Originaire de Musi Banyuasin en Indonésie, ce bébé-fumeur pèse déjà un peu plus de 24 kilos. Il ne se déplace qu'à bord d'un camion-jouet car il n'est pas aussi agile, vu son obésité, que les bébés de son âge.
La faute à Mohammed, son père qui lui a donné une cigarette pour la première fois à l'âge de 18 mois. Depuis, Ardi est "devenu complètement accro", raconte sa mère Diana, 26 ans. "Si je ne lui donne pas ses clopes, il se fâche, hurle, pique une crise et se tape la tête contre les murs. Et quand il ne peut pas fumer, il me dit qu'il a des vertiges et qu'il se sent mal."
Ardi ne fume que des cigarettes de sa marque favorite. Son assuétude coûte à ses parents £ 3.78 par jour, mais son père, un poissonnier, âgé de 30 ans, a répliqué: " Il me paraît en fort bonne santé. Je ne vois pas où est le problème".
Les autorités indonésiennes, elles, ne voient pas d'un très bon œil cette addiction et ont promis d'offrir à Mohammed une nouvelle voiture si son fils arrêtait de fumer, révèle The Sun.
Le cas Rizal fait partie d'une tendance inquiétante en Indonésie, où 25% des enfants âgés de 3 à 15 ans ont déjà fumé. 3,2% étant des fumeurs actifs, selon les chiffres de la Central Statistics Agency, cité par le Daily Telegraph.
Inexorable temps Qui jamais nous attend. On aimerait pourtant Juste prendre ce temps, Le poser un instant, Pouvoir vivre hors du temps, Et sans être haletant Se dire qu'on a le temps. Tout se paye, mais comptant, Nous laissant mécontent
De n'avoir pu autant En profiter à temps. Tant que l'on a le temps Prenons donc notre temps Petit enfant étant, On conjugue ce temps Disant souvent "attend !" Pour n'être prêt à temps. Adolescent étant, C'est cool, on a le temps
On travaille à mi-temps, Que ça dure longtemps, On aura tout le temps, C'est ce que l'on prétend, Mais s'écoule le temps. Puis sénescent étant, C'est un vrai passe-temps Quand à plus de vingt ans, Toujours à contre-temps, On se souvient d'un temps
Qualifié d'antan. Il n'est alors plus temps De rattraper ce temps Qui file tout le temps, En prenant tout son temps On en a plus le temps, Inexorable temps Qui jamais nous attend, Quand il est enfin temps, A jamais on s'étend.
Piégée par une caméra cachée en train de négocier 575 000 euros de pots de vin !
Radieuse et toute pimpante pour chaperonner ses filles les princesses Beatrice et Eugenie il y a encore quelques heures et lors de leur venue à l'Eden Roc d'Antibes pour les 40 ans de Naomi Campbell, Sarah Ferguson est à présent en pleine tourmente : l'ex-épouse du duc Andrew d'York aurait monnayé auprès d'un journaliste sous couverture se faisant passer pour un riche homme d'affaires indien un accès privilégié à son ex-mari. Le duc Andrew est en effet depuis 2001 représentant spécial du Royaume-Uni pour le commerce et les investissements. Sarah Ferguson, qui est restée très proche de son ancien mari depuis leur divorce en 1996, aurait réclamé 500 000 livres (575 000 euros) à son interlocuteur pour jouer les entremetteuses.
Le comble ? Le tabloïd News of the world, par qui le scandale arrive, publie une vidéo (vidéo accablante à voir en cliquant ici) de la transaction entre Sarah Ferguson et le faux investisseur, lors d'une rencontre qui a eu lieu mardi dernier, après deux entretiens (un à New York, un dans un club privé londonien, le Belgravia) !!! Et de produire des enregistrements à charge ! L'hebdomadaire rapporte par ailleurs que Fergie, dont les problèmes financiers sont notoires (sa compagnie Hartmoor, basée aux Etats-Unis, a mis la clé sous la porte en octobre 2009, croulant sous 650 000 livres - 750 000 euros - de dettes, et elle fait l'objet de poursuites pour 200 000 livres d'impayés en Grande-Bretagne), aurait accepté mardi, lors d'une des deux rencontres avec l'individu, 40 000 dollars (32 000 euros) d'avance en liquide, dans une mallette avec laquelle elle est repartie après avoir promis : "500 000 livres pour moi, quand vous le pourrez, vous ouvriront toutes les portes".
Corollaire aggravant : demandant à ce que la somme totale soit versée sur son compte bancaire britannique, elle aurait également demandé un pourcentage sur les transactions issues de son intervention, et même indiqué que c'est son époux le prince Andrew l'avait encouragée à demander 500 000 livres (News of the world stipule a contrario que le duc d'York n'était au courant de rien). Déclarant à son interlocuteur que les termes de leur divorce ne lui accordaient que 15 000 livres par an, elle lui intimait : "Il sait qu'il a dû me venir en aide jusqu'à maintenant parce que je n'ai pas d'argent. J'ai quitté la famille royale avec amitié, mais sans argent. Diana l'avait quittée avec 20 millions de livres. Et c'est pour cela que la Reine et moi sommes amies : je ne lui ai jamais volé un kopec. Donc si vous souhaitez le rencontrer pour vos affaires, prenez soin de moi et il prendra soin de vous", a-t-elle ajouté à l'attention du faux businessman.
Si Buckingham n'a pas souhaité réagir, une proche de Sarah Ferguson rapporte qu'elle serait "effondrée" et "percluse de remords"...