du confiseur Sébastien Gaudard et les locaux du concept store L'Eclaireur pour ouvrir jusqu'à mi-octobre une pâtisserie boudoir à son image.
Lingerie et macarons, tel est le nouveau concept de Zahia Dehar. L'ancienne call girl devenue créatrice de mode inaugure ce lundi sa boutique éphémère à Paris, au 10 rue de Boissy-d'Anglas, à deux pas des Champs-Elysées. "Il s'agit d'un ravissant et fantasque boudoir gourmand", selon les propres termes de Zahia, qui avait accordé une interview-portrait à Harry Roselmack diffusée le 16 juin sur TF1.
Ce salon de thé, qui baigne dans une ambiance Trianon,inspirée du film "Marie Antoinette" de Sofia Coppola, restera ouvert jusqu'au 15 octobre.
Moelleux au chocolat et combi-shorts
Zahia compte y présenter sa collection Gâteau-Bonbon, qui promet d'être "fondante comme le cœur d'un moelleux au chocolat avec des combi-shorts aux glaçages translucides taillées dans des mousselines si crémeuses qu'elles paraissent fouettées en chantilly."
Après Paris, la "Mademoiselle", comme elle aime se faire appeler, se voit déjà réitérer l'expérience à New York et Tokyo.
Ingrédient reconnu de la médecine traditionnelle chinoise, la bile d’ours est devenue un outil marketing de premier plan, surfant sur des croyances n’ayant aucun fondement scientifique.
Depuis toujours, la bile d’ours est utilisée dans la médecine traditionnelle chinoise. Elle est réputée pour « refroidir » les affections « chaudes » comme des inflammations, ainsi que pour dissoudre les calculs biliaires et les calculs rénaux. Son efficacité sur le plan médical pour soigner ces affections, et certaines maladies du foie, ne repose sur aucun fondement scientifique.
De la croyance populaire au produit marketing
En revanche, la croyance populaire lui prête aussi des vertus aphrodisiaques qu’aucun scientifique ne cautionne. Censée posséder des propriétés qui accroîtraient les performances sexuelles des hommes dans le cadre d’une consommation régulière, la bile d’ours est devenue un produit très recherché, y compris par les restaurateurs qui la servent dans leurs établissements et, surtout, par les « marketeurs » qui en ont fait un outil marketing de premier ordre. Aujourd’hui, la bile d’ours est de plus en plus utilisée pour fabriquer des produits qui ne sont pas « traditionnels » ni essentiels comme des shampoings, des boissons, des sirops pour la toux, des crèmes contre les hémorroïdes, du dentifrice, des lotions dermatologiques, des infusions… Ce qu’ils ne disent pas, c’est que derrière ces produits, dit « miracle », sans efficacité prouvée, des êtres sensibles sont torturés et meurent du fait de la barbarie et de la cruauté des hommes.
Des alternatives reconnues scientifiquement
Il existe pourtant des substituts artificiels, ou végétaux, à la bile d’ours qui sont tout aussi efficaces et considérablement moins chers. Selon les conclusions d’une étude menée par Earthcare et l’Association chinoise de médecine et de philosophie, financée par l’International Fund for Animal Welfare, il existe pas moins de 54 remèdes connus à base de plantes capables de remplacer la bile d’ours dans ses différentes applications (rhubarbe, racine de pivoine, variété de gardénia, pervenche de Madagascar, etc.). Depuis 1954, les Japonais ont synthétisé chimiquement la bile pour dissoudre les calculs biliaires et dans le traitement d’une forme fatale de cirrhose. En tout, pas moins de 75 alternatives sont reconnues et utilisées par nombre de scientifiques.
Il existe pas moins de 54 remèdes connus à base de plantes capables de remplacer la bile d’ours dans ses différentes applications (rhubarbe, racine de pivoine, variété de gardénia, pervenche de Madagascar, etc...).
Les procédés d’extraction de la bile sont plus ou moins archaïques. Quelle que soit la méthode, la mort est souvent l’unique issue. Le prélèvement de la bile peut commencer dès l’âge d’un an ou dès que l’ourson a atteint le poids de 100 kg (réglementation chinoise). Habituellement, la traite de la bile s’effectue deux fois par jour, tous les jours, généralement avant le repas moment considéré comme le plus propice.
Deux techniques sont en usage. La première, la plus ancienne, consiste à introduire un cathéter permanent de 8 à 12 cm de long directement dans la vésicule biliaire. Plusieurs centimètres dépassent de l’abdomen pour permettre le pompage. Une variante consiste à installer une sonde et une pompe médicinale ultramoderne, technique qui provoque souffrances et mort lentes.
Le vétérinaire, ou la personne, qui pratique l’opération sur l’animal drogué, partiellement endormi, perce l’abdomen à plusieurs reprises, sans stérilisation ni désinfection. Souvent, les ours meurent au bout du quatrième prélèvement. Dans tous les cas, les animaux ne survivent pas longtemps et partent pour la boucherie. La viande d’ours est en effet un met très recherché et rapporte encore plus d’argent que la bile.
