A mon Pacha
Au delà des peines, des souffrances,
Aucun mot ne peut décrire l'absence.
Le coeur avec raison saigne,
Le corps en silence traîne.
Sa grande peine et sa solitude,
Aucun mot ne remplace l'habitude.
Les souvenirs alimentent la peine,
Omniprésente, sourde et parfois muette.
Longtemps je serai prisonnière
De cette absence,
Mais je te garderai pour toujours,
Dans mon coeur en souffrance.