Slavisa Pajkic a découvert la résistance de son corps au courant électrique à l'âge de 17 ans. Depuis, il ne cesse de tester son incroyable faculté dans toutes les situations possibles, à tel point que ses amis, puis le pays tout entier, l'ont surnommé Battery Man.

L'homme voyage à travers son pays d'origine pour montrer son don aux autres mais également soigner les gens de leurs problèmes de migraines ou de dos. Plus insolite, Slavisa Pajkic peut cuire une saucisse en conduisant l'électricité via une fourchette, allumer une ampoule ou encore faire bouillir de l'eau à 97 degrés Celsius en 1 minute 37 secondes. Cet exploit lui a d'ailleurs amené son deuxième record mondial en 2003, le premier remontant 30 ans auparavant lorsqu'il reçut son premier choc de 20 000 Volts.

L'homme se décrit comme un isolant, un conducteur, un appareil de chauffage ou encore un accumulateur. Les scientifiques sont incapables de dire pourquoi M. Pajkic peut supporter de telles quantités d'électricité sans en subir les conséquences. Les seules explications qu'ils sont en mesure d'annoncer sont que le Serbe, en raison d'un défaut génétique, ne possède pas de glandes sudoripares et salivaires, et a donc une peau qui permet d'agir comme isolant naturel.

Battery Man traverse également la planète pour se produire en spectacle, et envisage même un troisième record du monde en chargeant son corps sur un générateur d'un million de volts qui lui permettrait de tirer des lasers d'électricité via ses doigts. Peut-être surréaliste mais pas impossible pour ce M. 100 000 Volts.

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Des escarpins en véritable cheveux

Propriétaire d'un salon de coiffure dans la petite ville taïwanaise de Taichung, Tsai Ying-Shiou a récemment attiré l'attention des médias avec une série d'oeuvres originales à base de cheveux humains.

Après avoir remporté divers prix et récompenses pour ses qualités de coiffeuse, la taïwanaise âgée de 54 ans Tsai Shiou-ying a décidé d'explorer son côté artistique d'une toute autre façon en utilisant les cheveux coupés de ses clients pour faire diverses oeuvres d'art insolites.

Avec un talent étonnant, cette dernière parvient ainsi à réaliser différentes créations avec des cheveux coupés, comme des broches, des bijoux, un ananas grandeur nature ou encore plus incroyable: de véritables paires de chaussures à talons! Très fière de ses réalisations, l'artiste dit adorer les talons hauts, même si celle-ci ne peut pas en porter. En les fabriquant elle-même de la sorte, elle avoue ainsi se consoler un peu en ayant au moins réalisé une oeuvre d'art.

La réalisation de ses chaussures en cheveux peut demander à Tsai Shiou-ying près d'un mois de travail et nécessite au moins la masse capillaire de trois personnes! Un travail de précision et de patience qui ne décourage cependant pas Tsai qui envisage même de commencer prochainement à travailler à la fabrication de robes corsets.

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Plutôt inquiétant car on boit de l'eau tous les jours

Une enquête réalisée par WWF (le Fonds mondial pour la nature) montre que l'eau de boisson des Français, qu'elle provienne d'une bouteille ou directement du robinet, contient des résidus de produits chimiques.

WWF dénonce, dans un rapport d'enquête qui a été publié hier, la présence de résidus chimiques dans l'eau que nous buvons. Qu'il s'agisse de l'eau du robinet ou d'une eau en bouteille, toutes contiennent des éléments toxiques.

Initialement, WWF recherchait les traces de micropolluants métalliques, de substances azotées ou phosphorées issues de pesticides, de PCB, de bisphénol A et de résidus médicamenteux. En tout, 179 molécules étaient recherchées et 19 ont été retrouvées dans l'eau des 41 villes testées en 2009. Il s'agissait pour l'essentiel de nitrates, de résidus chlorés ou bromés de sous-produits de désinfection et de l'aluminium comme le rapporte Ouest-France. Dans 20% des cas, de l'atrazine déséthyl, un herbicide interdit depuis 2003, a été retrouvé.

L'enquête dévoile que "plus de 90% des eaux de ville testées présentaient des teneurs quantifiables en nitrates et plus de 50% étaient contaminées par de l'aluminium qui pourrait provenir en partie des traitements de l'eau avant distribution".

Même si les concentrations étaient inférieures aux normes imposées, WWF s'inquiète de l'"effet cocktail de ces résidus" qui, s'ils ne sont pas particulièrement nocifs séparément, peuvent en revanche devenir dangereux une fois combinés entre eux. De plus il est difficile d'évaluer l'impact "à long terme" de cette "exposition à faibles doses" sur la santé des consommateurs.

En ce qui concerne l'eau en bouteille, quatre micropolluants ont été retrouvés sur 14 sites analysés. Il s'agit de nitrates (jusqu'à 8 mg/l quand l'étiquette en affiche 6,3), d'aluminium, d'antimoine et même de plomb. Sur les quinze marques testées, seules les eaux de Plancoët (Bretagne) et de Matouba (Guadeloupe) sont vierges de polluants. WWF explique que "la diversité et l'augmentation constante du nombre de molécules chimiques dans les eaux de boisson, posent un réel problème et ne peut que nous inquiéter car on boit de l'eau tous les jours". 

L'étau se resserre autour de DSK

Les résultats ADN confirmeraient la présence de sperme sur les vêtements de la femme de chambre, selon le site atlantico.fr. Un site bien informé sur l'affaire jusqu'àprésent. Et les témoignages des membres du personnel confirment l'état désespéré de la victime, juste après les faits.

C'est ce qu'indiqueraient les éléments transmis par la police new-yorkaise aux autorités françaises ce dimanche soir selon le site français d'information Atlantico.fr La police new-yorkaise aurait transmis aux autorités françaises ce dimanche les résultats des tests ADN qui devraient être rendus publics dans les heures qui viennent. Selon ces informations, des traces de sperme de Dominique Strauss-Kahn auraient été retrouvées sur les vêtements de la femme de chambre.

Ces tests ont été réalisés sur les prélévements effectués par la police après l'agression sexuelle dont dit avoir été victime la femme de chambre du Sofitel le samedi 14 mai.

Fiable comme info ? Lesoir.be rappelle qu'Atlantico a déjà sorti plusieurs scoops sur cette affaire, qui ont été avérés par la suite.

Atlantico.fr, , lancé fin février 2011 est étiquetté à droite. Un des premiers à avoir re-tweeté l'information concernant l'affaire dDSK n'est autre qu'Arnaud Dassier, rédacteur en chef du site, déjà auteur de révélations sur la Porsche de fonction d'un conseiller de DSK. Un site visiblement bien alimenté par les autorités françaises qui suivent le dossier DSK.

D'autre part, le Daily Beast rapportait ce dimanche que la victime présumée de l'agression sexuelle, la femme de chambre du Sofitel, était "dans un état déséspéré" au moment des faits. Plusieurs membres du personnel se sont succédés à ses côtés, après qu'elle a été retrouvée prostrée près d'un placard dans un couloir de l'hôtel. Elle aurait à plusieurs reprises craché et essayé de vomir.

C'est la raison pour laquelle la direction de l'hôtel n'a pas appelé la police immédiatement, le temps nécessaire pour appréhender les faits, et la gravité de la situation.