Dénoncer l'exploitation industrielle des ours en Chine
La Chine a créé les fermes à ours dans le but de réduire la menace qui pesait sur les populations sauvages. Force est de constater que loin d’endiguer le danger, ces fermes ont dopé un marché en pleine croissance, encourageant par la même la capture d’animaux sauvages sur son territoire, comme dans les pays voisins, soit pour alimenter ses fermes, soit pour répondre à une demande de plus en plus exigeante.
Lors de l’implantation des fermes, 1 000 ours étaient capturés chaque année. La très difficile reproduction en captivité des ours et le fort taux de mortalité entraîné par l’extraction de la bile ont conduit les fermes à poursuivre leur approvisionnement dans la nature. En 1999, l’Union internationale pour la préservation de la nature estimait à 2 000 les ours en Chine, alors qu’ils étaient, selon les autorités chinoises, 46 530 individus en 1997 ! Le déclin des effectifs des ours à collier et des ours bruns est le plus notoire.
Un marché en pleine croissance
Avant que les fermes à ours ne soient créées, la médecine chinoise traditionnelle consommait chaque année 500 kg de bile. Dix ans après l’apparition des premières fermes à ours, la production dépassait les 7 000 kg de bile, dont 4 000 kg pour la seule consommation chinoise (Fam, 1999). Pour rentabiliser ces lieux de torture et toucher de nouveaux marchés, les fermes se sont lancées dans un marketing forcené. Shampoings, crèmes et même boissons, comme le vin proposé dans les aéroports internationaux chinois, intègrent de la bile d’ours sans qu’aucun effet bénéfique ne puisse être prouvé scientifiquement. Les consommateurs deviennent, en outre, de plus en en plus exigeants : ils veulent de la bile d’ours sauvage réputée plus efficace.
Avant que les fermes à ours ne soient créées, la médecine chinoise traditionnelle consommait chaque année 500 kg de bile. Dix ans après l’apparition des premières fermes à ours, la production dépassait les 7 000 kg de bile, dont 4 000 kg pour la seule consommation chinoise (Fam, 1999). Pour rentabiliser ces lieux de torture et toucher de nouveaux marchés, les fermes se sont lancées dans un marketing forcené. Shampoings, crèmes et même boissons, comme le vin proposé dans les aéroports internationaux chinois, intègrent de la bile d’ours sans qu’aucun effet bénéfique ne puisse être prouvé scientifiquement. Les consommateurs deviennent, en outre, de plus en en plus exigeants : ils veulent de la bile d’ours sauvage réputée plus efficace.
Des conditions de captivité inadéquates et cruelles
Les enquêtes et les études menées par des associations de défense des animaux et des médecins vétérinaires, tant chinois qu’étrangers, ont démontré, preuves à l’appui, l’inadaptation et la cruauté de l’élevage d’ours, notamment dans la majorité des fermes chinoises. L’ours ne s’adapte pas à la vie en cage : il s’automutile en cherchant un moyen d’en sortir. La taille des cages non adaptée à la morphologie des ours est source d’atrophies diverses. La séparation des oursons de leur mère avant l’âge de 2 à 3 ans entraîne soit la mort, soit des déficiences comportementales. La chirurgie liée à la pose des cathéters et des pompes à bile, la plupart du temps réalisée par des non professionnels, conduit au développement de nombreuses pathologies et le plus souvent à la mort…
Obtenir la suppression des fermes à ours
Poursuivre la traite de la bile d’ours dans ces conditions, et alors qu’il existe pas moins de 54 remèdes connus à base de plantes dont l’efficacité est reconnue par Earthcare et l’Association chinoise de médecine et de philosophie, est amorale et indigne de l’humanité. Par ses actions d’information, One Voice soutient l’action des associations qui, en Chine, plaident pour la classification des ours à collier en animal protégé de classe I, leur garantissant la pleine protection (ils représentent, avec les ours bruns, 95% des ours peuplant les fermes), et pour la fermeture des fermes, dont la plupart sont étatiques. Si le nombre des fermes tend à diminuer (247 en 1998 contre 601 en 1992), du fait essentiellement de leur concentration (75% du nombre total des ours sont détenus dans 27 grandes fermes), le nombre des ours captifs reste constant : environ 7 000 ours. Comme l’a souligné un éminent médecin, ces fermes sont « cruelles et inacceptables d’un point de vue éthique ».
Données extraites du rapport de Carol McKenna « L’exploitation de la bile d’ours en Chine »
Les enquêtes et les études menées par des associations de défense des animaux et des médecins vétérinaires, tant chinois qu’étrangers, ont démontré, preuves à l’appui, l’inadaptation et la cruauté de l’élevage d’ours, notamment dans la majorité des fermes chinoises.
