L’entente stipule que Guy en a la garde durant quatre ou cinq jours par mois à Londres, mais qu’il peut aller les voir à New York jusqu’à un maximum de deux semaines par mois.»
Selon les modalités du divorce, réglé hors cour, le couple aurait choisi de diviser sa propriété de manière équitable, et Guy n’obtiendrait pas un sou de la fortune de son ex-épouse, estimée à 550 millions de dollars.
Les stars se retrouvent dans une impasse totale. Madonna et Guy n’arrivent même plus à se parler. Ils communiquent entre eux à travers leurs assistants personnels.
Apparemment, le couple serait aussi confronté à une situation corsée où Madonna n’a légalement pas le droit d’amener les enfants vivre avec elle de façon permanente aux États-Unis, à moins que Guy ou un tribunal anglais ne lui accordent la permission.
Guy aurait insisté auprès de Madonna pour qu’elle lui achète un appartement à New York afin de permettre aux enfants d’habiter la même ville.
Dans leur bataille pour obtenir la garde des enfants, Madonna est représentée par Fiona Shackleton, qui a précédemment représenté Sir Paul McCartney et le Prince Charles pour leur divorce.
Guy aurait embauché les services d’une avocate renommée, Helen Ward, ainsi que de Stephen Cobb QC, un expert dans la délocalisation internationale d’enfants.
Une autre source aurait révélé: «Comme les deux équipes d’avocats ne veulent pas se mouiller, c’est très compliqué.»
Même s’il est peu probable que le cas se rende jusqu’en cour, il est possible que Madonna gagne le droit d’amener Rocco et David aux États-Unis. Une audience pourrait alors avoir lieu à New York.