Maux d'élevage
Lors d’études menées sur des fermes chinoise, coréenne et vietnamienne (cf. Rapport de l’exploitation de la bile d’ours en Chine) et d’examens d’animaux sauvés des fermes, une longue liste des maux relevés par des médecins vétérinaires attestent de l’inadaptation des ours à l’élevage et de la cruauté de l’extraction de la bile d’ours : - confinement extrême entraînant des blessures et des lésions sur les pattes, - atrophie musculaire et déformations osseuses des quatre membres, - déformation de la cage thoracique, - graves lésions dues à la teigne, à la gale, - incarnation de griffes trop longues dans les coussinets, - comportements anormaux : stéréotypie, agressivité, irritation de la peau et des plaies, dents cassées sur les barreaux des cages, agitation anormale, - infections et inflammations dues aux cathéters, - maladies telles que grippes, pneumonies, gastroentérites, pancréatites, intoxications alimentaires, ostéoporose, anémie, calculs biliaires, péritonite…, - taux de mortalité élevé : 50 à 60 % lors de l’introduction des cathéters ou peu de temps après, - une espérance de vie ramenée à 10 ans, au lieu de 25 ans dans la nature - ...
Cirque du Soleil : une acrobate française fait une chute mortelle
02/07/2013 01:19
Elle chute sur scène devant les spectateurs
Une artiste du Cirque du Soleil s'est tuée samedi soir lors d'un spectacle d'acrobatie à Las Vegas, aux États-Unis, a indiqué dimanche le cirque canadien dans un communiqué. Sarah Guyard-Guillot, 31 ans, mère de deux enfants et connue sous le nom d'artiste Sassoon, est décédée samedi peu avant minuit au centre médical universitaire de Las Vegas (Nevada, ouest) où elle avait été transportée après une chute de 15 mètres de haut, lors du show "Kà", au théâtre MGM Grand, a indiqué à l'AFP l'institut médico-légal du comté de Clark.
"Toute la famille du Cirque du Soleil est profondément attristée par la mort accidentelle de Sarah (Sassoon) Guyard, artiste de la production Kà", écrit le cirque dans un communiqué diffusé dimanche. "J'ai le coeur brisé", a déclaré le fondateur du cirque québécois, Guy Laliberté. "Nous sommes complètement anéantis par cette nouvelle. Sassoon était une artiste présente dans Kà depuis l'origine du spectacle en 2006 et elle faisait partie intégrante de notre famille très liée du Cirque du Soleil. Cela nous rappelle, avec beaucoup d'humilité et de respect, combien chacun de nos artistes est extraordinaire, et cela chaque nuit", a-t-il ajouté. Les représentations de Kà seront suspendues jusqu'à nouvel avis, indique le communiqué.
Il s'agit du premier accident mortel survenu lors d'un spectacle de ce cirque, selon le quotidien Las Vegas Sun qui a été le premier à rapporter l'accident. Selon des spectateurs, l'accident s'est produit presque à la fin du spectacle, dans une scène de bataille (ci-dessus). L'acrobate, qui était hissée vers le haut par un câble, est tombée sur la scène devant les spectateurs après s'être détachée du câble de sécurité. Les spectateurs ont d'abord cru que cette chute faisait partie de la chorégraphie avant de se rendre compte de la gravité de l'accident.
Le Cirque du Soleil, qui a fêté en 2009 son 25e anniversaire, a été créé au Québec en 1984 et est depuis devenu une multinationale du spectacle. Ses représentations ont été vues par plus de 100 millions de personnes dans 300 villes du monde entier. Parmi ses créations les plus représentatives des dernières années, figurent Kà, mais aussi "Alegría", "LOVE", "Saltimbanco", "Quidam" et "OVO".
Deuxième star la plus influente au monde, selon le tout récent classement du magazine Forbes, Lady Gaga avait disparu des radars en février pour subir une opération chirurgicale de la hanche. Après une longue convalescence suivie de quelques jours de vacances au Mexique puis dans les Hamptons (près de New York), l'interprète de Born This Way a choisi un événement très symbolique pour faire son retour sur la scène médiatique : la soirée de lancement de la gay pride new-yorkaise.
Outre-Atlantique, les partisans du mariage pour tous ont remporté une immense victoire après que la Cour suprême des États-Unis a invalidé une loi fédérale de défense du mariage dite Defense of Marriage Act (DOMA) qui définissait le mariage comme l'union entre un homme et une femme. Désormais, plus rien ne semble s'opposer à l'union des couples du même sexe et, de Barack Obama à Ricky Martin, de nombreuses stars et personnalités s'en sont félicitées. C'est dans cette ambiance de liesse, de célébrations et de grande émotion que Lady Gaga est apparue vendredi 28 juin à l'Hudson River Park du Pier 26 pour le traditionnel Rally qui ouvre les deux jours que dure la gay pride de New York.
Sa fine silhouette retrouvée moulée dans une robe bustier noire, le cheveu blond platine, Lady Gaga a pris la parole devant des milliers de new-yorkais pour rappeler son soutien indéfectible à la communauté LGBT et sa fierté d'être son alliée. Très émue, la star a ensuite brandi un drapeau arc-en-ciel avant d'entamer l'hymne américain a cappella. Et si la star n'a pas chanté en public depuis des mois, force est de constater que sa voix n'a rien perdu de sa puissance.